Syndicalisme de lutte

corps en Rh : sentiment de fierté d’appartenir à une entreprise)    Emergence de la fonction personnelle :  Jusqu’en 1945 phase d’adm° : entreprise avaient une taille trop réduites à l’époque   Droit syndical reconnue en 1884 : syndicalisme s’est transformé, mouvement de lutte pour être reconnu. A cette époque, les patrons exercent un du personnel : ils sont tous (santé, logement, créent hôpitaux, sécurité sociale).  Première ent à avoir responsable du personnel : Renault, Sté Générale.    Fayol prévoit

d’ouvriers. Pendant les 30G le salariat va changer de nature : le statut salarial se généralise, on est dans une période de forte croissance, le rapport employés/employeurs est en faveur des employés et il ya institutionnalisation des syndicats. Le syndicalisme et l’engagement politique ont permis de faire des revendications sociales (qualitatives et quantitatives). Entre 1950 et 1975 on a un salariat uni qui se retrouve autour de syndicats tels que la CGT pour faire pression. C’est là qu’on va créer

et va mettre en place une conception du pouvoir qui entérine le retrait du président de la vie politique, le fait que le président n’a qu’un rôle secondaire. Dès son entrée en fonction il énonce sa vision des institutions « je n’entrerais jamais en lutte contre la volonté nationale. » Il affirme qu’en tant que président il considère que seule la majorité à la chambre basse doit présider à la formation du gouvernement. C’est une façon de réfuter la vision dualiste de la constitution proposée par Mac

depuis les années 1980 : flexibilisation, précarisation, néo-taylorisme   La souffrance au travail   La décollectivisation   Un travail « désocialisé » Analyse des textes   Doc. 1   : Trajectoire pro individualisée : déclin du syndicalisme, de la collectivité   Salarié comme entrepreneur de lui-même (cf Loïc Wacquant) : vers la fin du salariat   Individualisation différentielle par secteur   Responsabilisation : la responsabilité de l’échec ou de la réussite pèse sur l’individu

Cortonwood (Yorkshire) sous prétexte qu’elle n’est pas rentable, ensuite la fermeture à terme de 25 puits, mettant littéralement sur le carreau près de 25 000 mineurs. Aussitôt, les mineurs de Cortonwood votent la grève. Dans les jours qui suivent, la lutte s’étend rapidement aux autres mines du Yorkshire. Puis c’est le tour de l’Écosse, du Kent, du sud du Pays de Galles et du Nord-Est de se mettre en grève. Mais le NUM, avec son dirigeant de gauche Arthur Scargill, proche du Parti Communiste britannique

la majorité monarchiste. Répression très dure en mai 1871, et la Semaine Sanglante, durant laquelle Thiers envoie les troupes régulières (versaillais) réprimer la révolte : ¼ de la population parisienne de l’époque périt ! Impact fort sur le syndicalisme futur.   De plus impact fort sur la politique de l’époque, et plus particulièrement sur l’opinion publique : répression d’une révolte par un régime républicain. La République a montré, par cet événement, qu’elle a la capacité de maintenir l’ordre

une partie des leviers de production, c’était le système des coopératives. Avec l’échec des théories marxistes et l’abandon de l’idée de révolution est venue l’idée de réformes. Ainsi après le 2eGM, les socio-démocrates ne mettent plus en avant la lutte des classes mais plutôt la volonté de réformer tout en étant pragmatique. C’est ce que l’on a pu appeler la culture du compromis, par opposition aux théories révo. Travailliste: c’est le produit d’une histoire nationale, celle du R-U. Au R-U, il

(jour du seigneur) est établi en 1906 ; les retraites ouvrières en 1910 ainsi qu'un ministère du travail est créé en 1906. -Le syndicalisme se développe : la Confédération général du Travail (CGT), née en 1895, affirme son caractère révolutionnaire et son indépendance. Elle prône la lutte des classes et la grève générale. (exemple de la grève Renault). Ce syndicalisme se heurte à l’opposition patronale et aux divisions du monde ouvrier mais cette minorité est active et ses grèves ont un retentissement

puisque les groupes ne rassemblent plus seulement, par exemple, les ouvriers d'une entreprise, mais tous les ouvriers de la société. De même, le conflit social mérite l'appellation de “lutte des classes” parce qu'il prend une valeur générale. 3) L'analyse du conflit social peut alors être menée en termes de lutte des classes. Karl Marx philosophe allemand du 19ème siècle a été un des premiers à s'intéresser aux conflits sociaux et à les analyser non pas comme le signe d'un dérèglement social

de se mettre au service de la classe ouvrière et ce sont eux qui ont créé ce qu’on a appelé le syndicalisme révolutionnaire, symbiose de l’idée fédéraliste libertaire et du corporatisme revendicatif à travers la pratique de la lutte de classes quotidienne. * BESNARD Pierre, Les Syndicats ouvriers et la révolution sociale, 1930. * DREYFUS Michel, Histoire de la C.G.T., Cent ans de syndicalisme en France, Paris, Complexe, 1995, 407 pages. * GUERIN Daniel, Ni Dieu ni maître Tome II « les