Synthese Régimes Totalitaire

de l’URSS, un modèle politique soviétique, communiste. Au départ établi pour le bonheur des peuples, où chaque individu obtiendrait autant de chances qu’un autre, où l’état assurerait à tous logements et soins gratuits, c’est à l’arrivée un régime totalitaire étendu des rives du pacifique à l’Europe de l’est, critiqué pour son manque de liberté, le culte de la personnalité autour de ses dirigeants (Staline jusqu’en 1953), la répression dans le sang de toute rébellion. Le bloc de l’ouest, constitué

. . . . . . . . . . 10 2 La Première Guerre mondiale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15 3 Les régimes totalitaires dans les années 1930. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20 4 La Seconde Guerre mondiale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Il faut donc distinguer ce qui semble vrai de ce qui est de la propagande. D’où la question politique de la liberté d’expression des moyens d’information. Elle est en cause dans les grands groupes de presse. Il n’y a pas que dans les régimes totalitaires que la presse est un danger (par rapport a la liberté d’expression). Le résultat de ces différents facteurs : un fossé considérable entre le but des moyens d’information, ce qu’on veut nous faire savoir ; et ce qui est vrai. * Les

MARION Charlotte CULTURE GENERALE ET EXPRESSION DEVOIR 2       PREMIERE PARTIE: SYNTHESE                 Ce corpus est composé de quatre documents qui amènent une réflexion sur le droit de rire de tout. Le premier document est un article extrait de magazine Label France n°56, intitulé "Peut on rire de tout" écrit par Pierre Siankowski, publié en 2004. Selon lui, le droit de rire est garanti par la constitution française c'est la liberté d'expression. Cependant le rire doit respecter  certaines

vraiment s’accomplir que dans l’intérêt universel. La fonction de l’Etat est précisément de réaliser la conciliation du particulier et de l’universel, et de surmonter l’opposition entre l’individu et la collectivité. L’Etat, en quelques sorte fait la synthèse de ces courants contradictoires. Ex : La collectivité veut construire une ligne de train, mais le particulier ne veut pas vendre sa maison pour laisser passer le train. L’idée est de concilier les deux idées, on vend la maison et on paye la maison

POUVOIR CENTRAL FORT ● La Révolution de 1911 ■ Une révolution sans bain de sang La révolution vient mettre un terme aux dynasties, qui reposaient sur l'idée du mandat céleste (tianming) et sur l'empereur comme fils du ciel, pour mettre en place un régime républicain avec une légitimité émanant du peuple. Mouvement initié par l'armée et les élites urbaines, cette révolution offre un contraste avec les précédentes d'une part par son coté multipolaire et d'autre part par son coté pacifiste. La révolution

désaccord avec le peuple avait tort. Ce point de vue, pour le courant libéral, sera tout autant dangereux que celui de l’arbitraire royal. Toute l’histoire de ce libéralisme européen sera celle d’un courant pris entre deux feux, la persistance de l’ancien régime et la tradition révolutionnaire (peuple unifié, tyrannique). Au niveau des idées, on retrouve Benjamin Constant, philosophe du début du 19e s. En l’année 1819, il prononce à Paris le discours sur la liberté des anciens et des modernes. Pour Constant

(Castoriadis, 1973) apparaît comme un ouvrage-étape. Influencé par les analyses de Max Weber, Castoriadis avait pour objectif premier de développer une analyse critique de l’institution bureaucratique fondant la structure d’exploitation dans les régimes soviétiques. Critique qui n’est d’ailleurs pas nouvelle chez Castoriadis puisqu’il créa Socialisme ou barbarie (1949-1965), avec Claude Lefort, en réaction au PCI (Parti Communiste Internationaliste) qu’il quitta en 1948 (Prat, 2007). Or, sa réflexion

un débat qui dure encore: jusqu’où peut aller la liberté de la presse ? Et si elle a des bornes, qui les fixe ? Depuis deux siècles, ce même débat se poursuit, parfois dans la rue ou sur des barricades. À plusieurs reprises des changements de régimes en ont dépendu. En juin 2000, les hémicycles du Palais Bourbon et du Sénat résonnaient encore des débats sur la Loi Guigou, qui introduisait de nouvelles restrictions. Né au temps des presses à bras, ce débat loin de perdre son actualité, est devenu

degrés de la politique mondiale entre les XVIIIe-XXe siècles. Cet élargissement s'est accompagné d'une diversification de ses manifestations et d'évolutions au cours du temps dans chaque lieu où il s'est manifesté. Les historiens, dans une volonté de synthèse, ont eu à choisir entre retracer l'évolution temporelle du nationalisme, en évoquant chaque région du monde et en soulignant ses constantes (c'est le choix de Benedict Anderson qui insiste sur les imitations entre politiques nationalistes qui se