Susciter Le Rejet Du Lecteur

dans l’espace public »p20). L’auteur s’attaque aux discours politiques et publics français centrés sur le thème l’islam en essayant de nous démontrer que celui-ci, est le plus souvent utilisé afin de stigmatiser une minorité et qu’il ne sert qu’à susciter la crainte. C’est ainsi que Olivier Roy, dans sa longue introduction, s’adresse au grand public avec des formulations claires et précises : « Si c’est l’immigration ou le Moyen Orient qui font problème, il faut le dire clairement et cesser de nous

autres ; ils fournissent des imaginations, des sujets, des styles à tous les arts : leurs œuvres sont les mines ou les entrailles de l’esprit humain. »,on ne peut s’empêcher de penser que Chateaubriand défend sa propre position d’auteur romantique rejeté au sein du cercle littéraire. Mais il s’agit aussi de bien comprendre la place du génie dans l’histoire littéraire. Elle désigne traditionnellement les ouvrages et les manuels proposant un parcours historique de la littérature ainsi que son évolution

terme hyperboliques, images valorisantes Le Registre satirique - critique des défauts d’un individu que l’on tourne en ridicule. Cherche à emporter l’adhésion du lecteur en le faisant rire ou sourire. Le Registre polémique - Textes souvent argumentatif combattant des personnes ou des idées Le registre épique - Susciter l’admiration en amplifiant les évènements. Le registre tragique - Inspirer la terreur et la pitié. Montre l’homme face à une puissance qui le dépasse (le destin

animal. « Tu » familiarité bienveillante. L’homme est mis en avant. Dieu a le souci de l’homme. Il ne parle pas de lui. L’homme à une place dans l’univers mais aussi dans les préoccupations de Dieu. Un rapport de création, de familiarité. Le rejet de « élu » en fin de phrase  liberté « Imprime-toi de la figure que tu veux »  apparence « Biens » Valeur morale qui se transmet de génération en génération. Dieu n’impose pas de morale. Contraire de la religion car elle impose une religion.

le cadre d’une histoire fictive ou d’un dialogue, les péripéties ou le moralisateur convainquait finalement le sceptique afin de prouver au lecteur la véracité absolu de la thèse. Diderot, lui, n’affirme pas la leçon des lumières. Il met la met à l’épreuve: la « vertu naturelle », la question de l’ « universalité » et même son « optimisme » et amène le lecteur à se créer sa propre opinion. Le seul objet de sa démonstration est la prédominance de la pluralité dans le monde réel. Même s’il a des idéaux

description de l’étude. Deuxièmement, nous développerons la notion de transformation des personnages, leurs évolutions au fil de l’histoire en s’attachant à leur changement de personnalité. Dernièrement, nous nous intéresserons à la relation du lecteur avec l’histoire et à la place de la narration dans le récit. Notion du temps romanesque et description Pour débuter, nous voyons après une première recherche, plusieurs indicateurs temporels tel que « six mois après cet évènement, Derville,

commençant encore par une affirmation qui est développée ensuite, cela rejoue le rôle d’un titre ce qui est un peu redondant avec le début du paragraphe précédent.*« honte »(l.1), « dégoûtant »(l.2), « méprise »(l.7), champ lexical de l’ humiliation, du rejet→cette rue est très repoussante puisque le poète a besoin de le souligner à de nombreuses reprises* « rage écumante de la mer »(l.11) : personnification de la mer→elle est puissante et enragée, ce qui donne un coté hostile à la mer habituellement apaisante*Champ

« je pense » (l.9).Par la suite,« Je n’ai point oublié que je ne m’appartiens pas ; je me suis toujours souvenu, dans mes longues traversées, du petit banc de bois … » (l13-14), instaure une atmosphère nostalgique. L’évocation de ce souvenir semble susciter un grand espoir chez Eugénie, « Eugénie se leva comme si elle eut été sur des chabons ardents, et alla s’asseoir sur une des marches de la cour » (ligne 15-16).Enumération des souvenirs communs à Charles et Eugénie entre les lignes 17 et 19. Charles

qu'est Madame Arnoux, met en avant la visée du roman: susciter l'imagination. Le champ lexical du divin fait ressortir l'imagination: «apparition», «éblouissement», «lumière». Elle lui apparaît comme le fantôme de l'amour, insaisissable. Elle l'ébloui par sa pureté, sa bonté et sa beauté tel une sainte. La lumière à un rapport au paradis et Madame Arnoux serait un ange tombé du ciel. Déesse, fantôme, ange tous des être inexistant, qui oblige le lecteur à user de son imagination pour se là représenter

la liberté et l’égalité et dénonce toutes les injustices, et préfigure l’Encyclopédie. Il l’est aussi du fait du choix de l’ironie comme arme de dénonciation de cette pratique barbare, l’argumentation indirecte permet, en effet, de susciter une réflexion chez le lecteur plutôt que de le convaincre en l’enfermant dans un raisonnement qui n’est pas le sien. Montesquieu choisir donc de donner à voir les arguments des esclavagistes qui servent à justifier cette pratique. Que dénonce Montesquieu ?