Sénèque Questions Naturelles

EPICTETE « Bonheur et Liberté » : Le bonheur réside dans la maîtrise des désirs et dans la force de la volonté qui se rend indépendante des biens et causes extérieures. La vertu et le bonheur passent par la liberté de l'homme. Le bonheur est une question de point de vue, l'H est libre de voir le bon côté des choses malgré les événements dont il n'est pas dépendant. Son bonheur passe par sa volonté. Il distingue les causes internes (ce qui dépend de moi) et les causes externes (ce qui ne dépend pas

plaisir est le contraire de la douleur. Il correspond à un état émotionnel agréable. Il peut être physique, psychique ou intellectuel. Des questions se posent alors : Le plaisir est-il source de bonheur ? Le bonheur se trouve-t-il uniquement dans le plaisir ? Le bonheur n’est-il qu’une illusion ? Afin d’apporter des éléments de réponse à cette question centrale nous verrons dans un premier temps que si le bonheur est relatif au plaisir néanmoins le plaisir n’est pas la source essentielle du bonheur

au plaisir. Ce dont on peut faire bon ou mauvais usage, ce n'est pas un bien. Pour être bien, il faut que ce soit uniquement bien, et qu'il ne puisse être utilisé différemment. Nature fait que l'homme est tiré vers les biens. Stoïciens : attrait naturel pour le bien. Disposition pour le bien originellement dans homme, mais penchant vers le mal. Quand l'homme stoïcien voit le bien, il le choisit. Entre actions à faire et la nature. Critère choix d'un objet ou action passe par simple conformité nature

 LE BONHEUR EST-IL INACCESSIBLE ? Qu’est-ce que le bonheur ? Comment le trouver ? Telles sont les questions que se posent tous les hommes et ce, depuis l’Antiquité. C’est parce que l’être humain est mortel qu’il cherche à vivre pleinement, à expérimenter le bonheur au cours de sa vie. Le mot bonheur suggère, par son étymologie latine (bonum augurium, « de bon augure »), l’idée de « chance » de « hasard », comme s’il ne dépendait pas de nous d’être heureux

pernicieux), et les comédiens sont excommuniés (dès le concile de Carthage, en 398, voir aussi l’article : excommunication des acteurs). Moyen Âge La pratique du théâtre semble inconnue du Haut Moyen Âge : si les œuvres dramatiques de Térence ou de Sénèque ne sont pas totalement oubliées, elles sont envisagées indépendamment de toute pratique scénique, à tel point que dans ses Étymologies, Isidore de Séville (vers 570-636) commet un contresens sur ce que devait être le théâtre antique : il pensait que

fausses. Ces idées ainsi que les vérités que nous découvrons peuvent modifier, parfois profondément, notre existence. Il faut tout de même préciser que nous formulons des idées spéciales, en effet il faut s'interroger, s'examiner, tout remettre en question continuellement. Cette recherche commence avant tout pas un choc, un malaise, un étonnement qui va nous déstabiliser car nous nous rendons comptes des limites de nos connaissances. On ne sait pas répondre, alors qu’on pense avoir la réponse et être

cependant qu'on finit par s'insurger de la voir parée des insignes officiels réservés aux empereurs. Parallèlement, Néron prend goût au pouvoir, s'éloignant insensiblement des valeurs que lui ont inculqué son gouverneur Burrhus et son précepteur Sénèque. Un conflit éclate entre sa mère et lui, et celui-ci connaît trois étapes essentielles Mort de Britannicus (en 55 de notre ère) Amour de Néron pour Poppée ( alors qu'il est marié avec la sœur de Britannicus, Octavie 59, Assassinat d'Agrippine :

être heureux ? Est-ce une obligation de renoncer à nos désirs pour atteindre le bonheur ou bien peut-on l’atteindre en réalisant ou pas nos désirs selon des choix personnels et singuliers ? Mais peut-on seulement vivre sans désirer ? Toutes ces questions posent un problème assez clair : on cherche finalement à savoir si nos désirs nous empêchent d’être heureux ou si, au contraire, ils mènent au bonheur. Pour tenter de répondre à ce problème, nous allons tenter d’examiner trois thèses. Nous allons

traitent de sujets restreints. L'auteur, selon le goût du temps, groupe, autour d'un exemple ou d'une idée, des sentences empruntées aux anciens et conclut en dégageant une règle générale. Quelques chapitres seulement sont plus étoffés et abordent des questions d'un intérêt plus vaste. Dans cette première version des Essais, la pensée de Montaigne n'apparaît pas encore fixée. 2.Expériences nouvelles et maturité (1580-1592) Après 10 ans de studieux loisirs, Montaigne éprouve le besoin d'élargir son

L'épicurisme et le stoïcisme font partie des 4 écoles principales de la philosophie qui ont comme question fondamentale : comment vivre bien dans un monde chaotique. Ces deux doctrines ont des idées communes qui sont : - vivre bien, en accord avec la nature - le fondement du bien vivre, du bonheur, c'est l'ataraxie (l'absence de troubles) - une physique, une conception de la nature - une éthique, une étude philosophique de l'être humain dans son rapport au monde - une morale, des règles qui