Surpâturage

s'avérer désastreuse lorsqu'elle est provoquée par l'homme. Pouvant avoir pour cause certaines techniques d'agriculture comme la monoculture, l'agriculture intensive ou l'irrigation sur certains types de sols, des techniques d'élevage comme le surpâturage, ou la déforestation (les racines contribuent souvent à stabiliser le sol et à empêcher l'érosion), elle peut avoir comme effet des glissements de terrain, favoriser la désertification, l'aridification ou des menaces pour la biodiversité[33] ;

modification des cycles biogéochimiques, changement de couverture végétale, avec ses conséquences sur le climat local et régional. Autre conséquence : modification de l’état des sols (perte de sols cultivables par l’urbanisation, pertes par érosion, surpâturage, tassement par les pratiques agricoles,…   Changements dans la composition de l’atmosphère du CO2 et autres composés dans l’atmosphère; destruction de l’ozone stratosphérique par CFC; émissions industrielles à l’origine des pluies acides

largement favorisées par les actions humaines destructrices du couvert végétal dans les zones semi-arides. En effet, la multiplication des populations de criquet est stimulée par leur grégarisation (tendance à vivre en groupe) qui est favorisée par le surpâturage et l’aridification qui en résulte. La structure de la végétation joue en effet un rôle très important dans le processus. Uvarov écrivait déjà en 1928, je cite : «Les effets de l’homme dans les aires grégarigènes ont été de détruire la structure

économique et état de l'environnement fait l'objet de débats nourris et parfois confus. On peut distinguer deux grandes catégories de problèmes en discussion dans ce contexte : * La surexploitation des ressources renouvelables (déforestation, surpâturage et désertification, érosion de la biodiversité, épuisement des ressources halieutiques). Ces problèmes sont eux mêmes d'une double nature : la gestion durable des ressources renouvelables (ce qui renvoie au qualificatif de « convenablement gérées

Soudure : période qui s'étend entre le moment où une population consomme les récoltes de l'année précédente et le moment où elle peut commencer à entamer celle de l'année en cours. Sous-nutrition (ou sous-alimentation) : manque de nourriture. Surpâturage : il survient quand le nombre d'animaux à l'hectare dépasse les capacités de renouvellement de la végétation qui va alors disparaître. Transfert technologique : processus qui permet de diffuser la maîtrise une technologie d'un pays à un autre

désertification ont fortement amputé le potentiel de production des terres. Les cultures itinérantes telles que celles du café ont laissé derrière elles des millions d’hectares qui ne pouvaient plus être utilisés que pour des cultures moins exigeantes. Le surpâturage et l’agriculture intensive détruisent le couvert végétal et l’humus qui protègent les sols contre l’érosion. Sur un sol érodé, la pluie n’abreuve pas la terre mais court se jeter dans les ruisseaux. Le sol reste sec. Il se tasse et devient peu absorbant

importante que par le passé. La conséquence de cette nouvelle réalité est une tendance à l’aggravation de la pression de l’homme sur l’espace ruraux et principalement la dégradation des ressources naturelles (eau, forêt Références et sol) par le surpâturage, le surpompage, la surexploitation et l’accentuation de la sécheresse, avec comme corollaire, l’exacerbation de la saturation des activités agricoles proprement dites. Un tel phénomène place l’élaboration d’une politique nationale d’aménagement

s’effondrent (Croissance de la population la + importante (Richesse par tête la + faible (Problèmes les + criants devraient se faire sentir : doublement de la population en 25 ans, surexploitation dans tous les domaines, déforestation, surpâturage, surexploitation des matières premières non renouvelables, sur pêche (Logique malthusienne (Situation de pénurie ( situation de conflit (Problème de partage des richesses (Le problème le + important est le problème hydrique

moratoire sur la chasse à la baleine permet mondial, et 1 130 espèces de mammifères à l’espèce de se repeupler depuis 1986. (1 /4 du total) sont menacées d’extinction. Un tiers des ressources halieutiques de la planète sont surexploitées ou épuisées Le surpaturage est responsable de 35% de la Près de 10% de la surface du globe, soit 12,2 dégradation des sols, la déforestration de 30% millions d’hectares, sont des espaces protégés, et l’agriculture de 27% 5 fois plus qu’il y a trente ans. La concentration

3 OSI : Organisation de solidarité internationale 2 3 I – ENJEUX On estime que 3,6 milliards d’hectares de terres sont sujets à des risques de dégradation dus à une mauvaise gestion des terres, de l’eau et des ressources végétales, au surpâturage et au prélèvement excessif de bois de chauffe, à des pratiques agricoles inadaptées entraînant l’érosion, la perte de fertilité et la salinisation des sols. Le stade ultime de la dégradation conduit à des situations irréversibles. Plus d’un