Syllogisme Pascal

consentir qu’aux vérités démontrées ; mais la plus ordinaire, quoique contre la nature, est celle de la volonté ; car tout ce qu’il y a d’hommes sont presque toujours emportés à croire non pas par la preuve, mais par l’agrément. » Art de persuader, Pascal • Persuader : faire appel au « subjectif », aux sentiments • Convaincre : faire appel à la raison 2 Argumentation, persuasion : un tout orchestral • Des stratégies langagières avec des ingrédients relatifs au : – Psychique – Moral –

entraine une autre. Ainsi Platon ne s’y était pas trompé lorsqu’il y avait fait inscrire sur l’Académie « nul n’entre ici s’il n’est géomètre ». Mais c’est Aristote qui a codifié les règles de la logique dans l’Organon à partir de la définition du syllogisme « Discours dans lequel certaines choses étaient posées, quelque chose d’autre que ces données en résulte nécessairement du seul fait de ces données ». Le moyen terme doit être la cause de la conclusion et l’ordre des idées qui forme mon jugement

Dans l’Opuscule 484, Pascal énonce le paradoxe suivant : malgré une impossibilité invincible à tout démontrer, l’homme a en lui une idée tout aussi invincible de la vérité. Si la tendance de l’homme à rechercher la démonstration de tout dans une quête de vérité sans fin ne fait pas de doute, son issue malheureuse serait tout aussi évidente. Ceci étant admis, nous pourrions nous demander si l’on peut raisonnablement exiger de l’homme qu’il cherche à tout démontrer. Toutefois, nous devons également

vérité de sa conclusion en s’appuyant sur des prémisses reconnues ou admises comme vraies», si l’on en croit le dictionnaire d’André Lalande. Il existe différentes manières de démontrer : la déduction et le syllogisme, (que nous pouvons regrouper en un seul sous-ensemble puisque le syllogisme est un cas particulier de déduction), et la méthode des mathématiques, pour ne citer que les plus intéressantes pour le sujet que nous traitons. Nous débuterons notre analyse par la méthode des mathématiques

utilisée par les mathématiciens. Exemple : Deux droites parallèles ne se coupent en aucun point (idée générale). Donc ces deux droites qui se coupent au point a ne sont pas parallèles (conclusion). Parmi les raisonnement par déduction, il existe le syllogisme, forme de raisonnement très courante qui fonde une conclusion sur deux propositions posées comme vraies. Exemple : Argument 1 : Tous les hommes sont mortels. Argument 2 : Socrate est un homme. Conclusion : Donc, Socrate est mortel. c) Le raisonnement

déduction, l’induction et l’analogie sont les grands types de raisonnements. À l’intérieur de chacun de ces grands types, on trouve des types particuliers de raisonnements. Par exemple, dans le type déduction, on trouve le syllogisme catégorique, le syllogisme conditionnel, le syllogisme disjonctif. Le présent chapitre vise à vous rendre apte, lorsque vous rencontrez un raisonnement, à discerner s'il s'agit d'une déduction, d'une induction ou d'une analogie. Il ne faut pas perdre de vue que

La méthode déductive : Nous commencerons par définir la déduction en nous aidant pour comprendre d’un exemple, l’exemple d’un syllogisme. La déduction est un raisonnement par lequel nous concluons à la vérité d’une proposition à partir d’une autre proposition dont nous connaissons déjà la vérité. Prenons un exemple pour nous aider à comprendre, le syllogisme. Le syllogisme est une forme parmi d’autres de déduction. Si tous les hommes sont mortels, Et si Socrate est un homme, Alors Socrate est mortel

matière, c'est-à-dire de son contenu. Et c'est parce que la logique ne s'intéresse qu'à cette forme qu'on l'appelle elle-même formelle. Qu'est-ce donc que la forme d'un raisonnement ? et que faut-il entendre par vérité formelle ? Considérons le syllogisme traditionnel : Tout homme est mortel Socrate est homme Donc Socrate est mortel Il est clair d'abord que la validité d'un tel raisonnement n'est nullement liée au personnage sur qui il porte : si ce raisonnement est valable pour Socrate, il le serait

vérité »RELATIVISME | Morale = EthiqueSpiritualisme * Morale qui prône des valeurs spirituelles : justice-vérité. | Matérialisme * Valeurs matérielles (argent – position sociale – Reconnaissance) | ARISTOTE ( 384-322 av.JC) * Elève de Platon SYLLOGISME : «  Tous les hommes sont mortels, Or Socrate est un homme, Donc Socrate est mortel » ->Majeure -> Mineure -> Conclusion SOPHISME : «  Tous les chiens ont 4 pattes, Or mon chat a 4 pattes, Donc mon chien est un Chat ». Plan

à méprendre la vérité. On parle de vérité formelle. Il faut dans ce cas que la pensée soit en accord avec elle-même. La Logique, dont Aristote est le premier à s'être attaché à ses lois, permet cela. Le raisonnement valide, comme par exemple le syllogisme, ne peut guider vers le malentendu. Le prémisses sont fixés, admis par tous comme vrais. C'est sur ces prémisses que s'appuie le raisonnement. L'absence d'ambivalence des prémisses est essentielle. L'observation permet de s'assurer des prémisses