Syndicat national des journalistes CGT

tiers-état se réunit dans la salle du jeu de paume et se proclame, le 16 juin 1789, Assemblée nationale en invitant les membres des autres ordres à le rejoindre – invitation à laquelle répondent quelques membres du clergé. Le 20 juin, les députés de l’Assemblée nationale jurent de ne se séparer qu’après avoir donné à la France une constitution : c’est le serment du jeu de paume, qui transforme l’Assemblée nationale en assemblée constituante. Le 27 juin, le roi accepte la fusion et demande aux membres du

1870 via premières politiques sociales étatiques systématiques (avant 1870, Etat « minimal ») Rôle de l’extension du suffrage + pressions ouvrières à partir des années 1880 (socialisme et syndicalisme [légalisation en 1871 des TU et en 1884 des syndicats en France]) + catholicisme social dans les années 1890 (1891 : Rerum novarum) qui provoquent une intervention nouvelle de l’Etat. Finalement, deux erreurs de Marx alors : avoir cru à la montée des antagonismes de classe du fait de la baisse des

« permanents » et les religieuses sont trois fois plus nombreuses qu’é la veille de la Révolution. Rôle des œuvres catholiques atteint sont apogée dans les années 1880 – 1890. Encadrement de groupes de jeunes, associations sportives, fanfares, syndicats, caisses mutuelles… Des opportunistes aux progressistes Mais effet politiques limité : élections législatives de 1893 le nombre des « ralliés » élus est très limité. Une trentaine, car l’électorat catholique vote pour les républicains modérés

construit à partir du 20e S à partir du droit protecteur de la collectivité du travail. 2. Un droit protecteur de la collectivité du travail Le droit du travail sera construit comme un droit collectif. La loi de 1884 reconnait l'existence des syndicats, pour défendre les salariés, et leurs intérêts collectifs et professionnels. En 1916 et 1917, il y a eu des troubles sociaux importants, des révoltes. Pour apaiser ce climat, l'état a accepté de discuter avec des délégués et on appelle pour la première

l'ordre en France métropolitaine, régler la question algérienne, redresser la situation financière et avant tout donner de nouvelles institutions la France. De 1958 à 1962 il s'attache à régler ces problèmes puis mène une politique d'indépendance nationale qui n'est pas sans provoquer des remous dans le camp atlantique. Porté par une conjoncture économique favorable, il ne prend cependant pas assez en compte les mutations de la société française et ses nouvelles aspirations que révèle brutalement la

vision subjective qui se concrétise différemment selon les entreprises, les populations et les pays : organisation, participation, équilibres de vie, valorisation du travail... Les invités du réseau Anact Propos recueillis par Muriel Jaouën (journaliste) et Béatrice Sarazin (rédactrice en chef). PAUL-ANDRÉ LAPOINTE, chercheur au département des relations industrielles de l’université Laval à Québec. informatisation des contrôles de production, contrôle accru de la qualité et plus grande flexibilité

démocrate. Pour ce faire, un blocus économique a été mis en place de façon informelle pour faire chuter le prix du cuivre chilien afin de déstabiliser l'économie chilienne. Cela a permis à une opposition de se dresser face à Allende. Ce que les journalistes ne disent pas, par ignorance ou volontairement, c'est qu'une des mesures les plus importantes prises par le gouvernement d'Allende, au début de l'année 1972, a été de mettre en place une politique d'investissements anti-sismiques. Ce n'est pas

Communication interne 100 FICHE 4.4 : Le dialogue social 101 4.4.1 Le dialogue social sous influence 101 4.4.2 Tendance au dialogue syndicats/entreprises 101 4.4.3 Centralisation et décentralisation du dialogue social 101 FICHE 4.5 : Les syndicats, acteurs du jeu des relations sociales 102 4.5.1 Présentation et tendances des syndicats français 103 4.5.2 La crise du syndicalisme français : la représentativité en question ? 105 4.5.3 Renforcement du droit syndical : apparition

. . . . . . . 22 22 23 23 23 2 Chapitre 5 La vie sociale  Ouverture . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31 Activités 1 À quoi servent les syndicats ? . . . . . . . . . . . . . 31 Activités 2 Qu’est-ce qu’une association ? . . . . . . . . . . . . 31 Fiches autocorrectives Activités des pages 66-67 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

fait courir le bruit suivant : « Le cirque Barnum s’en va-t-en guerre ». - La Burgfrieden est le socle de la paix sociale : le 2 août, les syndicats allemands prononcent une trêve sur les revendications salariales pendant les hostilités. Dans le cadre de la loi qui régit tous les rapports sociaux en temps de guerre, l’Etat supplante les syndicats pour défendre les intérêts des travailleurs. Toutes les petites mesures prises entre 1914 et 1916 sont synthétisées dans la loi du 5 décembre 1916