Surmoi

que nous nous trompions sans le vouloir, il nous reste donc la négligence, comment expliquer la négligence ? Ce n’est jamais par hasard que nous faisons des erreurs selon Freud, on peut donc y voir une volonté inconsciente d’exprimer ce que notre « surmoi » refoule, comme le lapsus ou l’acte manqué. Lorsque l’on fait erreur par négligence, on se ment à soi même, cela nous amène à notre deuxième partie. Dans cette partie nous étudierons la vérité sur la négligence faisant que nous nous trompons. Tout

de plaisir, il ignore le jugement Surmoi : instance de l’idéal, juge et censeur du psychisme, intériorisation des interdits. Héritier du complexe d’Œdipe. Moi : instance médiatrice entre les contraintes de la réalité, ça (revendications) et surmoi (impératifs).il régit la conscience mais est en partie inconscient. Pole

de sa vie pulsionnelle Stade phallique > découverte de la différence des sexes. « Apogée de la sexualité infantile ». 2) Modalités de sa relation objectale Le complexe d’Œdipe ou relation triangulaire. 3) Construction de son individuation SURMOI > héritier du complexe d’Œdipe. D- La grande enfance > 6 ans - puberté. « Sortir du milieu familial » 1) Modalités de la vie pulsionnelle Période de latence > mise en sourdine de la sexualité 2) Modalités de sa relation objectale

Vouloir toujours sortir appartient au « ça », les interdits appartiennent au « surmoi », et le compromis qu’ils ont trouvé fait parti du « moi » et fait que mon patient puisse vivre en société.  R : Je suis inquiet car quand même le Japon c’est pas a coté, elle se retrouveras seul ici en France. M : *Aparté* C’est la théorie de l’angoisse, c’est le résultat d’un conflit entre le « ça » le « surmoi » ou le « moi » et le « surmoi » *BAILLE* Et bien je vois qu’il est l’heure de mettre fin à notre séance

dépend de la réalité extérieure du Ça et du Surmoi. Il est médiateur, il est régit par le principe de réalité recherchant la satisfaction en tenant compte des additions imposés par le monde extérieur. Le Surmoi est une instance inconsciente, un juge sévère du Moi, conçu par Freud comme l'héritier du complexe d'Oedipe. Il se formerait au déclin de ce concept lorsque l'enfant intériorise l'interdiction parentale de l'inceste. Le Surmoi est renforcé par les exigences sociales et culturelles

l’adolescence). * Apparition de nouvelles instances psychiques : le surmoi (conscience morale qui génère l’auto observation et la création des idéaux) et l’idéal du moi (moi idéal archaïque narcissique tout puissant (bébé) qui se transforme par les interdits parentaux (interdit de l’inceste), auxquels l’enfant choisit d’adhérer pour les aimer de manière non incestueuse. (Le non entraine un refoulement et génère le surmoi. Pour accepter les interdits, l’enfant s’identifie au parent de même sexe

système. Celui-ci se divise à présent en ça, moi et surmoi. Ce n’est bien entendu pas dire que l’inconscient a disparu de la pensée freudienne (!) mais simplement que c’est devenu une qualité, un adjectif qui qualifie avant tout le ça mais aussi, pour une part du moins, le moi et le surmoi. Le ça est le pôle des pulsions ; il est la source à laquelle puise la libido ; c’est l’instance primitive par rapport à laquelle vont se détacher le moi et le surmoi. Ajoutons que le mot « ça » indique bien le caractère

d'autres termes, retournée contre le propre Moi. Là, elle sera reprise par une partie de ce Moi, laquelle, en tant que « Surmoi », se mettra en opposition avec l'autre partie. Alors, en qualité de « conscience morale », elle manifestera à l'égard du Moi la même agressivité rigoureuse que le Moi eût aimé satisfaire contre des individus étrangers. La tension née entre le Surmoi sévère et le Moi qu'il s'est soumis, nous l'appelons « sentiment conscient de culpabilité » ; et elle se manifeste sous forme

toutes les pulsions inconscientes, toutes les forces inconnues qui nous dirigent et que l’éducation morale cherche à refouler. SURMOI : terme freudien qui apparait tardivement dans l’œuvre du maître (1923- Le Moi et Ca). A l’opposition du conscient et de l’inconscient, Freud ajoute la distinction de trois « instances » le Moi, le Ca (réservoir des pulsions) et le Surmoi, instance refoulante qui l’intériorisation par le sujet des interdits reçu dans l’enfance. C’est au moment de la liquidation du

moi », se mettra en opposition avec l'autre partie. Alors, en qualité de « conscience morale », elle manifestera à l'égard du Moi la même agressivité rigoureuse que le Moi eût aimé satisfaire contre des individus étrangers. La tension née entre le Surmoi sévère et le Moi qu'il s'est soumis, nous l'appelons « sentiment conscient de culpa- bilité » ; et elle se manifeste sous forme de « besoin de punition ». La civilisation domine donc la dangereuse ardeur agressive de l'individu en affaiblissant celui-ci