Françis Démier fiche de lecture
1) L’élargissement de l’assise républicaine
L’église et la République : le ralliement
Défaite du boulangisme : monarchistes = nouvel échec, qui semble définitif. Les radicaux en sortes divisés, la position des opportunistes n’est également pas plus favorable, depuis 1885 ils n’ont plus de véritable majorité à la chambre et faire une alliance avec les radicaux de gauche ,n’est pas envisageable.
Depuis 1876 : les catholiques avaient placé leurs espoirs vers un retour de la monarchie.-> plus durcis avec les lois anticléricales à l’époque de jules Ferry. Raison pour laquelle ils ont rejoins le combat boulangiste.
Les républicains 1890 : pensent être loin d’avoir gagné la bataille pour la laïcisation de la société Française.
Le réveil de l’Eglise l’église tente de s’adapter à la laïcisation de la société. Malgré cela ils restent influent dans l’Etat, dans le corps des officiers. Ils peuvent s’appuyer sur 220 000 « permanents » et les religieuses sont trois fois plus nombreuses qu’é la veille de la Révolution. Rôle des œuvres catholiques atteint sont apogée dans les années 1880 – 1890.
Encadrement de groupes de jeunes, associations sportives, fanfares, syndicats, caisses mutuelles…
Des opportunistes aux progressistes
Mais effet politiques limité : élections législatives de 1893 le nombre des « ralliés » élus est très limité. Une trentaine, car l’électorat catholique vote pour les républicains modérés, les progressistes = 300 sièges.
2) La politique conservatrice
La nouvelle peur sociale
La république progressistes, est différente de la républiques des fondateurs Gambetta et Ferry. Electorat de voix conservatrice et catholique. But des progressiste n’est plus de défendre la république mais de défendre l’ordre social, d’endiguer la poussée socialiste et de rejeter définitivement dans l’opposition des radicaux soupçonnés de sympathie pour l’extrême gauche. -> gouvernement de Jules Méline député à