Surmoi

on est par essence soi-même. *** Pourtant, en pratique, on se rend compte que l’on n’est pas toujours soi-même. L’homme est en fait divisé entre le moi, le ça et le surmoi. Selon Freud, il existe dans la vie psychique de l’homme une partie consciente, le moi, et une partie inconsciente, le ça (les pulsions) et le surmoi (les normes et les valeurs que l’on nous a inculquées). Ainsi «le moi n’est pas maître dans sa propre maison» car «ça pense en moi», l’homme n’est donc pas entièrement lui-même

se présente comme passé, sans cependant entrer dans le champ de la mémoire consciente. La jeune femme refoule ses sentiments, elle est en fait amoureuse du mari de sa sœur, ses sentiments se manifestent dans le ça et deviennent douleur à cause du surmoi, selon les codes moraux courants elle ne peut pas être amoureuse de cet homme. Après verbalisation de la névrose, la résistance apparaît, et la chute se fait par le transfert, l’action de rejeter tous ses sentiments sur le psychanalyste. On voit donc

sexualité débridée. Dès la nsce, une autre couche psychique va se dvper , provient de l’extérieur(éducation, interaction, parents). Cette couche psychique, le « Surmoi »( appropriation des interdits moraux et sociaux), serait donc à l’origine de la conscience morale. Le principe de plaisir cède au principe de réalité. Sur le plan individuel, le Surmoi impose une censure et des limites au déferlement de nos pulsions en provenance du « Cà »(inconscient). C’est entre ce conflit que le « Moi » va s’édifier

notion d’inconscient introduit-elle la fatalité dans la vie des hommes ? Inconscience de fait ≠ inconscience de droit Franchir le seuil de l’inconscient : surmoi vigilant empêche le moi d’étendre le rayon de sa conscience à ces contrées-là. Barrière, mur qui sépare. Le moi ne peut franchir cette barrière qui a été octroyé par le surmoi = inconscience de droit. Théorie des 2 mois de Bergson : moi profond => inconscient ? Le moi profond regroupe : représentations affectives qui sont la plupart

deuxième théorie, mais interieur+extérieur ds 3ieme période). Importance ds l’après coup, risque de traumatismes ds l’interprétations d’événements antérieurs . Prise en compte dynamique (description des types de conflit en jeu : conflit entre moi et surmoi etc…)et économique(cad l’intensité des processus ou des forces en jeu) et topique (lieu) pour décrire un fait. Ici dynamique pulsionnel, conflictuel entre les pulsions et le moi, et économique : charge déstructive des pulsions entre elles. Un fait

imaginaire ............................................................92 CHAPITRE 5 : LE SURMOI CHEZ LE (SUJET) DÉLINQUANT...................................98 5.1 La genèse du Surmoi..................................................................................................98 5.2 L’adolescent délinquant : un Surmoi fort ou faible ? ..............................................110 5.3 Vincent : enchaîné au Surmoi archaïque .................................................................113

à travers le conflit qui s’opère dans notre inconscient entre le « ça » et le « surmoi ». Le « ça » a des pulsions et le « surmoi » a pour rôle de les censurer s’il ne les juge pas aptes à être assouvies. Les pulsions de vie et de mort sont à l’origine de désirs que le « surmoi » ne considère pas toujours comme pouvant être satisfaits, il a une mission de censure. Des désirs insatisfaits, en cas de victoire du « surmoi », peuvent être à l’origine d’une frustration. Mais la manifestation des désirs

la raison le Moi est tiraillé entre ses désirs inacceptables venus de son tréfonds (le Ça) et les exigences sociales venues de l’extérieur et incarnées par le Surmoi. C’est le Surmoi qui impose au Moi et au Ça le respect des lois morales et sociales. Moi | Surmoi | Ça | Instance psychique centrale, tiraillée entre le Ça et le Surmoi | Père intériorisé, instance psychique qui représente les impératifs sociaux et les impose au Moi | Désir primitif, aveugle, spontanément égoïste | La domination

Il rajoute une 3eme instance : le « Surmoi » qui elle aussi est inconsciente. C’est une instance interdictrice qui serait provoquée par l’acquis des interdits que l’enfant a intégré dans son enfance (Aussi bien les principes moraux que des interdits tels que le fait de ne jamais rien faire tout seul). C’est une instance qui pousse l’individu à l’idéal entraînée par l’histoire infantile du sujet. La fonction interdictrice et la fonction d’idéalité du « surmoi » se complètent.

le « ca », le « moi » et le « surmoi ». Pour simplifier, le « ca » est le pôle pulsionnel inconscient, gouverné par le principe du plaisir. Le « moi » cherche à satisfaire les pulsions du « ca », tout en tenant compte du principe de réalité. Il est aussi, sans qu’il le sache, soumis aux exigences du surmoi, constitué par l’intériorisation inconsciente des interdits sociaux et parentaux. Le moi apparaît alors comme le médiateur des intérêts opposés du ca et du surmoi. Son autonomie est par conséquent