Syllogisme Pascal

considéré comme l'inventeur de la logique : il a élaboré une théorie du jugement, a systématisé l'usage des syllogismes et a décrit les rouages des sophismes. Remarque 1 : un sophiste est un orateur et un professeur d'éloquence de la Grèce antique, dont la culture et la maîtrise du discours en font un personnage prestigieux Remarque 2 : le syllogisme. En logique aristotélicienne, le syllogisme est un raisonnement logique à deux propositions (également appelées prémisses) conduisant à une conclusion

dans le domaine des vérités vérifiables, càd dire dans le domaine des sciences et des maths notamment. C’est établir le vérité d’une manière contestable et rigoureuse par déduction logique < démontrer un théorème, voir les démonstrations de Blaise Pascal. 2. Convaincre : Le texte agit sur l’opinion de son destinataire en faisant appel à sa raison (mais pas seulement dans le domaine des sciences comme dans le verbe démontrer). Très souvent, la conviction s’appuie sur un procédé d’alternance et d’opposition

constituent pas une méthode parfaite, dans la mesure où, toute vérité repose sur des propositions admises comme évidentes mais non démontrables (prémisses). Ainsi le syllogisme Aristotélicien : A, or B donc C part du principe que A et B sont vrais: « Tous les hommes sont mortels, or Socrate est un homme donc Socrate est mortel ». L’étude des syllogismes nous a montré une chose : tout ce qui est démontrable n’est pas nécessairement vrai car une démonstration peut être fausse ou à la fois vraie et fausse. Outre

Anagogie : en relation ave l’exégèse biblique, il s’agit de la recherche du sens spirituel et mystique des Écritures. * Antanaclase : répétition d’un mot dans une acception différente. Exemple : "Le cœur a ses raisons que la raison ne connaît pas." (Pascal) * Antonomase : prendre un nom commun pour un nom propre, ou l’inverse. * Asyndète : (« absence de liaison ») suppression des particules de coordination ou des conjonctions, et par extension de toute liaison attendue ou logique, dans l’ordre

sont vrais ?? C’est qu’ils sont basés sur la simple raison et la pure logique. Du point de vue philosophique, Aristote parvient à nous dire que la démonstration exige au moment initiale une certitude profonde : « c’est une démonstration quand le syllogisme part de prémisses vraies et premières, ou encore de_s prémisses telles que la connaissance que nous en avons prend elle-même son origine dans des prémisses premières et vraies_ » (texte p.107) Ainsi la « vraie » démonstration part de choses admises

monstration par la preuve expérimentale ou le constat dans le réalité pour les vérités de fait dont le critère est la correspondance entre l’idée et la réalité; il y a aussi l’intuition pour les vérités du coeur distinctes des vérités de la raison pour Pascal, dont le critère est l’évidence; ou encore l’épreuve du doute ( Descartes et le doute hyperbolique auquel résiste la certitude du cogito) Mais ne peut-on pas douter de ces vérités et des moyens de les établir? II. La démonstration reste le seul

considéré abstraction faite de la vérité matérielle des propositions qui le composent. Ainsi, un raisonnement peut être cohérent dans la forme (vrai formellement) malgré la fausseté matérielle d'une ou plusieurs de ses propositions. Par ex., le syllogisme suivant : « Tous les Chinois sont français, or je suis chinois, donc je suis français. » La logique formelle contemporaine exprime en langage d'implication ce que nous voulons dire lorsque nous affirmons que la validité d'une inférence est indépendante

des raisonnements spécieux ou « sophismes ». Les sophismes sont des raisonnements incorrects qui donnent une illusion de rigueur. La logique d’Aristote établit les règles du raisonnement correct, ou encore valide. La forme élémentaire en est le syllogisme, raisonnement en trois points, tel que la conclusion découle nécessairement des prémisses. Un raisonnement sera valide s’il est cohérent, c’est-à-dire si ses propositions découlent nécessairement les unes des autres, auquel cas elles ne peuvent

condition humaine. Les auteurs aiment à mettre en scène ou à opposer deux visions radicalement différentes, l’une dénonçant cette condition « faible et mortelle, et si misérable que rien ne peut nous consoler lorsque nous y pensons de près » tel Pascal et l’autre prônant la supériorité de l’homme face aux autres êtres vivants par sa morale, ses valeurs et sa civilisation. Ainsi la pièce d’Eugène Ionesco confronte la volonté de retourner à des valeurs et des besoins primitifs avec le conservatisme

encore, deux énoncés contradictoires ne peuvent être ni simultanément vrais, ni simultanément faux. Le syllogisme, objet central de la logique d’Aristote, est un enchaînement de trois propositions, la dernière (ou conclusion) étant déduite des deux premières ou prémisses (la majeure et la mineure). On peut représenter un syllogisme par des cercles emboîtés. Il existe différents types de syllogismes. Exemple : Majeure Tous les hommes sont mortels Tout B est C Mineure Socrate est un homme