Tâche ménagère

changé, ce qui a évolué pour permettre à la femme d’être enfin indépendante. Souvent considérées comme inférieures, incapables de réflexions, de logique, de maturité, elles devaient se contenter de rester dans son foyer pour s’atteler au tâches ménagères et à l’éducation de ses enfants. Malgré l’adaptation de lois, dans la réalité, en somme, les femmes ne sont pas égales sur les mêmes plans que l’homme. Elles sont encore relayées aux tâches les plus dégradantes pour la société actuelle (Femme de

la tendance s'inverse. Les femmes ont des enfants plus âgées qu'avant, elles privilégient leur carrière professionnelle surtout quand elles occupent des postes importants. Elles décident de leurs vies. Les hommes maintenant partagent les tâches ménagères, l'éducation des enfants, certains s'arrêtent de travailler pour s'occuper des enfants pendant que la femme travaille. On ne se croit plus obligés de se marier et d'avoir des enfants.

des cent couples interrogés (puis en divisant la somme des minutes par cent) nous avons obtenu une moyenne de : 193 minutes par jour. Il apparaît assez clairement que les femmes participent beaucoup plus activement à la réalisation des taches ménagères que les hommes. Plus précisément, ce sont elles qui obtiennent les plus forts pourcentages de participation aux taches suivantes : Entretien du linge, ménage, soin des enfants et des adultes, cuisine, vaisselle, éducation des enfants, courses 

domestiques : le lavage, le ménage, préparer les repas, éduquer les enfants, etc. Les femmes au foyer étaient comme le pilier de la famille car sans elle les hommes auraient été pris au dépourvu et n’aurait pas pu se débrouiller de toutes les taches ménagères en plus de travailler. Dans les années 60, le rôle de la femme au foyer était majeur pour la société et la famille, malgré le fait qu’il n’était pas reconnu. Même aux yeux de l’Église, le rôle de la femme devait être celui de la soumission et d’enfanter

enfants.   Cependant, accorder sa carrière et la parentalité exigent en  premier lieu une restructuration immédiate des rôles dans la famille. Une femme, si elle travaille, ne peut pas en même temps s’occuper du ménage et des enfants. Les tâches ménagères doivent être réparties de manière équitable entre le mari et la femme . L’homme travaille mais doit également aider sa compagne une fois à la maison. Établir un équilibre convenable entre vie familiale et vie professionnelle est un enjeu auquel

(papa, maman), dans les pratiques,… La famille c’est aussi de conditions matérielles, des formes de reproduction de l’existence (besoins, toits,…), c’est aussi une division des rôles et du pouvoir entre les générations et les sexes (80% des tâches ménagères sont effectuer par les femmes), des normes éducatives (on attend des comportements particuliers des enfants), des valeurs associé à la famille (entraide,…). La famille renvoie aux liens entre individus établies à des fins spécifiques, dans un but

j'étais enfant, avait décrété que je n'avais pas à me salir les mains en faisant ces "vils" travaux domestiques ! lol! Mes soeurs , elles, n'ont pas été épargnées, et je pense qu'elles ont été plus armées que moi pour la vie face aux tâches ménagères...Je fais ce qu'il faut....Mais pas plus !!! Comme je l'ai déjà dit plusieurs fois plusieurs fois, l'homme a de multiples activités et il part souvent une journée entière exercer ses talents au dehors.... Je profite de son départ, pour ranger

puisqu'il est la seule chose qu'elles savent faire à la perfection. Le manque de savoirs et de cultures les empêche de pratiquer d'autres activités que ce qu'elle ne maitrise déjà. Cet emploi est pour elles leur seul moyen d'exister. Au-delà des tâches ménagères, elles ne sont utiles à personne et ne peuvent encore une fois mieux s'intégrer à la société, leur sphère vitale se limitant à leur travail. Dans la Préférence nationale, les bonnes travaillent pour survivre et non pas pour vivre : dotées d'un bagage

garçons. A l’école, les filles étaient dispensées de calcul, de lecture et d’écriture. Elles y allaient pour apprendre la religion catholique et connaître la bible de manière à pouvoir la relire à leurs enfants. Elles apprenaient surtout les taches ménagères et des activités comme la couture ou la broderie. Les jeunes filles pauvres, seules ou sans protection se réfugiaient au couvent, c’étaient donc les religieuses qui les éduquaient. Certaines femmes de la noblesse organisaient des salons comme celui

pas rasé, il s'apprêtait à le faire. Ma tutrice a demandé à Mr V. si il voulait bien que je le rase pour m'apprendre, il a bien voulu. A ce moment là , j'ai su qu'une relation de confiance s'était établi entre Mr V. et moi. Puis après les tâches ménagères Mr V. a bien voulu nous accompagner faire ses commissions. Le vendredi suivant, pendant que ma tutrice repasse le linge de Mr V. en haut, moi je le rase. Aussitôt terminer, Mr V. me propose de l'accompagner faire ses courses et d'aller à la boulangerie