Symbolique Ternaire

INTRODUCTION Les Chimères de Gérard de Nerval, dont est extrait El Desidichado, sont un recueil de 12 sonnets d'inspiration romantique mais comptant déjà des traits symboliques (Expression lyrique des sentiments, goût des extrêmes ; Symbolisme : fin 19ème siècle, association de symboles) publié à la fin des nouvelles " Les Filles du Feu " dont il est le prolongement. Le poète est en effet toujours hanté par ses amours perdus, par les mythes et les légendes et par une interminable quête de lui-même

de ses rêves et de ses ambitions, ou au contraire, s’éloigner de ses certitudes, de ses habitudes, de ses repères et de tout son petit monde. Pour nous autres F.°.M.°. les voyages que nous effectuons sont d’un autre ordre, ils ont une charge symbolique importante. D’ailleurs, ne dit ont pas qu’en F.M. tout est symbole ? Vous l’avez compris mes F.°., dans le cadre d‘une éventuelle augmentation de salaire, notre T.°.C.°.F.°. second surveillant m’a demandé de plancher sur « les voyages ».

parfois au cours de ce type de travail la sensation du " MAIS OUI ! C’EST CA ! ". Celle-ci, intranscriptible par des mots, est vive, brève et fondamentalement bouleversante. Elle perdure en s’atténuant pour souvent se noyer dans la vie quotidienne.La symbolique des nombres m’a permis d’intégrer les outils Maçonniques. Sans l’aide des nombres les outils seraient toujours restés pour moi inertes, c’est à dire morts.Au début je croyais que tout le problème résidait uniquement dans la retranscription de la

vaporeux » ou l10 « c’était comme un grand navire de contrebandiers » ou métaphore l2-3 « La nuit pesait de tout son poids sur les collines » ou « Massaba était devenue le cœur anxieux » Enumérations ternaires l15-16 : anaphore incantatoire (l24-25 « il…Ils….Ils…. » III – Les aspects symboliques du texte (qui préfigurent la suite) 1) Katabolonga (solitude, discrétion et humilité) 2) Massaba en ébullition, le « cœur anxieux » 1) Katabolonga est un des premiers personnages à être décrit

l'énonciation A- le brouillage générique : lettre, roman, nouvelle, théâtre, biographie ou autobiographie ? B- Qui parle ? A qui ? II)   reconstitution imaginaire et symbolique d'un portrait d’une femme et de sa vie A- un portrait physique mais surtout psychologique B- des conditions de vie difficiles C- des thématiques symboliques : la route, l'ombre et la lumière, l'hiver et le printemps III)   un texte déchiré et déchirant: un "tombeau" poétique destiné à ressusciter la mère A- un texte en

EL DESIDCHADO -GERVAL Introduction Les Chimères de Gérard de Nerval, dont est extrait El Desidichado, sont un recueil de 12 sonnets d'inspiration romantique mais comptant déjà des traits symboliques (Expression lyrique des sentiments, goût des extrêmes ; Symbolisme : fin 19ème siècle, association de symboles) publié à la fin des nouvelles " Les Filles du Feu " dont il est le prolongement. Le poète est en effet toujours hanté par ses amours perdus, par les mythes et les légendes et par une interminable

cette confusion et donne la dimension d’une fresque épique. La scène intérieure est l’église, à atmosphère feutrée. Rimbaud transporte le lecteur dans cet univers calme et pacifique, avec un tiret. La succession de gros plans sur objets symboliques de religion tels que « nappes damassées » et « calices » et sur des détails significatifs au singulier comme « mouchoir », « bonnet », et « gros sou » des mères montrent bien que l’espace est clos. Le rythme est au ralenti et il y a peu de verbe

le percevoir. « L’œil du connaisseur », c’est celui du poète, de l’innocent. « La peinture idéale », c’est celle que brosse cet œil du poète. La poésie nous montre le beau, le vrai : c’est la symbolique du texte. Mais le sens moral nous enseigne le devoir. Le devoir de faire tomber « les barreaux symboliques séparant deux mondes ». Le mot grille intervient trois fois : une fois pour l’enfant riche, une fois pour l’enfant pauvre, et une fois pour le rat. La grille est bonne pour le rat, elle n’existe

paragraphes de plus en plus courts : en fonction de la grosseur des elements décrits : • l’huitre close, dans son intégrité et la méthode pour l’ouvrir • a l’intérieur de l’huitre : le monde caché qu’elle renferme • la perle : la symbolique de l’objet = il faut accepter de dépasser l’aspect exterieur, l’apparence pour aller à la rencontre de la réalité qu’elle renferme. Le texte souligne aussi la difficulté que cela représente : l’homme doit se blesser pour l’ouvrir (l 7)

la religion semble omniprésente dans la ville. Cette impression est donnée par : * Proposition principale « la religion dominant la vie » (l.24) sorte d’impression de toute puissance de la religion qui surpasse tout * Rythme ternaire de l’accumulation « la musique des orgues, le chant des offices, et les sons admirables des cloches » (l.37-38) on a un parallélisme de construction avec schéma noms/adjectifs + utilisation de pluriels qui donnent impression de nombre * La