Syndicalisme

salariés La formation professionnelle Les événements affectant la relation de travail Le licenciement pour motif personnel Le licenciement pour motif économique Les autres modes de rupture Les conséquences de la rupture La négociation collective Le syndicalisme dans l’entreprise Les institutions représentatives du personnel Le statut des représentants du personnel Les conflits collectifs 1 6 10 16 22 32 39 48 55 60 66 75 82 89 95 105 111 115 124 130 141 147 153 Sommaire III 9782100592418-roy-Tdm

enquête dans le Grand Tunis, Décembre 2008, version1] Page 5 Troisième partie : LE SYNDICALISME FACE A LA LIBERALISATION ECONOMIQUE ET LA PRECARITE DE L’EMPLOI 1 LES TRANSFORMATIONS ECONOMIQUES INTERNATIONALES CONSTITUENT DES OBSTACLES A L’IMPLANTATION SYNDICALE. 1-1 1-1-1 1-1-2 1-2 1-2-1 1-2-2 1-2-3 2 Le syndicalisme éprouve des difficultés à organiser le monde du travail. Déclin international du syndicalisme Les obstacles économiques à l’implantation syndicale Le contexte local subit les

syndicaux eux-mêmes, qui, en échange de certaines concessions des employeurs, se sont engagés à éviter les grèves pendant la durée d’un contrat. Comme Jeremy Brecher l’a écrit dans son livre Strike !, « (c'est là) le résultat d’une fonction centrale du syndicalisme : définir les conditions dans lesquelles les travailleurs se soumettent à l'autorité de l’employeur. Cette fonction ne peut être menée à bien que si les travailleurs se soumettent effectivement. » Ces clauses de non-grève dans les contrats signés

surprenants pour se sauver. Curieuse façon de célébrer une position commune historique qui notamment décapite la présomption irréfragable de représentativité. On aura vite compris qu’au-delà de changements fondamentaux, les non-dits l’ont emporté : le syndicalisme français est trop émietté : il faut regrouper... et donc tuer ! Résultat : une réforme taillée sur mesure pour certains qui expliquent le refus de signer des autres. Dommage, car la volonté de réformer était partagée et qu’il y avait mieux à faire

faut souligner qu’il y a eu au cours de cette période une légère diminution des conflits où le litige portait sur l’ancienneté et les mouvements de personnel, la sécurité d’emploi et la répartition des tâches, qui sont des enjeux traditionnels du syndicalisme industriel. Une convention collective qui s’adapte Le caractère évolutif des relations du travail se reflète aussi dans certaines modifications introduites dans les conventions collectives, découlant des nouvelles préoccupations des parties. En

être dû à un changement des mentalités en ce qui concerne « la lutte des classes ». En effet, les ouvriers avaient des traditions syndicales très fortes, dont les catégories émergentes ne se sont pas imprégnées. L’affaiblissement temporaire du syndicalisme aurait donc été causé par le temps d’adaptation à ces traditions de luttes par les salariés. Ils ont maintenant conscience de leur unité et souhaitent de nouveau de mobiliser contre les classes qui les dominent. Cette domination, interprétée

répondre a deux questions centrales : pk les lutteuses ouvrieres ont été au centre de la vie sociale durant plus d’un sicècle ? et pour quelles raisons et dans quelles conditions ont-elles produits le mouvement sociales de la société industriel . le syndicalisme occupent-ils encore une place central ou constate-on un déclin du monde ouvrier ? si t’el est le cas quel sont les nouvelles fonctions de l’action syndicales. Touraine présente dans cette ouvrage l’ensemble des pratiques syndicales du point de

s'en dégagent. Il a entrepris une série d'enquêtes sociologiques sur les hôpitaux publics et privés. Il a apporté sa collaboration dans divers colloques internationaux et publié des rapports d’enquêtes aussi bien dans les domaines de la santé, du syndicalisme ou du logement social. Ivan Sainsaulieu a participé à divers ouvrages en codirection mais il en a écrit aussi plusieurs dont les plus récents sont l’hôpital et ses acteurs (2007), la communauté de soins en question (2006). Il a publié aussi de

ouvrier lui-même. Des textes importants sont votés dès le second empire (droit de grève de 1864) et surtout sous la 3ème république (législation des syndicats en 1884) avant les grandes lois sociales de 1936. 4. Socialisme, anarchisme, syndicalisme : une remise en question de l’organisation sociale. A. Les thèses socialistes et anarchistes Le libéralisme a ses limites observables dès la 1ère révolution industrielle. A partir des années 1830, on constate que les conditions

retour de la grande pauvreté, hausse du chômage et précarité de l'emploi qui touche aussi les catégories socio-professionels de la classe moyenne. Certains auteurs concluent à un éclatement de la classe moyenne. II- LES SYNDICATS EN FRANCE Le syndicalisme : crise ou mutation Les syndicats sont nés de la volonté d'institutionnaliser les conflits, surtout les conflits du travail. Il s'agissait d'éviter le recours à la violence et la montée du socialisme qui menacait l'ordre social libéral. Si les