Synthèse néo-classique

la synthèse néo-classique nommée aussi néo-keynésianisme et la nouvelle économie keynésienne. L'influence du post-keynésianisme est plus limitée mais non négligeable dans certains pays, notamment en France. Cette école se place en opposition radicale aux principaux courants actuels et veut conserver les aspects les plus contestataires et hétérodoxes du keynésianisme. À la suite de Keynes, les keynésiens raisonnent d'emblée au niveau macro-économique et considèrent que la « théorie classique n'est

On voit se mettre en place les penseurs fascinés par le marché, les classiques, les néo-classique (fin 18°) et ceux qui vont s’opposer au capitalisme et/ou au libéralisme (dont les marxistes). Cette affrontement structure la « société ». Problème : la pensée éco. n’existe pas depuis la fin du 18°. Il y eu des prémices et l’éco. politique est née au 16° avec les mercantilistes qui précèdent les physiocrates (les pré-classiques). 1/ LES PRECURSEURS. A/ DE L’ANTIQUITE AU MOYEN AGE. LES GRECS

En vous appuyant sur vos supports de CM et de travaux dirigés, faites une analyse transversale de l’ensemble des courants de pensée économique que nous avons étudiés, (Classique, Keynésiens, Monétaristes, Nouveaux classiques) C'est Adam Smith, philosophe et moraliste écossais, qui a publié l'ouvrage qui marqua le véritable commencement de l'économie en tant que science, les Recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations (1776). Le thème central de son livre est l'accroissement

société + Contribution économique + Innovation et diffusion du progrès technique − Pollution etc. 9 L’entreprise vue par les théoriciens LA « BOÎTE NOIRE » ORIGINELLE L'ÉCOLE CLASSIQUE LE COURANT PSYCHOSOCIOLOGIQUE L'ÉCOLE NEO-CLASSIQUE LES THÉORIES DES SYSTÈMES ET DE LA DÉCISION L'ÉCOLE SOCIO-TECHNIQUE LE NEO-TAYLORISME LA PENSÉE " JAPONAISE " 10 L’entreprise vue par les théoriciens LA « BOÎTE NOIRE » ORIGINELLE Économistes du 19ieme Entreprise ≠ Institution ≈ l’homo - économicus Acteur

national et ne limite plus celle-ci à la sphère privée, mais l'élargit à la sphère publique. L'économie devient l'affaire de tous les citoyens et prend un caractère politique. A la suite des mercantilistes, les physiocrates puis les économistes classiques vont fonder définitivement l'économie politique. Ces deux écoles de pensée tentent notamment de révéler les lois économiques existantes et de donner un fondement plus rigoureux à l'économie. Avec ces trois courants de pensée, la théorie économique

Les keynésiens : une grande famille? 1ère partie Quand les « keynésiens » sont évoqués au grand public, c’est le plus souvent pour les opposer aux libéraux, fréquemment aux néoclassiques et plus rarement aux classiques. Cette classification, généralement employée pour défendre un point de vue idéologique, est appauvrissante. Avertissement : si je vais devoir faire référence à des travaux attribuables à des auteurs d’obédience keynésienne (finalement plus que ce que je ne l’imaginais au début),

domaine économique notamment dans le cadre de politique de relance. Toutefois l'importance de ce rôle varie avec les courants keynésiens et avec les traditions étatiques des différents pays. Les courants dominants actuels sont la synthèse néo-classique nommée aussi néo-keynésianisme et la nouvelle économie keynésienne. L'influence du post-keynésianisme est plus limitée mais non négligeable dans certains pays, notamment en France. Cette école se place en opposition radicale aux principaux courants

Les classiques On fait remonter l’origine de l’économie a la avec comme père fondateur Smith. En effet, cette école de classique va créer une rupture dans l’histoire de la pensée éco. Les classiques vont s’interroger sur l’origine des richesses et de la valeur. On ne pourra plus dire que l’origine de la richesse ne vient plus de la terre, mais dans le travail. A partir de là, la question sera : quel est le prix d’une marchandise, comment la fixe-t’on ? Origine des richesses, comment va

phénomènes sociaux observables ceux qui seraient spécifiquement économiques et d’essayer de les expliquer. C’est-ce qu’on essayé de faire les économistes eux-mêmes de la fin du 18ème siècle à la fin du 19ème siècle ; ainsi, l’économie classique ( 1776-1870 ), l’économie néo-classique ( à partir de 1870 ) tenteront de faire en expliquant comment la richesse est produite, distribuée, comment on peut expliquer les crises agricoles, le chômage … Même si cette approche est intellectuellement fertile, elle rencontre

par les agents économiques. Le sous-emploi des facteurs de production est selon Keynes dû au fait que les entrepreneurs ont des anticipations pessimistes et sous-estiment la demande effective. Keynes à la différence de Jean-Baptiste Say et des néo-classiques ne raisonne pas dans le cadre d'une « parfaite rationalité des agents et... d'une information parfaite sur la situation présente et future[3] » aussi la demande effective dépend de prévisions d'agents qui peuvent ne pas conduire au plein emploi