Syndicalisme de lutte

LES OUVRIERS DU LIVRE La corporation des typographes a formé, dès les origines de l’imprimerie, une élite ouvrière très consciente de ses capacités et remarquablement organisée. Ayant derrière elle un long passé de lutte et de participation aux mouvements sociaux, cette famille professionnelle a été, en France comme dans les autres pays occidentaux, l’une des premières à s’unifier pour faire face aux conditions créées par la montée de la société industrielle. Dès 1881 - ‘année même de la loi sur

l��volution du monde ouvrier de 1830 � la fin des Trente Glorieuses�: on �tudie la constitution d�une sociabilit� et d�une culture ouvri�res. On pr�sente la formation d�une conscience de classe � travers les luttes sociales et politiques (gr�ves, syndicalisme, partis) et le processus d�int�gration r�publicaine - Mise en �uvre�: (le�on)�: Etre ouvrier en France de 1830 � 1975 (situation)�: Etre mineur � Saint Etienne �valuation�: Etre ouvrier en France de 1830 � 1975 ##Titre, dur�e et objectifs#Probl�matique

concurrence loyale établis par les industriels et fait établir en plus de représentants du personnel des chartes qui fixent pour chaque secteur les conditions de travail et les salaires ce qui doit permettre une reprise de l'embauche . - Pour la lutte contre le chômage se met en place en mai 1933 une politique de grands travaux avec des routes, des voies ferrées, des canaux et des barrages mais aussi des travaux de reboisement. Naît par exemple l'opération TVA : Tennessee Valley Authority qui

ayant les mêmes niveau et mode de vie. La « lutte des classes » est une expression célèbre de Karl Marx pour signifier que le combat entre classes sociales est le moteur de tout changement dans une société. Le syndicat est un groupement professionnel ayant pour objet la défense des intérêts économiques et généraux de ses adhérents.C’est, depuis 1884, l’organisme représentatif des salariés. I-CONFLIT DE CLASSE ET CHANGEMENT SOCIAL. Conflit et lutte de classe chez Marx Marx est le premier à

XIXè s - ex en France : • légalisation : 1884 • création de la CGT ( Confédération générale du travail) : 1895  • charte d’Amiens / CGT : 1906 ( ex / prochain cours : les 3 questions du doc 1 p 40 (ou rapidement en classe) ➢ lutte des classes – 2e § ➢ 2) amélioration du « mieux-être » = réformes / amélioration des salaires, diminution de la journée de travail ( action  « revendicatrice quotidienne » ➢ « émancipation des classes laborieuses » par « expropriation »

interne (ex : peu de femmes dans les syndic fr) ( malgré leu revendications modernes) -les conflits traduisent la peur de l'affaiblissemnt des instances d'intégrations soc (école, securité soc etc ...) La lutte est menée au nom de valeur sup -les désirs de chgment sont freinés par les comprtements des pouv pub ( qui peuvent réprimer les mob ou mettre en évidence les désordres qu'elle entraîne)

stages, apprentis : 3.9% des actifs occupés en 1985, 10.8 en 2000) et du temps partiel ( 8% en 1975, 17 % des actifs occupés en 2000) è segmentation du marché du travail, insiders et outsiders b) qui se traduisent par un affaiblissement de la lutte des classes - La classe ouvrière n'occupe plus une place centrale dans la société (doc 2), thèse de la moyennisation (H. Mendras), elle s'est transformée : éclatement (qualifiquations disparates), recul de l'identité ouvrière c'est à dire d'un groupe

combat et la lutte contre les injustices . Le socialisme naît de l'inspiration des ouvriers à changer leur condition en remplaçant l'individualisme de la société bourgeoise . Si les socialistes allemands s'unissent dans un même parti à partir de 1875, ils donnent cependant du socialisme des interprétations différentes .Certains choisissent la voie réformiste, d'autres celle de la révolution. En Allemagne, l'évolution du socialisme est tout à fait particulière, tout comme celle du syndicalisme, destiné

violence qui considèrent celle-ci comme le seul moyen susceptible de permettre un changement profond du système économique et social. Le combat pour la république, contre la monarchie censitaire et contre le second Empire, se conjugue alors avec la lutte contre les nouvelles conditions de travail et de vie engendrées par la révolution industrielle. La gauche républicaine s’organise et cherche à effectuer une synthèse entre la tradition mon­tagnarde de la révolution de 1789-1793 et les questions sociales

enfants sans leur donner pour autant une voie de sortie de l'usine. Enfin les auteurs abordent la déstructuration du groupe ouvrier par la crise du militantisme qui constituait le liant entre la base et les politiques et masquait par l'engagement et la lutte, les tensions qui parcourent aujourd'hui le groupe de façon de plus en plus visible : les tensions jeunes/vieux, OS/ BTS, Français/immigrés. Ainsi la condition ouvrière est abordé sous plusieurs aspect de façon très globale. Le terrain d'étude se