Susciter Le Rejet Du Lecteur

Registre : Comique : Suscite le rire et l'amusement. Il peut s'agir de jeux de mots, de quiproquos, de comique de situation ou de personnages. Tragique : Évoque la pitié et la terreur, souvent à travers le récit de destinées fatales et de grandes souffrances. Lyrique : Expression des sentiments personnels et intimes, souvent avec une grande musicalité et une forte présence de la nature. Épique : Raconte les exploits héroïques d'un personnage exceptionnel, souvent

4 familles : - le genre narratif - le genre théâtral - le genre poétique - le genre argumentatif (littérature d’idées) Ne pas confondre le genre et le registre. Le registre désigne le ton avec lequel l’auteur s’adresse au lecteur. 2. des catégories perméables Il est parfois difficile de classer une œuvre dans un genre unique. Ex : la fable appartient au genre poétique (vers) mais figure aussi dans le genre de l’argumentatif puisque sa visée est morale. - le genre

abandonnée, on y retrouve presque toujours la musicalité évocatrice des allitérations et des assonances. Un enjambement est le renvoi d'une partie de la phrase au début du vers suivant. Il suscite une attente car le lecteur a tendance à s'arrêter en fin de vers. L'enjambement met en relief le mot ou groupe de mots rejeté au vers d’après. La diérèse consiste à dissocier deux voyelles côte à côte dans un mot. Ex. : le mot nuit peut se prononcer nu/it. Ce phénomène met en valeur le mot. A l'inverse, la

: La guerre est joyeuse selon Candide s’oppose avec la dissonance brutale de Voltaire quand il passe des tambours aux canons. Le mot « enfer », rejeté en fin de phrase pour renforcer la surprise, exprime les intentions ironiques de Voltaire. Voltaire semble voir la guerre avec les yeux de Candide, mais ses mots ramènent brusquement le lecteur à la réalité. - La boucherie héroïque : Quand Candide prend « le parti d’aller raisonner ailleurs des effets et des causes » ce qui souligne encore

frissonnait chaque fleur” Personnifications L’angoisse se répand à l’intérieur de tout, elle habite le rêve. “funèbres, plaintifs, féroces, frissonnaient, fleur” Allitération en f Sonorité désagréable, inquiétante “pénitents noirs” Référence religieuse Suscite l’épouvante (ce sont eux qui accompagnaient les condamnés à mort) Ponctuation, rythme « ce furent »x3 Mêmes procédés que dans la strophe 1 que l’on retrouve dans la strophe 3 : rythme ternaire Répétition du rythme dans les phrases, les strophes

vivante de la littérature, qui se prête à défendre des idées, de par ses dialogues qui peuvent adopter une forme argumentative, et par sa double-énonciation. Depuis l'antiquité, de nombreux Hommes utilisent le jeu de la séduction, un procédé visant à susciter délibérément une admiration, une attirance, ou encore si cela va plus loin, de l'amour. A travers les époques, la séduction a été un thème récurant au théâtre et fut souvent sujet a la controverse. Pourquoi et comment l'art du théâtre se prête-t-il

l’autre la pauvreté extrême. Hugo s’empare du grand thème de la mélancolie en poésie, dont l’écriture rappelle le titre d’une gravure de Durer, où un ange constate les malheurs du monde. C’est ici la posture qu’adopte notre poète, en invitant le lecteur à agir, et en mettant la voix poétique au service du combat social. Comment Hugo fait-il une peinture saisissante de la misère dans notre extrait ? Nous verrons dans une première partie, du début à « un long éclat de rire », une scène de rue dramatique

«homme énigmatique», le mot signifiant qu’il est un être singulier, qui intrigue, qui maintient une distance avec les autres, qui semble être celui qui ne joue jamais le jeu, qu’on ne peut pas ancrer quelque part, qui est difficile à comprendre, qui suscite justement les interrogations que lui fait la voix sociale. Le déroulement : Le questionneur, qui tutoie son interlocuteur, lui pose d’abord, avec bienveillance et courtoisie, en usant de cette marque de l'oralité, «dis?», qui est une expression

rêverie, le mystère et le fantastique Le romantique aime le mystère et le surnaturel. Le fantastique connaît un grand succès au XIXème siècle : il y a les spécialistes du genre, c'est à dire Théophile Gautier,  Dans le récit fantastique, le lecteur hésite devant une explication réaliste ou surnaturelle des évènements décrits. Le récit fantastique est à l'image de la littérature romantique : il se construit sur l'opposition et la contradiction. II - Le drame romantique L'essentiel du combat

«homme énigmatique», le mot signifiant qu’il est un être singulier, qui intrigue, qui maintient une distance avec les autres, qui semble être celui qui ne joue jamais le jeu, qu’on ne peut pas ancrer quelque part, qui est difficile à comprendre, qui suscite justement les interrogations que lui fait la voix sociale. Le déroulement : Le questionneur, qui tutoie son interlocuteur, lui pose d’abord, avec bienveillance et courtoisie, en usant de cette marque de l'oralité, «dis?», qui est une expression familière