Surproduction

va progressivement s’ajuster  jusqu’à ce que l’offre et la demande soient à des niveaux d’équilibre.   Par  exemple, lorsque l’offre  excède la demande,  des produits sont invendus sur le marché. Le marché  est  en  situation  de  surproduction.   Les  vendeurs,  pour écouler  cette surproduction, vont être incités  à  diminuer  leur  prix.  Cette  réduction  du  prix   va  induire  une  réduction  de  l’offre  ainsi  qu’une  augmentation  de  la  demande  dont  les  niveaux vont se rapprocher.  Le mécanisme de 

matière de sécurité alimentaire impose, une meilleure traçabilité des processus de fabrication. Le morcellement de l’offre conduit  à des problèmes de lisibilité pour le consommateur (450 appellations, 127 dénominations, 650 vins de pays). La surproduction génère une baisse du cours moyen du tonneau qui descend dans certains cas en dessus du seuil de rentabilité actuel. Les espoirs de la profession portent sur un regain crédible de consommation nationale, mais surtout, sur la relance de l’exportation

poussière dans le Texas en 1935. Depuis le XIXe siècle, la Corn Belt (« ceinture de maïs ») est la principale zone agricole de ce pays - la Sun Belt étant connue pour ses fruits. Dans les années 1930, l'agriculture subit une crise majeure de surproduction et de paupérisation des agriculteurs (ou farmers). Le Dust Bowl (« Bol de poussière »), des tempêtes de poussière et une sécheresse, provoqua une catastrophe écologique qui toucha, pendant près d'une dizaine d'années, la région des grandes plaines

l’argent. Commerce et industrie affectée. Les Américains vont se retrouver ruinés. Ils doivent continuer malgré tout à rembourser leurs prêts. Saisie. Conséquences: Chômage élevé ( pays industrialisé). Création de la soupe populaire. Surproduction dans tous les domaines. Ralentissement de la production ( voir arrêt ). Licenciement. Multiplication des faillites dans tous les secteurs. Tout le monde est endetté. Diminution du pouvoir d’achat. ( misère pour certaines classes

révolution verte qui consiste à faire des progrès technologique comme les engrais artificiels, les pesticides, les semences améliorée et l’irrigation, les Indiens sont parvenus a l’autosuffisance alimentaire. Document 3 : Une révolution verte de surproduction Les agriculteurs veulent toujours augmenter leurs productions, ils ont abusés des pesticides des produits phytosanitaires, et ont toujours plus pompés dans les nappes phréatiques... Pourtant l’irrigation sans dispositifs de drainage risque

Libre-échange et retour au protectionnisme A – La crise économique de 1873 Les causes profondes de la crise: l’industrie lourde (surtout pour la construction des chemins de fer) commence à s’essouffler. La mauvaise répartition des revenus, ajoutés à la surproduction et à la spéculation financière causent une forte fluctuation des prix et une chute du pouvoir d'achat des classes populaires. De plus, la crise agricole augmente le prix des denrées de première nécessité, dont le blé et le pain. Le Détonateur

demande de biens de consommation insuffisante et les inégalités grandissait. Au niveau des finances, La spéculation excessive et surévaluée de nombreuses actions a amené l’économie américaine sur un climat de mensonge : les entreprises étaient en surproduction au dépit de la demande et les actionnaires doutaient de la véritable valeur de leur placement et manquaient donc de garanties suffisantes. De plus, de nombreuses entreprises furent crées et de nombreux commerçants s’installèrent sur le marché américain

communication à travers la publicité. Sur le marché national, la politique de niche et de prix élevés nous a amené à pratiquer des prix dans la fourchette haute. Nos prix se sont révélés être trop bas. Ce prix a été revu à la hausse sauf les années de surproduction. Nous avons considéré la période 6 comme l'aboutissement de cette stratégie ( prix période 6 10). Les forces de vente sont faibles (~ 4,5% du CA) et stables. Le pourcentage publicité efficace sur le CA est de l'ordre de 7%. Sur le marché export

la production (Doc. 2/Doc. 5). Une chose cependant inquiète, l’abime creusé entre la productivité et le pouvoir d’achats ne cesse de grandir, le pays de l’oncle Sam où la production se fait à un rythme effréné est plongé dans une période de surproduction (Doc. 4/Doc. 8/Doc. 12). En 1929, la bourse s’écroule. De plus, les prix des matières premières se sont envolés en raison de l’épuisement des stocks. Les « States » sont officiellement en crise. Les Américains s’imposeront économiquement en Europe

d’augmenter la production grâce au travail à la chaîne ( = mécanisation et spécialisation du travail) ; les salaires des ouvriers étaient indexés sur les gains de productivité ; plus aisés, les ouvriers pouvaient consommer à leur tour et éviter la surproduction. La société proposée repose sur la consommation et la production (écho au discours du DCI rappelant que le goût des fleurs, peu productif, est remplacé par celui des loisirs en plein-air). La Ford T : première voiture produite sur des chaînes