Tableau Comparatif Keynesienne Classique

et son financement par répartition sont liés au contexte favorable (plein emploi). Cela a été permis par la croissance économique exceptionnelle des Trente glorieuses qui a caractérisé le modèle économique et social « fordiste », et la logique keynésienne des politiques macro-économiques. 13 Par ailleurs, la consolidation de l’Etat-nation occidental apparaît historiquement comme la condition préalable au pacte social qui présidera à la mise en oeuvre de politiques sociales et à la constitution

fonciers). La logique financière n'est pas pour autant très développée. # 4 Les finances à partir de la restauration Le droit budgétaire tel qu'on l'a identifié s'établit. Il s'édifie assez rapidement, on entre dans la période des finances classiques. A. L'application des grands principes budgétaires et comptables Dès la restauration les grandes règles budgétaires et comptables sont affirmées, ces règles sont toutes consignées dans un texte ''Le décret impérial'' du 31 mai 1862. → Principe

considérer les crises financières comme le résultat d’un cycle économique périodique (Hayek). Indépendamment de leurs visions sur ce sujet, ils s’affrontent aussi quant à la nécessité d’une intervention extérieure ou non selon leurs différents courants (keynésiens et libéraux). Keynes à ce propos est partisan d’une politique de relance de l’Etat alors qu’Adam Smith voit les crises financières comme la manifestation d’un renouvellement du système capitaliste et donc pense qu’il est nécessaire de laisser agir

Premier groupes : Les objectifs externes §1-B-2) Deuxième groupes : Les objectifs internes §1-C) Le système de cotation de la monnaie nationale durant la période d’administration du marché de change §1-C-1) Le panier- devises §1-C-2) Méthode classique de la cotation du dinar algérien 131 131 131 132 134 135 137 138 140 141 141 146 Section 2 : La situation économique de l’Algérie 148 §2-A) Le taux de change et l’économie algérienne avant 1989 §2-A-1) L’économie algérienne

situent dans la moyenne des pays européens en répartissant de manière presque équilibrée leur patrimoine financier entre les dépôts, les actions et titres d’OPCVM et les placements en assurance-vie et fonds de pension (cf. Garnier et Thesmar, 2009, tableau 2, p. 21 et Marionnet, 2005). Le premier instrument, qui correspond à une épargne liquide, sûre et plutôt orientée vers des besoins de court terme, a nettement régressé en faveur d’instruments, certes plus exposés aux fluctuations des marchés financiers

............................................................................................176 ANNEXE V DEFINITION DES EPREUVES ...............................................................................................177 ANNEXE VI TABLEAU DE CORRESPONDANCE D’ÉPREUVE ET D’UNITÉS..............................................208 2 ANNEXE I - RÉFÉRENTIEL DES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES I – INTITULÉ DU PROFIL PROFESSIONNEL COMMUN EUROPÉEN « Assistant de gestion de PME-PMI »

PƒRIODE 80 15 ANNEXE 5Ê: LA COMPLEXIFICATION DU MODéLE DE TRANSCENDANCE DE LA PƒRIODE 90 16 BIBLIOGRAPHIE 211 212 218 223 228 233 LISTE DES FIGURES ET DES TABLEAUX Figure 3.1 Tableau 5.1 Tableau 5.2 Tableau 5.3 Tableau 5.4 Tableau 9.1 Tableau 9.2 Tableau 9.3 Tableau 9.4 Tableau 9.5 Tableau 9.6 Figure 11.1 Les positions politico-thŽoriques sur la mondialisation Composition du corpus pour la durŽe de 1970 ˆ 1999 DŽfinition des catŽgories RŽpartition du poids des catŽgories par pŽriodes

notions psychologiques. On a développé des politiques de demande qui ont solvabilisé les acheteurs. 2. Les 2ères phases de l’évolution a. 1ère phase : prééminence de la production La crise de 1929-31 a permis l’émergence de l’idée keynésienne de la prééminence de la demande alors qu’auparavant, on produisait sans se demander si la production serait achetée. L’investissement est une question qui implique qu’il y ait une demande au bout, i.e. que l’investisseur puisse rentabiliser son

valeur ajoutée (VA) 5. L'excédent brut d'exploitation (EBE) 6. La trésorerie nette (TN) 7. L'excédent de trésorerie d'exploitation (ETE) 8. Les ressources structurelles 9. Les emplois structurels 10. L'actif du bilan 11. Le passif du bilan 12. Le tableau de financement 13. Les ratios de structure et de liquidité (I) : solvabilité, endettement et immobilisations 14. Les ratios de structure et de liquidité (II) : rotation des composantes du BFR et liquidité 15. Les ratios de rentabilité 16. Mesure de

au sort. c. Remboursement par annuités constantes= remboursement chaque année, pour un flux de somme constantes (voire exercices en fin de chapitre). 2.3- TYPOLOGIE DES OBLIGATIONS  Obligations assimilables du trésor (OAT)= emprunts d’Etat classiques, caractérisés par l’assimilation consistant à moduler le prix d’émission d’une nouvelle ligne en fonction de la différence de rendement entre l’OAT originelle et la nouvelle, de façon à obtenir deux emprunts équivalents (assimilables).  Les obligations