Surmoi

psychisme par la détermination de 3 instances : le ça ( impersonnel, involontaire, inconscient) le Moi ( personnalité sociale, la raison, la conscience réfléchie) et le sur Surmoi ( l'inactuel, le passé, la tradition ) L'inconscient igonore le temps et les exigences de la réalité extérieure. Une partie de moi se transforme en surmoi. Autrui = Alter ego C'est l'autre et l'autre c'est le non moi. L'identité de la conscience avec elle-même. La reconnaissance d'autrui, autrui s'impose à moi

pour les filles, entraîne une transformation du Moi vers l’édification du Surmoi qui prendra part à l’élaboration de l’adulte qu’il deviendra. Dès lors, c’est la fin de la période œdipienne. Désormais, l’équilibre est incertain, quand le jeune apprend par ses parents, les règles de vie et les interdits, qui lui permettront de gérer la réalité extérieure au sein familial. Le combat, entre le Ça qui régit les pulsions et le Surmoi fait d’apprentissages et de structures, le jeune, et plus tard l’adulte

l'identité comme un bloc homogène. Elle est dirigée par un centre rationnel. L'individu est pourtant un processus changeant. L'individu est pris dans un espace de forces contradictoires issues de : L’idéal du Moi Le moi idéal Le moi organisationnel Le surmoi - Mais aussi, issues de la temporalité, du collectif, de sa propre tendance,… L’identité dont parle Kaufmann est une dynamique de construction sociale des individus. Le processus identitaire est donc situé dans le temps : lié à la modernité, ses

n'a pas conscience de ses troubles et qu'il perd contact avec la réalité. · la différence de névrose et psychose selon le cours de psychopédagogie : Névrose : conflit du ça (CA = réservoir - pulsion - énergie - désir) et du surmoi (SURMOI = conscience, morale qui juge) qui n'est pas résolu, ce qui entraîne des angoisses et donc différents symptômes comme phobies, obsessions, hystériques,... . Psychose : Absence ou séparation du moi, ce qui entraîne des angoisses

répétitive. Finalement, les représentations inconscientes sont imperméables tandis que la pensée consciente st soumis au doute. Freud va alors dégager certaines instances psychiques. Le moi, le surmoi et le ça. Le moi, dirige et contrôle il est un intermédiaire entre le surmoi et le ça(principe de réalité). Le surmoi, image morale idéale (principe de perfection). Quant à lui, le ça est l’ensemble des pulsions et des désirs refoulés (principe de plaisir) De plus, selon Freud, le rêve est indispensable

composantes de la personnalité qui sont le ça, le moi et le surmoi. Il explique que le ça correspond au monde des passions et des désirs, qu’il tend à satisfaire les besoins innés des individus telle que l’appétit sexuel, le besoin d’amour, etc. Le ça est pousser par les pulsions de vie et de mort. Le moi de son côté correspond à la prudence de la raison son but est de maitriser les pulsions et juges s’il faut les satisfaire ou non. Le surmoi lui a une vision non réaliste des choses, son but est

est aussi composé de trois éléments: le ça, le moi et le surmoi. Le ça est lui-même composé des énergies psychiques comme la libido et les désirs refoulés. Il pousse l’individu à satisfaire les besoins pulsionnels qui lui apporteront du plaisir. Le moi est basé sur une version évoluée du ça qui s’est additionné à l’influence du monde extérieur. Il crée un lien entre l’individu et la réalité. Il incarne littéralement la rationalité. Le surmoi se forme entre le ça et le moi et il vient après le complexe

libres. Le patient est alors amené à raconter ses rêves au psychanalyste. Pour Freud, le rêve est la réalisation imaginaire de désirs infantiles refoulés. En ce sens, il est une « voie d’accès royale » à l’inconscient. Lors des rêves, la censure du surmoi se relâche et laisse apparaître les désirs inconscients. Cette méthode, intitulée la cure psychanalytique permet alors au patient de ramener jusqu’à sa conscience les éléments psychiques refoulés, triés par le psychisme. Pour dégager le sens d’un

Le « surmoi » est très peu efficace dans la psychose et va indiquer ce qui ne peut pas être penser ou désirer . Le « Moi » ,peut renvoyer dans l'inconscient une pensée ou un désir qui ne doit pas rester dans le conscient . C'est le refoulement . Le « Surmoi » est relié au Moi pour traiter les conflits qui arrivent des pulsions , du « Ça » . Le « Ça » fait émerger les pulsions, qui seront expulsés par le « Moi » . Le « Ca » refoulé essaye de revenir = retour du refoulé . Le « Surmoi » sent

L'appareil psychique est ainsi décrit par Freud comme une sorte de carte symbolique supposant trois instances : le moi, le ça, le surmoi. Le moi recouvre l'ensemble des processus conscients et préconscients. Il doit composer non seulement avec la réalité, mais aussi avec les pressions contradictoires entre nos tendances (le ça) et nos obligations (le surmoi). Freud appelle surmoi la censure primitive inconsciente formée par l'intériorisation, dans la petite enfance, des interdictions morales, familiales