Synérèse

LA DIÉRÈSE Se dit lorsque 2 voyelles consécutives comptent pour 2 syllabes alors que dans la prononciation courante elles ne forment qu’une seule syllabe. « L’in/fle/xi/on/ des/ voies/ chè/res/ qui/ se/ sont/ tues./ » Paul Verlaine LA SYNÉRÈSE Se dit lorsque 2 syllabes se comptent pour une seule. « Nous sem/blion/s entre les maisons. » Guillaume Apollinaire -les rimes plates : AABB - Les rimes croisées : ABAB - Les rimes embrassées : ABBA LA VALEUR DES RIMES

alors introduite au vers 10 par l'adverbe « sinon » qui a ici une valeur privative n'en paraît du coup que plus forte tant elle est brutale. Deux vers suffisent à montrer la mort brutale du chevreuil, victime d'un « trait meurtrier » (vers 11) : la synérèse sur « meurtrier » permet de faire ressortir le rythme du décasyllabe en 4//6. La violence cruelle de cette mort est ensuite soulignée par l'image du sang et la redondance discrète induite par la reprise « empourprée de son sang » (vers 11).

(vers 14) -> Conclusion de Hugo : "cet homme était plein de prières" (vers 24) c. Une métaphore Vers 26 : "Sa bure où je voyais des constellations" - diérèse (= prononciation en deux syllabes de ce qui se prononce en une syllabe ; contraire : synérèse) "constellations" > allonge l'immensité du manteau. - synecdoque : manteau / bure : la matière (bure) remplace la chose (manteau) - le comparant : "constellation" confère de la grandeur au manteau, le rend extraordinaire > "pleins de prières" :

la métonymie, elle permet d'exprimer un tout par une de ses parties, un objet par sa matière, et vice-versa (les voiles= les bateaux à voiles) Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur Victor Hugo, Demain dès l 'aube, Les Contemplations Synérèse : en versification, réunion en une seule syllabe de 2 sons vocaliques : pied

ferait une syllabe de trop, marquée par une apostrophe (interdite par la poésie classique du xviie s. ; beaucoup utilisée par la chanson). Diérèse  : dissociation d’une diphtongue pour faire deux syllabes : « li-on ». Synérèse  : compter pour une unité syllabique deux unités : « ouvrier » (2 syllabes au lieu de 3). Licence poétique  : orthographe tolérée pour éviter une syllabe : encor pour encore

le terme «retenus», comme la femme désirée, une apparition impalpable, pudique. Virginale : muets, glacés, pure, divine, retenus… L’exclamative nominale «Dieux», comme un soupir de bonheur, de par son pluriel, nous renvoie au polythéisme païen. En synérèse, comme un juron. Obscène. Obscène ? Oui, au sens étymologique du terme : le désir est là, sans fard. Au moins, une surabondance, comme le confirme l’expression collective plurielle «dons» qui suit. Les appâts féminins («tous» !), créés peut-être

II.3.1. Titre alcalimétrique simple (TA) II.3.2. Titre alcalimétrique complet (TAC) II.3.3. Titre hydrotimétrique (TH) II.3.4. Détermination du taux des chlorures II.3.5. dosage du chlore II.4. Analyses physico-chimiques du yaourt II.4.1. Synérèse II.4.2. Mesure de pH II.3.3. Acidité titrable II.3.4. Mesure de l'extrait sec total II.3.3. Mesure de la viscosité II.3.4. L’analyse de la texture

(vers 14) à Conclusion de Hugo : "cet homme était plein de prières" (vers 24) c. Une métaphore Vers 26 : "Sa bure où je voyais des constellations" - diérèse (= prononciation en deux syllabes de ce qui se prononce en une syllabe ; contraire : synérèse) "constellations" > allonge l'immensité du manteau. - synecdoque : manteau / bure : la matière (bure) remplace la chose (manteau) - le comparant : "constellation" confère de la grandeur au manteau, le rend extraordinaire > "pleins de prières" :

(visualisation des actifs) - l’étalement (le gel s’étale facilement car il fond à la température de la peau) -filmogène (protecteur et hydratant voir tenseur) -les gels sont stables sauf dans le cas de synérèse ❖ Technologique : - formulation simple - bonne conservation du produit si le gélifiant est synthétique ou semi synthétique ❖ Physiologique : -protecteur - fraîcheur - hydratant ❖ Marketing :

anaphore : « un chant » (v.1 et 4) / « il chante » (v.11) + mot « rossignol » (v.10) → image pouvant évoquer le poète et ses beaux chants mais aussi renvoient au registre lyrique- Syntaxe hachée → donne un rythme saccadé, anti-mélodique au poème - La synérèse ainsi que les sonorités désagréables (allitération v.1 et 2) → nuisent à la musicalité du poème- Phrase qui apparaissent coupées par des points de suspensions et des tirets : « -Un crapaud ! – Pourquoi cette peur, » (v.7) → on peut dire que ces phrases