Symbolisme Et Subjectivité

Fiche d’identité de l’oeuvre· Recueil poétique : Les fleurs du mal · Titre : L’âme du vin · Section : Le Vin · Date : 1857· Mouvement littéraire : Baudelaire est un poète au carrefour de plusieurs mouvements littéraires : le romantisme, le symbolisme, la parnasse. · Thèmes principaux : paradis artificiels · Forme : 6 quatrains  · Mouvements : · I - Origine du vin/ peinture de la condition humaine :· II - Libération (union par fusion)· III - Vertus du vin/promesse de l’idéal· Sur les Hommes ·

à l'art contemporain) Tous ces mouvements qualifiés de mouvements en « isme » _> expressionnisme, cubisme, dadaisme... 1. L'expressionnisme Il prend ses racines à la toute fin du 19ème (1892-93), l'artiste va vouloir 4/20 affirmer sa subjectivité en exprimant ses états d'âme. (ex : « Le Cri » de Munch) Plus dans la représentation académique, tout est dans la violence, l'émotion, les couleurs participent à l'exaltation des sentiments de Munch. VanGogh est un pré-expressionniste. 1ère

néoplatonisme en les rattachant au modèle théologique du christianisme. On considère alors, que dans la création artistique se distille une dignité créatrice, comparable à la création divine. L’art est un moyen de transcendance vers l’intelligible. Au symbolisme de Plotin est ajouté l’allégorisme, qui n’est plus considéré comme simple figure de style (rhétorique) mais comme un moyen privilégié de correspondance avec les idées. Un travail important se développe sur les notions de proportion, et la lumière

................................................................................................. 27 a- Quelques repères ................................................................................................................ 28 3- LE SYMBOLISME ................................................................................................................ 32 a- Quelques repères ...........................................................................................................

temps toutes les pensées originaires qui contribuent à ma perception ou à ma conviction présente" (P.P., 74-75, souligné par nous). La "conscience transcendantale" est une structure qui rend possible l'objectivité, c'est-à-dire qu'elle est une subjectivité fondatrice de l'objectivité. La conscience naïve est psychologique, conscience d'un sujet individuel, empirique, etc. La conscience naïve, c'est avant tout la conscience de mon corps. Mon corps c'est mon corps vécu. Mon corps vécu c'est ma conscience

aux rappels de concordance entre l’Ancien et le Nouveau Testament, tantôt aux significations symboliques des bestiaires et volucraires, ou notamment dans les cloîtres cisterciens, à celles des herbiers[13]. Ce lieu de clôture a un double symbolisme dans la Cité des Dames. Il représente l’enfermement nécessaire et volontaire de Christine pour la production de la Cité en tant qu’œuvre littéraire, et pour son devenir écrivaine; de même que l’enfermement même de la Cité sur elle-même afin d’atteindre

systématique avec le courant que l'on a appelé « le nouveau roman »[17] des années cinquante aux Éditions de Minuit : ces « romanciers de laboratoire » œuvrent à la disparition du narrateur, du personnage, de l’intrigue, de la chronologie au bénéfice de la subjectivité et du désordre de la vie, de la présence brute des choses avec surtout Alain RobbeGrillet (Les Gommes, 1953), Michel Butor (La modification, 1957), Claude Simon (La route des Flandres, 1960) et Nathalie Sarraute (Le Planétarium, 1959) qui se différencient[18]

sont des œuvres assez inclassables mais porteuses de modernité. La littérature française du XVIIIe siècle montre une grande richesse d’œuvres dans tous les genres, en associant plus qu’en opposant l’engagement des Lumières et la naissance de la subjectivité et de la sensibilité deux valeurs modernes. L’histoire littéraire n’a pas tout retenu mais l’originalité du XVIIIe siècle tient pour une bonne part au fait que l’expression des idées relevait encore de la littérature - ceux qu’on appelle les « Philosophes »

dans les comptes rendus et les essais de critique d’art, révèle une vision de la création artistique qui assigne au poète, à l’exemple du peintre, un rôle ordonnateur, délivré aussi bien des calques du réel que des sollicitations aveugles de la subjectivité immédiate Désireux de renoncer au lyrisme romantique, Apollinaire propose avec la suite des « Fiançailles » de laisser jouer les matériaux du texte (syntagmes, phrases, vers) dans leur agencement afin de favoriser un rythme de lecture différent

les précurseurs ; leur recherches porteront sur le rêve et l’imaginaire. Ils ouvrent la voie vers l’exploration du monde complexe qui échappe au conscient : mouvement aussi appelé : symbolisme romantique. En commun avec le romantisme : l’insatisfaction du monde, le goût de l’évasion, l’importance de la subjectivité. Sensibilité : instrument privilégié de la connaissance du monde. Appréhension de l’environnement se fait par les perceptions (surtout ouïe et la vue). Démarche différente des romantiques :