Surproduction

soit par la consommation. Une augmentation de la demande crée alors des débouchés. En conséquence, plus les producteurs sont nombreux et les productions multiples, plus les débouchés sont faciles, variés et vastes. Il ne peut y avoir crise de surproduction globale. Un excédent ne peut toucher que certains secteurs et ne serait pas durable. Globalement, l’équilibre entre l’offre et la demande existe toujours à long terme grâce à un ajustement spontané des flux économiques (production, consommation

faible Début du déclin britannique Ascension de l’Allemagne et des E.U. -1929-1932 : Crise des années 30 Essoufflement de la demande Surproduction ( hausse des stocks) Baisse des prix Baisse des salaires Baisse des revenus des entreprises Faillites/Licenciements (Crise sociale) Surproduction Krach boursier Spéculation boursière

Définition : Le marché est un lieu abstrait sur lequel se rencontre des offreurs et des demandeurs. C’est la confrontation entre l’offre et la demande sur le marché qui va déterminé le prix. B- Pe Pe Offre>Demande Surproduction Offre>Demande Surproduction Demande > Offre Sous production Demande > Offre Sous production Quantité demande Quantité demande Quantité offerte Quantité offerte Prix Prix La formation du prix sur le marché Lorsque l’offre est supérieur

variés et vastes. Dans une économie où la concurrence est libre et parfaite, les crises de surproduction sont impossibles. Il ne peut y avoir de déséquilibre global dans les économies de marché et de libre-entreprise, il y a un équilibrage spontané des flux économiques (production = consommation, épargne = investissement). Say ne nie pas la possible existence d'excédents, mais les crises de surproduction ne touchent, pour lui, que certains secteurs et ne sont pas durables. Fourastié : Conteste

La crise de surproduction : l'analyse de Karl Marx (1818-1883) est bien antérieure à celle de Keynes et elle met en cause la logique même de l'accumulation des profits réalisés par les capitalistes, accumulation qui les amène à développer les capacités de production à un rythme supérieur aux capacités de débouchés de la consommation. Ce décalage récurrent conduit à un retour régulier des crises de surproduction qui engendrent un chômage de masse aggravant la situation de surproduction. Marx voit dans

reste la contrainte morale, c’est-à-dire l’abstinence et la chasteté, puisqu’il faut à tout prix limiter la croissance démographique, pour éviter qu’elle ne dépasse les potentialités de la production.  On peut résumer les crises en deux partie = surproduction et Etat stationnaire Les pays sous dev ne peuvent pas supporter les charger d’une pop qui augmente (éducation, logement, alimentation, santé..), il faut consacrée les fond pour IN et croissance. C’est donc ca la relation étroite entre l’augmentation

marché des biens produits. Les entreprises anticipent leurs ventes pour un montant qo* = 120 et produisent O = 120. Mais les ménages envisagent d'acheter un montant qd* plus faible égal à 100. Il y a donc au départ une offre excédentaire, une surproduction égale à qo* - qd* = 20. Admettons que la demande effective s'accroisse un peu grâce à des rabais de prix, des promotions commerciales et devienne qd = 105. La situation finale est: qd = qo = 105 qd* + ∆d = qo* + ∆O = 105 100 + 5 = 120 - 15. La

Depuis le début du réchauffement climatique causée par les humains en 1950, plusieurs écologiste mettent la faute sur la surproduction et l’utilisation excessive de l’automobile. En 1912 la république de chine a été officialisée et c’est à partir de se moment que les chinois s’ouvrent aux sociétés occidentales. Ils adoptent leurs habitudes, leurs technologie et bien évidement les voitures. Plusieurs écologistes, dont David Suzuki, s’entendent sur le fait que si les chinois émettent du dioxyde de

actions ne vole plus rien et chacun cherche a s’endebaraser difficilement trouve des aqueilleur. 3) La surproduction industrielle et agricole II- LES MANIFESTATIONS DE LA CRISE ECONOMIQUE DE 1929 AUX ETATS-UNIS Malgré la bonne santé affichée par l’économie américaine à la fin des années vingt, les bases de la croissance apparaissent de plus en plus fragiles en raison de la surproduction industrielle, de la spéculation boursière, du recours trop important aux crédits et de la persistance de

gouvernements trouvent différents moyens : * Flexibiliser le marché du travail Réduire les salaires donc le pouvoir d’achat et baisse de la conso. * Réduire le budget de l’Etat : diminution Dépenses Publiques qui entraine le chômage La crise (Surproduction : O > D ) fournit les arguments pour contredire la pensée néoclassique. Il faut relancer la demande. Keynes contredit radicalement les Néo Classiques. C’est un théoricien du capitalisme. Le capitalisme est bon mais il a besoin d’être régulé :