Symbolique Du Monstre Dans La Pièce Rhinocéros

le comique et l’absurde pour la mettre en évidence. Dans l’œuvre Rhinocéros, écrite en 1960, l’auteur exprime la monstruosité du monde à travers plusieurs thèmes. D’abord, il y a la divergence chez un certain personnage qui défend ses valeurs humanistes et décide de ne pas suivre la communauté. Ensuite, il y a la présentation de la déshumanisation de l’ensemble de la société témoignent d’une façon évidente de la symbolique du monstre. En premier lieu, l’œuvre d’Eugène Ionesco présente la divergence

de son expérience de la montée du fascisme en Roumanie, Ionesco affirma qu’il voyait ces fanatiques sous les traits de rhinocéros et qu’il se voyait lui-même comme « le dernier homme dans cette île monstrueuse » ; pourtant, il se définit également comme « une anomalie, un monstre[1] ». À partir de cette double définition, expliquez la symbolique du monstre dans la pièce Rhinocéros. Le résultat de la seconde Guerre mondiale sera imprégné du régime nazi occupé par l’Allemagne. Ainsi, la littérature

auteur de la pièce Rhinocéros qui est publiée en 1959, représente l’absurde dans la pièce de théâtre de ce type. Dans celle-ci, on démontre la transformation mentale d’une population et l’incapacité d’un homme face à ce changement de la population. La figure du rhinocéros a été choisi pour représenter la menace du totalitarisme des nazis. Pour commencer, la manière dont l’auteur donne une description précise sur les éléments de la pièce démontre la symbolique

Rhinocéros est une œuvre inspirée du théâtre de l’absurde, publié en 1959, par Eugène Ionesco. Durant cette période, l’auteur, comme le reste de la Roumanie, se remet encore du ravage qu’a eu la montée du fascisme. Dans ce contexte particulier, Ionesco affirma qu’il se voyait lui-même comme « le dernier homme dans cette île monstrueuse » ; pourtant, il se définit également comme « une anomalie, un monstre[footnoteRef:1] ». À partir de cette définition, nous démontrerons que le monstre dans

Ionesco, l’un des porte-paroles de ce théâtre,montre, dans sa pièce Rhinocéros, publiée en 1959, le symbolisme du monstre pour démonter que n’importe quel homme peut se transformer en monstre lorsque ses valeurs changent et lorsqu’il adhère à la pensée populaire du moment. Nous étudierons d’abord comment les habitants du village se transforment en monstre (île monstrueuse) et le choix personnel de Bérenger de ne pas se transformer en monstre (l’anomalie monstrueuse). En premier lieu, nous pouvons

Rhinocéros se veut une révolte contre l’hystérie collective. Elle démontre le processus psychologique qui mène une collectivité vers un mouvement totalitaire autoritaire tel que le fascisme. C’est le désir de dominer qui prend le dessus sur l’individu. Rhinocéros est contre le fait de reléguer l’individu au second rang, derrière le régime qu’il sert, comme le communisme ou bien le fascisme, qui lui, place l’individu derrière sa «race». La fascination qu’exercait Hitler sur le peuple allemand

théâtre. Il écrit de nombreuses oeuvres dont la pièce très connue Rhinocéros. Cette pièce présente la transformation mentale de toute une communauté. Il y a une apparition graduelle de la bête humaine dans chacun des personnages et la présence d’un homme sans pouvoir face à cette transformation. L’auteur utilise comme image caricaturale le rhinocéros. Les personnes se transforme en ce drôle d’animal par le discours et le langage. Le rhinocéros symbolise la menace que constituent pour lui le totalitarisme

Le monologue final, Rhinocéros, Ionesco, p.243-245 Selon Ionesco lui-même, sa dixième pièce, Rhinocéros, représentée en France en 1960 est une pièce antinazie et plus largement, contre toutes les idéologies qui servent d’alibis aux « hystéries collectives ». Au fil de la pièce, toute la population d’une petite ville de province et tous les personnages se sont transformés en rhinocéros : violents, galopants, barrissant. La dernière métamorphose vient d’avoir lieue : celle de Daisy, la jeune femme

ses intentions. Il refuse de distinguer le comique et le tragique et veut rendre visible l’absurde. Pour cela, il utilise plusieurs « méthodes » : l’envahissement des objets (cf. Les Chaises), le grossissement démesuré qui étouffe tout (cf. les rhinocéros qui prolifèrent), des personnages qui se disent « philosophes », en réalité idiots. Ainsi, les êtres et les choses nous agressent mais leur profusion ne laisse que du vide et de la mort. Les personnages de Ionesco sont déshumanisés (cf. souvent

pose-t-il? * Comment le dramaturge mêle-t-il allégorie et dénonciation? * À quoi tient la force de ce passage? * Cette dernière page ferme-t-elle la pièce? * Comment le dramaturge utilise-t-il l'effet de surprise dans ce passage? * Quelles sont les fonctions du comique dans ce passage? * * * Intro : Présentation auteur, pièce, contexte de création, enjeux fondamentaux (Voir analyse no1) Situation du texte : Dernier monologue de Bérenger, seul humain au monde. Après le « départ »