Surproduction

Tout d’abord au niveau économique, car comme on peut le constater dans le texte de synthèse de C. Bruneel, F. Daelmans et d’autres spécialistes, les productions céréalières des agriculteurs augmentèrent ce qui leur permit de commercialiser leur surproduction. Les agriculteurs y gagnèrent beaucoup car d’après la synthèse de G. Dejongh, les prix agricoles augmentèrent car la demande aussi s’intensifia, ce qui accrut encore plus leur revenus. L’exportation de leur production et le développement des routes

Offre de force de travail Pouvoir d’achat Demandeur Force de travail Marché des capitaux Agents en capacité de financement Agents en besoin Tout marché peut être en situation d’équilibre : offre = demande Dans la réalité 2 déséquilibres : la surproduction la sous production Le retour à l’équilibre se fait par la flexibilité des prix 1) Les règles de fonctionnement du marché Les conditions de la concurrence pure & parfaite (CPP) : L’atomicité : aucune entreprise de par sa taille ne peut influencer

La Crise de la dette de 2008, comparée à la crise de surproduction de la crise de 1929. Introduction: Le monde du capitalisme a connu de nombreuses crises, comme celle de 1907, 1920, ou encore 1973 mais deux d'entre elles ont marqué leur époque. Pour cause, nous avions deux crises de types bien distinct, puisque l'une: 1929 était due à une spéculation très importante de la part des ménages, puisque nous étions dans les vingt glorieuses des américains (emprunts de la part des ménages pour

pommes + PAC et exigence de l’Europe - influences de l’Europe : cours du maïs intéressant donc les Français doivent absolument produire maïs, gens poussés par subventions (paradoxe, subvention pour laisser champs en friche, car situation de surproduction) - agriculture connectée à un système commercial mondial - France qualité – quantité – variété : France #1 -plus d’agriculteurs que dans les autres pays d’Europe - normes européennes contraignantes : lait pasteurisé = entrainerait la fin de

boursière entraine une flambée du cours des actions sans corrélations avec la valeur réelle des entreprises (bulle spéculative). De plus, les banques acceptent de faire crédit aux petits porteurs pour acheter des actions. Il y a également une surproduction industrielle qui se caractérise par des entreprises qui produisent davantage qu’elles ne vendent. Ce qui signifie que la consommation se ralentit. Le chômage persiste autour de 10%On remarque donc que la prospérité est ternie par des ralentissements

méfiance s’installe, le krach se mue en dépression. q Les États-Unis en crise(s) L’arrêt de la spéculation boursière ruine le crédit et met les banques en difficulté (en deux ans, 4200 faillites). La baisse de la consommation provoque une crise de surproduction particulièrement grave dans un pays dont le développement économique est d’abord dû au marché intérieur. Les prix baissent à leur tour, de 50% dans l’agriculture, de 25% dans l’industrie. La crise sociale accompagne la crise économique.

maine tel le salut miliaire vers l’argent. 4-L’Allemagne vaincu est en difficulté car non seulement elle doit se reconstruire mais doit aussi payer des réparations. En 1930, elle est touchée par le crise économique et sociale: baisse des prix, surproduction, faillite, chomage…En 1933, il y a 6million de chomeurs en Allemagne, la misère se développe ainsi que le mécontentement de la population. 5-La richesse du gros homme est symboliser par son costume, sa bague et bien sûr son argent. C’est un

fruit de la production. C’est la production qui ouvre les débouchés aux produits. Puisque toute la production (= tous les revenus) se trouve redépensée par les ménages ; il ne peut, dans l’ensemble de l’économie, exister de crise généralisée de surproduction. Hypothèse 1 : La monnaie est un intermédiaire des échanges. c) Les implications politiques : Les classiques admettent qu’il peut exister, de façon transitoire et sur certains marchés, des déséquilibres. Selon Adam Smith, s’il on

fordisme et présenterez cette organisation de la production. I. Les crises du fordisme A. Le taylorisme et le fordisme ne s’adapte plus aux nouvelles contraintes du marché • Marché est saturé à cause du suréquipement des ménages = phénomène de surproduction. Remise en cause de la standardisation où l’Offre crée la Demande. • Internationalisation du marché : pb lié à la politique des hauts salaires dans un contexte de mondialisation. La concurrence internationale s’intensifie, le salaire n’est plus

(optimum collectif). - La loi des débouchés : J.-B. Say dit que « l’offre crée sa propre demande ». Toute production de bien entraîne la distribution du coût des facteurs c'est-à-dire des moyens nécessaires à leur acquisition. Les crises de surproduction sont impossibles. - Libre –échange et libéralisme économique : A. Smith justifie le libre échange par la loi des avantages absolues et D. Ricardo par la loi de l’avantage comparatif. Le commerce international est favorable à tous les pays