Survêtement

dressing = a walk-in closet = une penderie • le caravaning = going camping with a / une garde-robe caravan = le caravanage • un pressing = a dry-cleaner = un nettoyeur / • un jogging = a tracksuit (dans le sens de dégraisseur survêtement de sport) = un survêtement • un bow window = a french window = un oriel • un smoking = a dinner jacket (G.B.) ou tuxedo (E.U.A.) L'effet boomerang Les langues s'enrichissent mutuellement. Si la langue française emprunte actuellement beaucoup à l'anglais

permet d’offrir des collants et sous-vêtements confortables, souples et solides, ce qui explique le succès de ce comarquage. De même, le tissu Micro-Loft de DuPont de Nemours fournit de la ouate confortable et chaude aux parkas Aigle et Eider. Les survêtements Sergio Tacchini ont pu grâce à 3M intégrer le traitement antitâche et antipluie Scotchgard, particulièrement adapté pour les athlètes de haut niveau. Ces innovations qui apportent un avantage réel aux produits sont très largement appréciées par

 Elle y touche à peine. Si elle avait trois sous devant elle, elle sepaierait bien cette petite commode (un truc pour enfant, en bois blanc). Onsonne. Claire décroche l’interphone. C’est Nadia. Elle se change à toutevitesse, quitte son vieux bas de survêtement vert molletonné contre unpantalon noir, le tee-shirt Naf Naf trop grand et usé pour un Petit Bateau, tailleseize ans, résolument petit et collé à sa peau très pâle. Claire se sent mal à l’aise. Elle ne sait pas quoi dire. Elle se sent bête. 

(utilisation développée du verlan et d’expressions propres aux banlieues, bien qu’elles peuvent ensuite se diffuser à l’extérieur et être reprises par la majorité de la jeunesse), la façon de s’habiller (le cliché éculé de la casquette à l’envers et du survêtement), le hip-hop (avec le rap, le graffiti). Ces dernières années, on a pu constater dans la sphère publique que le mot « ghetto » était de plus en plus utilisé non seulement par certains acteurs politiques mais aussi et surtout par les habitants de

ceux-là, la possession et l’utilisation d’une « tenue d’E.P.S. » semble particulièrement retenir l’attention.45Il s’agit, pour les élèves de changer de vêtements au début du cours d’E.P.S. ou d’arriver dans l’établissement en étant revêtu d’un « survêtement » ou d’un « short » et de chaussures de « sport » (on entend en général par là chaussures multisport). Dans certains cas cela donne lieu à un passage par une zone de « transit », par une sorte de sas : le vestiaire.46Ce rituel est particulièrement

interactions ne peuvent se prévoir, la plupart sans doute sont informelles, et l’une des particularités de l’enseignant expert est de savoir les prendre en compte dans sa classe pendant le déroulement même de la leçon (M.Durand, Chronomètre et survêtement, Ed. Revue EPS, Paris, 2001). Nous avons aussi souligné que les interactions pouvaient s’envisager le long d’un continuum du début du collège à la fin du lycée afin de prendre en compte le développement psychoaffectif et cognitif des adolescents

2 : Prise de notes de Renaud WENCK suite à entretien avec la Présidente du basket club de Chauray ÉQUIPE PREMIÈRE FÉMININE Géant Casino est le sponsor principal du club de Chauray (il est présent sur les jeux de maillots, de sur-maillots et de survêtements). Mais d’autres actions de sponsoring sont possibles :  un panneau réalisé par le club de basket (dimensions : 3 m x 1,50 m) peut être fixé dans la salle des sports de Chauray : participation financière annuelle du sponsor de 990 € HT ;  un

nourriture mettant en avant l’odeur : « graillon » (l. 29), « morceaux de poulet décongelés dans leur sauce chimique » (l. 86-87). La laideur en scène grâce à la vue : serveuses « enlaidi[es] » (l. 30), « visière insensée » (l. 31), gens en « survêtement » (l. 33), femmes « laides » (l. 34) et hommes « gros » (l. 34), « table dégueulasse » (l. 54). On peut noter aussi la vulgarité qui émane de l’atmosphère du McDonald : certaines personnes s’essuient et se mouchent dans la même serviette, ils

travers le regard des « pairs ». La tenue « racaille » est une marque de virilité –qui sert à démontrer son hétérosexualité- et un uniforme –symbole de l’appartenance à la cité mais aussi, paradoxalement, à la société de consommation. Baskets et survêtement blancs immaculés. Casquette. Au moins deux téléphones portables. Les cheveux hypercourts, sinon rasés. Le « capital guerrier » (Thomas Sauvadet) est déterminant pour conquérir sa place. Il peut y avoir « accumulation du capital guerrier ». Un

niveau de 2002. Le marché de la revente de vêtements d'occasion, des dépôts-vente ou des foires aux vêtements, s'il est difficile à évaluer, prend une place grandissante dans les achats. Du côté des hommes, où l'on constate un redémarrage des survêtements et des sweatshirts, la consommation a mieux résisté, avec une baisse qui devrait être limitée à 0,5% en 2012 et une stabilisation (-0,1%) attendue en 2013. Le marché masculin profite d'un élargissement considérable de l'offre. Les chaînes ont fait