Surmoi

une nouvelle instance qu’il va appeler le « surmoi », ce qui engendre le refoulement et trie ce qui est acceptable ou non, c’est une intériorisation de l’interdit. En somme, chez Freud, l’inconscient n’est pas simplement le non conscient ; il désigne une réalité positive et dynamique. C’est d’ailleurs parce que l’inconscient est dynamique qu'il produit des effets qui se manifestent. Pour Freud le sujet ne reste donc pas complètement lui-même, le surmoi puisqu’il se cristallise pendant l’enfance reste

principe de plaisir, il est le siège des pulsions sexuelles et agressives. De plus, il ne distingue pas le rêve de la réalité et favorise les comportements impulsifs. Ensuite, il y a le surmoi qui est géré par le principe de morale. Autrement dit, il est le siège de la conscience morale et de l’idéal du moi. Le surmoi est formé par l’intériorisation des valeurs des parents et de la société. Puis, il y a le moi qui est dominé par le principe de réalité. Il contrôle les actions, distingue le rêve de la

autodestructeur, problèmes de nutrition, vers un objet (sadisme). Surmoi : il est le résultat de l’intériorisation, règles religieuses, morales, interdits parentaux ou sociaux. Il est à l’origine des tabous, ces tabous eux-mêmes relèvent de l’éducation qu’on a reçue. Le surmoi est acquis et est à la fois préconscient et inconscient. Le moi : la conscience, crée une harmonie entre ça et le surmoi. Equilibre entre les impératifs du surmoi et les exigences du ça. Chez Freud, le moi a une double activité

dotés de fonctions différentes «le Ça, pôle pulsionnel de la personnalité, le Moi, instance qui se pose en représentant de la totalité des intérêts de la personne et (...) le Surmoi, enfin, qui juge et critique 1 » L’analogie la plus criante est entre le destinateur (qui détient le système de valeurs et juge) et le Surmoi («qui juge et critique»). Celle qui existe entre le sujet (qui représente le Moi) et l’opposant (qui est le Ça) mérite en revanche une explication. Le psychisme humain fonctionne

entre l’homme conscient et sa mauvaise conscience rappelle étrangement la théorie freudienne. Effectivement lorsque Sigmund Freud étudie au XXe siècle le psychique humain, il découvre que l’homme possèderait trois consciences ; Le Moi, Le Ca et le Surmoi. Selon Freud, le Moi est la partie consciente du sujet, reflet de ce que celui-ci est en société, en quête de bonheur et qui aurait un mécanisme de défense rapidement déclenché dés lors que le sujet subirait des tensions trop forte de la société

avec les autres Moi: Cs en relation avec le monde, lucide. Ca: Pulsions. Surmoi: rôle de raison, de régulateur, il est là pour “maîtriser” les pulsions du Ca. C'est cette seconde Topique qui aujourd'hui nous est restée. Freud va également étudier les choses anecdotiques de la vie de tous les jours pour parfaire sa théorie. Tels les mots d'esprits, ou les Lapsus (manifestation du ça, échappant à la vigilence du surmoi, les lapsus font partie des Actes manqués, qui sont selon lui une manifestation

réglé d'avance. Le Surmoi selon Freud Le Surmoi est un concept de psychanalyse ; il est l'une des trois instances de la personnalité, avec le Ça et le Moi. On le considère comme la partie idéale du Moi. Freud l'a décrite dans le cadre de sa seconde théorie de l'appareil psychique : le Surmoi a un rôle assimilable à celui d'un juge, d'un censeur à l'égard du Moi. Ses fonctions sont, selon Freud, la conscience morale, l'auto-observation, la formation d'idéaux. Le Surmoi vise à interdire l'accomplissement

c’est ce qui fait dire a Freud « l’enfant est le père de l’homme ». Après avoir ainsi établit l’existence de l’inconscient, Freud va proposer une nouvelle conception du psychisme humain ; il va le diviser en trois instances que le ça, le moi et le surmoi. Le ça : selon Freud, « dans la vie psychique le ça représente les passions déchaînées ». Le ça est totalement inconscient et entièrement soumis au principe de plaisir, c’est la partie animale de l’homme, c’est le siège des instincts, des pulsions

importante. Celle qu’on connait Lemieux qui doit composer avec les exigences pulsionnels du sa et avec les contraintes de la réalité extérieur et avec  les exigences du surmoi. Le moi suis un médiateur qui est chargé d’installer la stabilité et l’identité de la personne. Il est partagé entre les trois niveaux de conscience Le surmoi est beaucoup dans l’inconscient et un peu dans le préconscient et le conscient. Il est transmis par la famille et les valeurs parentales. Il se transmet de génération

personnalité psychique : est-ce l’inconscient qui donne naissance à la conscience ou l’inverse ? C’est pourquoi S. Freud propose une seconde topique dans laquelle l’appareil psychique est dynamiquement constitué de trois instances : le Ça, le Moi et le Surmoi. Ces instances qui apparaissent les unes à la suite des autres suivent les étapes de la vie sexuelle infantile, caractérisées chacunes par une zone érogène. - Le Ça : c’est le réservoir des pulsions (à la différence d’un instinct, une pulsion est