Syndicat de salariés français

ils établissent un lien entre le gouvernant et les gouvernés tout en permettant une diversité d'idées. Le pluralisme est une conception admettant la diversité des opinions et des tendances.  5 Partis Politiques Français : Le P.C.F : Le parti communiste français (P.C.F) est un parti politique de gauche. Ses principales idées sont l’émancipation de tous par la maîtrise sociale, le partage des richesses, des connaissances et des pouvoirs. C’est une des filières du parti socialiste.

relations individuelles, dans le contrat individuel, deux acteurs : employeur et salarié. Il peut arriver que l’’identification de l’employeur soit assez difficile mais celle du salarié reste simple. Il en va autrement dans les rapports collectifs car ce qui caractérise les acteurs dans ces rapports, c’est qu’ils sont nombreux et différents (Section 1). Du point de vue du droit du travail les syndicats des salariés jouent un rôle important (Section 2). Section 1 : La pluralité des Acteurs Pluralité

Sommaire · Introduction 3 · L’évolution du dialogue social 4 - 5 · L’Etat 6 – 8 · Les syndicats patronaux 9 – 12 · Actualités et Presse 13 - 14 · Conclusion 15 · Sources 16 INTRODUCTION Depuis quelques années la crise du syndicalisme, d’une part, les mutations technologiques et le développement du management participatif, d’autre part ,ont modifié, en France et dans le monde, la problématique du dialogue social. Dans le cadre de notre licence professionnelle Gestion

IntroductionLa plupart du temps, la question de la nature juridique du travail va se poser au cours d’un litigeI- Qu’est ce que le droit du travail ? DéfinitionLa droit du travail est une branche du droit français, branche particulière qui va régir les relations de travail, c’est à dire les relations qui naissent à l’occasion du travail (la notion de travail est différente de la notion d’emploi)Ses règles régissent plus particulièrement les relations entre l’employeur et le salariéToutefois, le

gage de paix sociale, un facteur de performance économique et de progrès social pour le pays. Le dialogue social contribue au sens du travail et à sa qualité. Il garantit ainsi son utilité économique et sociale pour le bien commun. Le bien-être des salariés se traduit dans la qualité de vie au travail, la productivité et la compétitivité. Certains aspects de l’héritage culturel associé au dialogue social peuvent aujourd’hui apparaître comme des freins ou des insuffisances et d’autres, au contraire,

Solenn V. Les syndicats en France A travers l’histoire les travailleurs ont toujours lutté pour obtenir des droits. Beaucoup de ces droits ont été obtenus après les accords de Matignon de 1936 pendant le front populaire mais la liberté syndicale est reconnue en France depuis 1884. La loi dite de « Waldeck-Rousseau » (Waldeck-Rousseau était le ministre de l’intérieur sous le président de la troisième République, Jules Grévy) autorisant la création de syndicats professionnels date en effet du

des organisations, les syndicats, pour défendre leurs intérêts communs (hausse des salaires, meilleures conditions de travail, baisse du temps de travail, lutte contre le licenciement…). Le syndicalisme désigne également l’action militante qui cherche à poursuivre les buts d’un syndicat. Dans son sens le plus courant et le plus accepté, le terme syndicalisme s’applique aux syndicats de salariés et dans une moindre mesure aux syndicats étudiants et lycéens. Le terme « syndicat professionnel » désigne

syndicalisme : La place des syndicats dans la société : Le syndicalisme est le mouvement qui vise à unifier au sein de groupes sociaux, les syndicats et les professionnels pour défendre des intérêts collectifs (hausse des salaires, meilleures conditions de travail, baisse du temps de travail, lutte contre le licenciement, etc., pour les travailleurs). Le terme « syndicalisme » s'applique, dans son sens le plus courant, à l'action au sein des syndicats de salariés, et par extension, à celle des

Droit du travail et syndicats I- Les droits du travail : une conquête A travers l'histoire, les travailleurs on lutté pour obtenir les droits (droit de grève, assurance maladie, congés payés...). Beaucoup de ces droits furent acquis après les accords Matignon de 1936. Les droits du travailleur sont aujourd'hui garantis pas la constitution et la loi. Au sein de l'entreprise, chaque salarié signe avec son employeur un contrat de travail définissant les droits et les devoirs de chacun. Aujourd'hui

successeur à la tête de la puissante fédération des cheminots, Didier Le Reste, qui défendra pour sa part la ligne «contestation tous azimuts, via le rapport de force». On ne sait encore qui l'emportera, mais ce qui paraît certain, c'est que tous les syndicats (sauf FO, unanimement braquée sur la défense aveugle des «droits acquis» de ses adhérents fonctionnaires) connaissent actuellement le même genre de débat. Parce qu'ils mesurent très bien - parfois mieux que les ministres - la gravité de la situation