Syllogisme

judiciaires.   II). Le cas de l’affaire Calas.               1). Voltaire enquêteur.   Il y fait une reconstitution minutieuse : des acteurs, les faits, les motivations, les dates, la scène du crime. Calas n’a pas tué son fils tout seul. Il y a un syllogisme puisque le reste de la famille est hors de cause donc Calas n’a pas tué son fils. Voltaire faire alors un raisonnement par l’absurde : « absurde, comment, comment ? ». Autorité du locuteur où il répète deux fois : « il était évident », cependant

de pensée ne serait-elle pas enchaînée à l'exigence, donc à l'obligation de la démonstration, et dans ce cas, parler de liberté ne serait plus correcte car enchaîner/nuire à la liberté, est l'opposé de ce qu'elle signifie. La démonstration par syllogisme est un exemple très parlant pour montrer combien dans certain cas, la liberté de pensée est entachée. Prenons un exemple de cette démonstration : Tous les hommes sont mortels. → première prémisse majeure Socrate est un homme. → deuxième prémisse

Rieux lutte toujours « je ne suis toujours pas habitué à voir mourir » : pessimisme de la raison mais optimisme de la volonté ce qui correspond à la philosophie de l’existence de Camus. II. Comment Rieux développe une pensée athéiste : Le syllogisme « mais puisque l’ordre de monde est réglé par la mort, peut-être vaut-il mieux pour Dieu qu’on ne croie pas en lui » c’est un raisonnement logique. Dieu a créé l’ordre du monde « l’ordre de monde est réglé par la mort » « on lutte de toutes ses

dans les esprits, comme une infection latente ; elle ne se manifeste que par des actes isolés, sans lien entre eux, elle ne fonde pas un système. Mais lorsque cela se produit, lorsque le dogme informulé est promu au rang de prémisse majeure d'un syllogisme, alors, au bout de la chaîne logique, il y a le Lager : c'est-à-dire le produit d'une conception du monde poussée à ses extrêmes conséquences avec une cohérence rigoureuse ; tant que la conception a cours, les conséquences nous menacent. » Primo

constituent pas une méthode parfaite, dans la mesure où, toute vérité repose sur des propositions admises comme évidentes mais non démontrables (prémisses). Ainsi le syllogisme Aristotélicien : A, or B donc C part du principe que A et B sont vrais: « Tous les hommes sont mortels, or Socrate est un homme donc Socrate est mortel ». L’étude des syllogismes nous a montré une chose : tout ce qui est démontrable n’est pas nécessairement vrai car une démonstration peut être fausse ou à la fois vraie et fausse. Outre

guerre mondiale. Il s’agit d’apprécier l’écriture presque romanesque du livre quand on sait que Primo Levi n’est pas écrivain, mais bien victime de la frénésie nazie. « (…) lorsque le dogme informulé est promu au rang de prémisse majeure d’un syllogisme, alors, au bout de la chaîne logique, il y a le Lager (…). » Les premières lignes sont impressionnantes, et l’on se sent emporté par l’histoire. J’ai personnellement trouvé agréable de se sentir aussi fort interpellé par ce récit hors du commun

lui donne un mode d’emploi pour « parvenir ». Vautrin a également une vision très manichéenne du monde et il explique à Rastignac le fonctionnement de la société selon lui, il n’y a que deux partis à prendre : l’obéissance ou la révolte. Par le syllogisme, il place les bases de son argumentation pour plus tard convaincre Eugène de prendre part à son plan. Selon lui, Rastignac aime les femmes et comme les femmes aiment les ambitieux, il lui faudra donc être ambitieux. Il porte un avis cynique sur

On utilise un cas particulier, un exemple, pour soutenir une thèse de portée générale. Ainsi dans les fables une thèse se dégage de l’anecdote qui est un exemple à valeur d’argument. L’exemple est inventé (apologue, fable, conte, roman, épopée…) Syllogisme : X=Y et Y=Z donc X=Z : Socrate es un homme ; tous les hommes son mortels. Donc Socrate est mortel. Raisonnement par l’absurde : il démontre la thèse adverse en la tournant vers le ridicule. Les figures de style : force persuasive : -L’ironie

Argument du nombre = si beaucoup de gens disent que c’est vrai, alors ça l’est Tout le monde pense que Syllogisme à l’envers = partir d’un cas particulier pour arriver à une vérité générale Argument d’autorité = on cite quelqu’un de connu pour appuyer son argumentation, pour donner plus de crédibilité. La réussite de l’argument repose donc sur la crédibilité de la personnalité morale de l’autorité citée. Il faut que l’autorité intervienne dans son domaine de spécialisation. Mais parfois

I / L’art de convaincre : défense d’un point de vue ethnocentrique A / Un raisonnement logique (convaincre) Sépulvéda impose dés le début du texte un syllogisme. Dans l’œuvre ,Sépulvéda s’appuie souvent sur les travaux et la pensée d’Aristote et il recourt au même types de raisonnement rhétorique .Il use du syllogisme pour mettre en son raisonnement .Il part du postulat suivant «  tout les peuples de la terre sont donc destinées a être chrétien » (l .678/679) « or voici qu’on découvre