Surmoi

conscience. Il est enrichis par les exigences ultérieures de l’éducation, de la moralité, de la religion etc. il s’agit d’une instance psychique qui domine le moi, le surplombe, l’observe et l’évalue. Le surmoi se double d’une autre instance: l’idéal du moi. Celui-ci est la façon dont le surmoi se manifeste à la conscience. Freud remet en cause la thèse philosophique classique selon laquelle «le sujet c’est la conscience». La théorie freudienne pose le problème de la liberté et de la responsabilité

vie fondée par le mensonge, et les thèmes mineurs sont la malhonnêteté et le désespoir (2) L’analyse psychanalytique montre que Jean-Claude a une condition d’instabilité psychologique qui est indiqué par le déséquilibre de la partie de moi et de surmoi. Elle provoque l’habitude de mentir pour gagner une vie parfaite. Enfin il souffrait un délire et un grave stress qui provoque l’action d’assassiner à sa famille. Mots clés Structurale, Psychanalyse, L’Adversaire Abstract The goals of

faire acquérir à chaque membre de la société les règles qui y sont en vigueur (les contes de fée proposent un modèle, des règles, …). C’est par ce moyen que selon Freud se constitue notre Surmoi, intériorisation des exigences et des interdits (essentiellement parentaux). La conscience morale est un des rôles du surmoi, qui exerce ainsi une surveillance et une censure intérieure, parfois consciente, parfois inconsciente, sur nos désirs. Ainsi pour Claude Lévi-Strauss, la prohibition de l’inceste, en tant

de la trilogie Moi, Ca, Surmoi, qui sera finalement choisie comme schéma de référence. Cette seconde topique vient compléter la première. Freud désire souligner l’aspect dynamique et conflictuel du mental. Pour simplifier : Les systèmes Conscient – Préconscient – Inconscient correspondent à des contenants (des formes), les instances Ça – Moi – Surmoi correspondent à des contenus (des flux). Dans cette seconde version du psychisme, Freud distingue 3 instances : Le SURMOI : il est constitué de l'intériorisation

distinction de Freud, la morale serait le surmoi qui briderait le ça de l’individu. En effet, le ça désigne la part la plus inconsciente de l'homme, c'est le réservoir des instincts humains, le réceptacle des désirs inavoués et refoulés au plus profond. Le Surmoi représente une intériorisation des interdits parentaux, une puissance interdictrice dont le Moi (c’est à dire la partie de la personnalité assurant les fonctions conscientes) est obligé de tenir compte. Le surmoi estcette voix en nous qui dit “il

non seulement avec la réalité, mais aussi avec les pressions contradictoires du surmoi et du ça. Le surmoi, c'est la censure inconsciente faite par les interdictions morales, familiales et sociétales, c'est à dire le fruit de notre éducation. Le ça, c'est la dynamique aveugle des pulsions vitales, animales, et des désirs refoulés, qui tentent de faire jour en trompant le surmoi. Il semble assez évident que le surmoi est le résultat de notre éducation, et que le ça est notre partie animale restée

revisite le stade anal. B- Wallon ; Freud : l’importance du « Surmoi » pour la construction du « Moi » Wallon parle d’une période centripète et donc de repli sur soi. Il dit que c’est un passage obligé pour la construction du « moi », que « le repli sur soi est nécessaire mais pas à l’extrême. » En effet, pour résumer rapidement la construction du « moi », elle se fait à partir du « çà » qui représente les pulsions et du « surmoi » qui représente les règles, normes et interdits. Ainsi, il est

ma pensée, ce que je pense. 2/ Freud. Psychanalyste. 1ère topique : Conscience – préconscient / inconscient. Il y a une rupture entre d’une part la conscience et le préconscient et d’autre part l’inconscient. 2nde topique : Ca, Moi, Surmoi. Ca = désirs Surmoi = structure de censure, de limitation, Moi : résultat des deux. Citation « Le moi n’est pas maître dans sa propre maison ». En effet, il y a une partie de mes pensées et de mes actes qui m’échappent : c'est l’inconscient. Exemple : actes

la conscience pour entrer en confrontation avec le moi. Dans ce trio chaque personnage peut incarner un niveau du psychisme. Phèdre affolée par le désir représent le ça, Hippolyte par ses amours « chastes » le moi et Thésèe en juge de l’action le surmoi. Les personnages sont aussi dédoublés dramatiquement par leur confident. Oenone joue le rôle de la partie damnée de l’âme de Phèdre, elles ne sont qu’une seule personne. Le double d’Hippolyte est le réaliste Théramène pour qui l’amour est une chose

d’Oedipe) et le développement psychique débute. Le complexe d’Œdipe et la façon dont il est refoulé déterminent l’évolution sentimentale et morale de l’homme. Il va également en résulter va résulter la création du surmoi, c’est-à-dire de la conscience morale. Selon Freud, la création du surmoi ne peut avoir lieu avant le refoulement du complexe d’Œdipe donc cette période de la vie est d’une importance capitale. Selon Freud, l’enfance devrait être le moment ou les individus se souviennent le mieux. .