Syndrome hémolytique et urémique

grimpé à plus de 1150. Ces cas ont été signalés dans au moins huit pays de l'Europe. En Allemagne seulement, près de 400 personnes ont contracté une forme grave et potentiellement fatale d'une infection qui s'attaque aux reins, le syndrome hémolytique et urémique. Des experts américains ont affirmé que les médecins n'avaient jamais auparavant été témoins d'autant de cas de cette maladie contractée à la suite de l'ingestion d'aliments. Des enquêteurs de partout en Europe se démenaient pour

nécessaire de consulter son médecin traitant. Y a-t-il un traitement ? Il ne faut surtout pas prendre d’antibiotiques car ils libèrent la toxine responsable de la pathologie. En cas de diarrhée, il faut s’hydrater mais en cas de syndrome Hémolytique et Urémique (SUH), le traitement est plus compliqué et nécessite une hospitalisation. En fonction de la gravité le traitement reposera sur la dialyse(les reins étant touchés) et la plasmaphérèse (passage liquide sanguin au travers d’un filtre pour

de développer des complications suite à l’infection. 1 www.safewater.org Suis-je à risque de contracter cette maladie? La complication principale de l’infection est le Syndrome Hémolytique et Urémique (SHU). Environ de 2% à 7% des infections mèneront à cette maladie qui est caractérisée par de l’anémie hémolytique (trop peu de globules rouges dans le système sanguin qui cause une quantité d’oxygène insuffisante aux tissus et aux organes) qui cause une destruction des globules rouges et une

Démarche de soins n°2 Identité : Mr N. né le 08 mai 2012 est entré le 31 aout 2013 en service de néphrologie pour suspicion de syndrome hémolytique et urémique (SHU). Enfant de nationalité française et algérienne, habite avec ses parents dans un appartement situé en banlieue parisienne. Description physique et psychologique : Poids : 9,8 kg IMC : 22,5 Taille : 66cm Antécédents médicaux ou chirurgicaux : ᴓ Histoire de la maladie : Mr N. s’est présenté aux urgences

toxi-infections alimentaires se multiplient et produisent des toxines en quelques heures. Ici nous avons choisis de parler des trois plus importante : La Salmonellose, Les Staphylocoques Aureus (doré) et Escherichia coli O157 :H7 (Syndrome Hémolytique et Urémique). 1. Les salmonelles La salmonellose est une maladie infectieuse, due aux bactéries du genre salmonella. Elle est due à une grande variété de bactéries. Il en existe une centaine. Ces bactéries vivent dans les intestins des animaux

Ces EHEC sont responsables de colites hémorragiques.  Elle peuvent évoluer dans les cas les plus graves vers un SHU (syndrome hémolytique et urémique) et un Purpura Thrombotique et Thrombocytopénique (PTT).  Le SHU est la principale cause d'insuffisance rénale (responsable de séquelles rénales graves).  Le PTT est caractérisé par une anémie hémolytique (destruction des globules rouges) et par une thrombopénie (diminution du nombre de plaquettes sanguines).  Ces souches

clair et a des yeux clairs également. Il est hospitaliser dans le service de néphrologie à la chambre … où son père est présent. * Motif d’entrée N., agé de 4 ans et demi, est hospitalisé depuis le 13 juillet 2012 à 16h15 pour un syndome hémolytique et urémique (SHU). * Vécu de l’hospitalisation N. est donc tranféré de l’hôpital Antoine Béclère à Robert Debré. A son entrée, N. est accompagné par son père. N.présente des douleurs abdominales. L’infirmier lui administre du perfalgan à 18h mais

• 1 % de porteurs chroniques • Invasion du grêle>>>>côlon • Facteurs de risque pour la chronicité : F Antibiothérapie F Cholélithiase F Néphrolithiase • Conditions prédisposant à la salmonellose : F Maladies inflammatoires intestinales F Anémie hémolytique : Anémie falciforme peut entraîner une ostéomyélite F Immunosuppression F Néoplasie à Lymphome et leucémie peut entraîner une bactériémie Manifestations cliniques • Spectre clinique de l’infection F Gastro-entérite : 75% F Bactériémie : 10%

d’E. coli sont associées à des pathologies très diverses (y compris extra-intestinales), tant chez l’Homme que chez l’animal ; diarrhées, gastro-entérites, infections urinaires, méningites, septicémies, « maladie des hamburgers », le syndrome hémolytique et urémique etc. En prévention, une surveillance des SHU a lieu au Centre National de Référence des E. coli, situé dans l’unité de Biodiversité des Bactéries Pathogènes Émergentes à l’Institut Pasteur (France), qui est chargé d’étudier les souches

Coli sont sans danger cependant elles peuvent avoir un potentiel pathogène qu’elles expriment en dehors de l’intestin tel que abcès, péritonites, septicémies, infections urinaires, méningites, diarrhées. On retrouve quatre souches à l’origine de syndromes diarrhéiques  A.ETEC (E.coli entérotoxinogène) Ce sont des microorganismes pathogènes capables de synthétiser des toxines thermostables (ST) et/ou thermolabiles (LT) puis des adhésines permettant aux bactéries d’adhérer aux cellules épithéliales