Suzanne et les vieillards

matières Voilà qui jette une lumière nouvelle sur les significations qui entourent les images tant caressées de la femme au bain, dont les grandes héroïnes, à côté de la Diane chasseresse, sont des personnages célèbres de la Bible : Bethsabée et Suzanne. Toutes ces héroïnes ont donné lieu à de nombreux tableaux et tapisseries dans les écoles de peinture allemandes, françaises, italiennes. De l’histoire de Bethsabée, on retient surtout que David s’en éprit et qu’il usa d’un macabre stratagème pour

enfants, des vieillards, mais surtout des femmes, dont les nerfs, encore une fois, n'ont pas besoin d'être excités. Le crime du ch. XI avait contribué à restituer en Thérèse une sorte de paix intérieure, la lecture met fin à cette stase : « L'équilibre, qui tendait à s'établir en elle, fut rompu. Elle tomba dans une sorte de rêverie vague » (ch. XVI). Dans la pièce de théâtre issue du roman, Zola maintiendra cette critique implicite de la lecture en la reportant sur le personnage de Suzanne, amoureuse

décrire telle qu’elle est. Les modèles utilisés par l’académie sont un exemple de perfection, froideur, artifice. Par contre, les modèles pris de la rue ou de la nature représentent l’humanité elle-même, des gens de tous les âges, soit jeunes ou vieillards, soit beaux ou laids, avec des défauts, bossus, ils sont comme cela en raison de la vie qu’ils mènent, ils ont des difformités de leur travail ou de leurs émotions. Avec lui, il apparaît une nouvelle figure qui se détache de l’académicien et de

tableaux.) Oui, je me reconnais ; C’est moi, c’est moi. (Il va raccrocher les tableaux sur le mur du fond, à coté des têtes des rhinocéros.) C’est moi, c’est moi. (Lorsqu’il accroche les tableaux, on s’aperçoit que ceux-ci représentent un vieillard, une grosse femme, un autre homme. La laideur de ces portraits contraste avec les têtes des rhinocéros qui sont devenues très belles. Bérenger s’écarte pour contempler les tableaux.) Je ne suis pas beau, je ne suis pas beau. (Il décroche les

JOURS Séquence et problématique Séquence 3. Le Mariage de Figaro, une pièce spectaculaire aux accents révolutionnaires ? Lectures analytiques : Œuvre intégrale : Beaumarchais, Le Mariage de Figaro , 1778 œuvres intégrales et - acte I, scène 08 : « SUZANNE aperçoit le Comte: Ah!... groupements de textes - Lectures cursives : textes et documents complémentaires Activités complémentaires (Elle s'approche du fauteuil … se met devant le fauteuil. » (cf. doc. joint) acte III, scène 05 : « FIGARO, à part

Cyrano de l'aider. Vient ensuite la fameuse scène du balcon, où Cyrano séduit Roxanne à la place de Christian. Après l'étape de la séduction vient celle du mariage, illustrée dans le Mariage de Figaro de Beaumarchais où l'on met en scène les noces de Suzanne et de Figaro, qui vont être bousculées par plusieurs obstacles. Après le mariage viennent les conflits au sein de la famille. Le théâtre représente souvent ces conflits de la vie quotidienne, si bien qu'un genre théâtral est né au XVIIIème siècle

JOURS Séquence et problématique Séquence 3. Le Mariage de Figaro, une pièce spectaculaire aux accents révolutionnaires ? Lectures analytiques : Œuvre intégrale : Beaumarchais, Le Mariage de Figaro , 1778 œuvres intégrales et - acte I, scène 08 : « SUZANNE aperçoit le Comte: Ah!... groupements de textes - Lectures cursives : textes et documents complémentaires Activités complémentaires (Elle s'approche du fauteuil … se met devant le fauteuil. » (cf. doc. joint) acte III, scène 05 : « FIGARO, à part

de même. -ils ont une valeur symbolique : ils déterminent l'appartenance à une classe sociale (port de l'épée ou non, mais Figaro est supérieur en intelligence au Comte, chez Beaumarchais), ou à tel type de rôle (le jeune premier, bien mis, le vieillard négligé ou vêtu à l'ancienne, la coquette, dentelles et souliers fins, etc. Parfois le spectateur attend un costume précis d'après la lecture de la pièce et le metteur en scène a choisi une autre voie : Célimène peut être de rouge vêtue, fringante

explicitement dans un poème en prose portant le même titre que la pièce des Fleurs du Mal et dont le texte éclaire cette dernière en précisant les contours5 ». Quant à Suzanne Bernard, elle voit dans le poème en prose un « commentaire » du poème en vers, où elle déplore les « éléments étrangers » qui « gênent la cristallisation poétique »6. Suzanne Bernard juge le poème en vers bien supérieur au poème en prose grâce à son rythme inimitable, certes, mais surtout « parce qu'il réalise une harmonie rare de

Il veut nous dire que le miracle est universel. Suzanne et les vieillards 1557 mise en scène du regards. Elle s'offre toute entière au soleil, mais des vieillards l'obsevent. Ils vont l'accusé d'adultère et seront lapidés. Suzanne à la toilette, un idéal extrêmement charnelle. Cette claustra qui plonge le corps dans l'ombre. C'est une courtisane, lingerie fine, flacon de verre, bracelet. Pourquoi représenter Suzanne, qui représente la pudeur, sous les traits d'une courtisane