Syndicat

Les syndicats sont-ils encore légitimement influents ? Catherine Panassier- Juin 2007 Résumé Dans la conscience collective, l’histoire des syndicats se conjugue avec les longues et douloureuses luttes des ouvriers. Et bien que les syndicats soient autorisés en France depuis la loi du 21 mars 1884 de Waldeck-Rousseau, ce sont surtout les grèves de 1936 qui ont marqué les mémoires. À la fin de la deuxième guerre mondiale, la pression des syndicalistes permet d'obtenir des transformations fondamentales

règlementations, nationales ou supranationales, mais aussi par des pressions de la société civile (ONG) ou de certains actionnaires qui exigent plus de transparence. Les effets négatifs des activités des entreprises sont souvent dénoncées par des ONG et/ou syndicat; les multinationales bien que puissantes sont dépendantes de leur image. Elles courent alors le risque de réputation. L'évolution de la jurisprudence, les procès intentés en responsabilité (pollution par marée noire, vente de tabac,...) peuvent

DOSSIER ECONOMIE – DROIT THEME : Les syndicats PROBLEMATIQUE : Qu’est ce qu’un syndicat ? CLASSE : 1PRCO SOMMAIRE Introduction : Définition du syndicat Plan : - 1ére partie : Présence syndicale et rentabilité des entreprises françaises

En faisant partie... d'une association d'un syndicat d'un groupement d'intérêts (lobbies) I – Les syndicats et les élections professionnelles I – 1 – Défendre un intérêt professionnel : étude de cas 1 p 408 – 409 1) Qu'est-ce qu'un syndicat ? Qu'est-ce qu'une élection professionnelle ? Un syndicat c'est une association servant à défendre des droits et des intérêts sociaux, économiques et professionnels

la désignation : désignation des délégué syndicaux) · Le tribunal de Grande Instance (saisie à partir du moment ou il s’agit de litige portant sur l’intéressement et la participation, litige entre les syndicats entre eux ou les syndicats opposé aux organisations patronales, ou employeur avec syndicat, ou le CE). On peut aussi saisir en référé au TGI. Les juridictions pénales : · Tribunal de police : contravention · Tribunal correctionnel : délit · La Cour d’assise : crimes Les juridictions

donnent des résultats différents car le taux de syndicalisation mesure la proportion de salariés qui sont membres en règle du syndicat, c'est-à-dire le taux de travailleurs qui ont adhéré à un syndicat par rapport à l'effectif en emploi. Tandis que le taux de présence syndicale correspond à la proportion de personnes visées par la convention collective. C'est-à-dire, que le syndicat représente tous les employés, que ceux-ci soient membres ou non. Donc, le taux de présence syndicale sera toujours plus élevé

nettement sur les syndicats. II.2. De 1935 à 1936, de nouvelles mesures sont adoptées. • En 1935, le Wagner Act approfondit les clauses sociales du NIRA : salaire minimum de 35 cents, semaine de travail de 35 heures, reconnaissance du droit syndical, possibilité pour un syndicat de se faire reconnaître le statut de « négociateur exclusif » après un vote des salariés, obligation dans ce cas pour le chef d’entreprise de négocier des conventions collectives avec le syndicat… • En 1936, le Social

moitié du 20e siècle, Dépression et New Deal. -naissance en 1886, AFL = American Federation of Labor, et regroupe de nombreux syndicats affiliés. -Grande Dépression 1929-30, période difficile pour syndicats et AFL. -New Deal, Franklin Roosevelt : ((((((--> 1933 : National Industrial Recovery Act (NIRA) --> devait, entre autre, faciliter la création de syndicats, et promouvait un code de bonne conduite des entreprises. + permit création d'un National Labor Board (Conseil Syndical National)

Présence syndicale Le rôle des syndicats a fait l’objet en Chine de nombreuses modifications depuis leur apparition en 1919. En 1925 est créé l’ACFTU (All-China Federation of Trade Unions). Il était possible dès cette époque de créer des syndicats indépendants, c’est en 1950 soit un an après la proclamation de la République populaire de Chine que le rôle du syndicalisme est réduit à un organe de liaison entre l’état et les ouvriers, l’ACFTU devient le seul organisme officiel. Celui-ci représente

liberté syndicale Introduction : 1) Les libertés individuelles Le principe de non-discrimination : L’employeur ne peut prendre en compte des éléments personnels (sexe, orientation sexuelle, situation syndicales, opinion politiques, appartenances à un syndicat …) pour juger des qualités, et des performances du salarié. Le droit d’expression des salariés : La loi autorise au salarié un droit de d’expression directe et collective sur le contenu, les conditions d’exercice, et l’organisation du travail. Mais