Synthese Prison

d'Albert Camus, éditions Gallimard, 1947 * Laissez passer mon peuple de Jacques Méry, préface d'Albert Camus, éditions Le Seuil, 1947 * Devant la mort, J. Héon-Canonne, préface d'Albert Camus, souvenirs de résistance, juin 1951 * L'Artiste en prison, préface à La Ballade de la geôle de Reading d'Oscar Wilde, 1952, réédition Le Livre de poche, 1973 * L'œuvre d'Hermann Melville, préface d'Albert Camus, 1952 * L'Allemagne vue par les écrivains de la résistance française, Konrad Bieber, préface

condamné Questionnaire de lecture 1 1) Où le condamné commence-t-il à écrire ? A Bicêtre. 2) Dans quel état d’esprit se trouvait-il quand il apprit sa condamnation ? Moral au beau fixe 3) Quelle sorte de langage le jeune homme apprend-il en prison ? L'argot. 4) Pourquoi écrit-il ? A qui tout particulièrement veut-il léguer son cahier ? Il examine ses angoisses pour moins en souffrir. C'est une leçon pour les juges qui hésiteront peut-être à condamner. Il veut léguer son cahier a sa fille Marie

despotique et guerre civile que faut-il choisir ? Préserver sécurité et liberté n’est pas une histoire simple. Peut-on soutenir qu’une tranquillité, une paix garantie par un pouvoir politique autoritaire soit encore une liberté ? On vit en paix dans les prisons ce n’est pas pour autant qu’on y est libre. En conclusion, même s’il est vrai la violence peut aboutir à la liberté, les conséquences peuvent être dramatiques : morts, prisonniers,.... Nous observons à travers l’histoire que la violence n’est pas

répression des infractions disciplinaires commises dans les prisons. Pouvoir disciplinaire car mission de garde, contre leur gré, d’individus parfois dangereux. Or la discipline, indispensable pour le bon fonctionnement pas le cœur du problème. Ce qui importe est la manière dont elle s’exerce. Historiquement, application de ce pouvoir disciplinaire jamais fait l’objet d’un contrôle par le J.A. Justification : discipline en prison unique objectif maintenir l’ordre et la sécurité dans l’établissement

plus sujets à méditer et à mettre de l'ordre dans leur vie sous la pression de la mort imminente.  > La peine de mort décourage les proches des victimes à " rendre justice " en marge des tribunaux.  > Dans les régions où la surpopulation des prisons est devenue un véritable problème, la peine capitale est aussi perçue comme un moyen de libérer de l'espace pénitentiaire.  Contre la peine de mort La vie est sacrée, nul ne peut y attenter, même l’Etat On peut traiter des malades mentaux

même, une prison est un établissement dépendant des services de l’administration pénitentiaire dans lequel sont incarcérées les personnes ayant fait l’objet d’une mesure de détention provisoire ou, celles qui sont condamnées à une peine privative de liberté. La prison, c’est avant tout, le temps immobile. La répétition incessante de gestes devenus automatiques. Une parenthèse dans la vie, qui contrairement à l’écriture, ne dure pas quelques secondes mais parfois plusieurs années. La prison est un lieu

et dans lesquels on n’a constaté aucune augmentation de la criminalité ce qui impose de sortir de l’équation peine de mort = moins de criminalité. Quant au problème de la récidive, il oblige à revoir tout le système pénal car imaginer une peine de prison incompressible nierait la capacité d’un individu de se racheter de s’améliorer et serait tout aussi cruelle. Troisièmement, l’argument majeur pour combattre la peine de mort est qu’elle est irréversible. Lorsque une erreur judiciaire est commise

semaines de vie. Nous ne savons ni le nom de cet homme ni ce qu’il a fait pour être condamné à mort, mais nous pouvons comprendre et vivre avec cet homme ce que veut dire « être condamné à mort ». Cet homme nous dit tout ce qu’il fait quand il est en prison ; il devient aussi le spectateur de la scène horrible du ferrage des forçats. Puis il pense au moment où il devra aller à la guillotine ; il a peur mais il ne veut pas que les autres le sachent. Il continue à espérer dans la grâce qu’il n’aura jamais

soit, est présumée constituer une infraction punissable d'une peine de prison. Même si le mineur a donné son consentement ou s'il a pris l'initiative, son partenaire est punissable. 1) Le viol Le viol d'un mineur est puni sur la base de l'article 222 du code pénal, qui réprouve tout rapport sexuel, même obtenu sans recours à la violence ou à la menace, avec un enfant de moins de quinze ans et le sanctionne d'une peine de prison d'au plus huit ans. Si l'enfant a moins de douze ans, la durée de

La peine de mort ou peine capitale est une sentence appliquée par le pouvoir judiciaire consistant à retirer légalement la vie à une personne ayant été reconnue coupable d'une infraction qualifiée de « crime capital ». La peine capitale est prononcée par l'institution judiciaire à l'issue d'un procès. En l'absence d'un procès, ou dans les cas où celui-ci n'est pas réalisé par une institution reconnue on parle d'exécution sommaire, d'acte de vengeance ou de justice privée. La peine de mort est diversement