Taillis

prenait son grand-père le samedi pour regarder ses arbres. En bas, Clermond-Ferrand allumait déjà quelques lumières. L'odeur, ce soir, était différente. Forte, persistante, immonde et attirante. Pierre cherchait la source dans la pénombre. Sous un taillis, il la trouva. Toute verte. Vêtue d'un bermuda et d'une capeline foncée et d'une chemisette claire. L'enfant devait avoir l'âge d'Antoine. Son visage aussi vert, un vert terne. Seule l'odeur n'était pas verte. Pierre se baissa doucement et ramassa

approché un matelas ; j'ai passé toutes mes nuits sur la terre. On dort un quart d'heure de temps en temps. On dort debout, à genoux, assis, accroupis et même couché. On dort le jour ou la nuit, à midi ou le soir. On dort sur les chemins, dans les taillis, dans les tranchées, dans les arbres, dans la boue. On dort même sous la fusillade. Le silence seul réveille. ». Il y a donc un manque d’hygiène important car d’après lui il s’est lavé seulement deux fois en un mois, il y a surement des odeurs désagréables

moi ; Nous parlions de quelque chose, Mais je ne sais plus de quoi. J'étais froid comme les marbres ; Je marchais à pas distraits ; Je parlais des fleurs, des arbres Son oeil semblait dire: " Après ? " La rosée offrait ses perles, Le taillis ses parasols ; J'allais ; j'écoutais les merles, Et Rose les rossignols. Moi, seize ans, et l'air morose ; Elle, vingt ; ses yeux brillaient. Les rossignols chantaient Rose Et les merles me sifflaient. Rose, droite sur ses hanches, Leva

Maupassant. B- Rétrécissement du champ visuel de la scène. Au début du texte la voiture est en pleine campagne = champs ouvert "le ciel, soleil, au loin». À la fin on passe "sous un bois, dans une avenue, par un petit chemin, à ornière entre deux taillis". Ce rétrécissement Est une anticipation de la mort. II) Héros réduit à l'état d'automate. A- Duroy est privé de toute action autonome, il subit. "Rival lui fit des recommandations minutieuses" = George est objet. Les actions de celui-ci

L’écho en roula longtemps dans le sous-bois. Des regards éperdus se croisèrent, les corps se serrèrent, écrasés par un sentiment d’impuissance, contre le sol. Les détonations se succédaient en chapelets. Des gaz délétères s’infiltraient sous le taillis ; une fumée lourde enveloppait les cimes, des troncs et des branches se fracassaient contre la terre, des cris éclataient. Nous nous levâmes d’un bond et partîmes à l’aveuglette, harcelés par les éclairs et le souffle assourdissant des coups, d’arbre

caractérise par une grande sécheresse, à laquelle flore et faune ont dû s'adapter. Il n'y a pratiquement pas de sources. L'élément végétal dominant est le chêne vert, qui atteignait autrefois jusqu'à 15 mètres de haut. Il n'en subsiste plus que des taillis de 3 à 4 mètres. Les coupes excessives l'ont fait disparaître par endroits, soit au profit du pin d'Alep, soit pour être remplacé par une garrigue à plantes odorantes telles que le thym, le romarin, la germandrée et l'achillée millefeuille. On trouve

possession => gradation ascendante Allégorie du « souffle de vie » : actions : « courait », « donna » +allitération en sifflantes pour reproduire le bruit du vent : « Un souffle de vie courait au fond des taillis ténébreux, donnant une voix à chaque brin de mousse dans les ineffables concerts de l’aurore et du crépuscule » -Une communion des éléments : Feuille + bois : « la feuille embrassait le bois »  Bois + soleil : «leur pied […] montaient

de la Fontaine : Le Corbeau et le Renard. Il prouve que la fable n’a pas de sens, l.34-35 : “Alléché par l’odeur du fromage ! Ce fromage, tenu par un corbeau perché sur un arbre, devait avoir beaucoup d’odeur pour être senti par le renard sans un taillis ou dans son terrier !” Le fait d’utiliser l’absurde permet à l’auteur de souligner l’invraisemblance de la fable, ce qui la décrédibilise totalement. Mais Rousseau reconnait néanmoins que les fables sont agréables et utiles pour les enfants puisqu’il

vineux et forêts verdoyantes, Rivages torts et sources ondoyantes, Taillis rasés et vous bocages verts, Antres moussus à demi-front ouverts, Prés, boutons, fleurs et herbes roussoyantes, Vallons bossus et plages blondoyantes, Et vous rochers, les hôtes de mes vers, Puis qu’au partir, rongé de soin et d’ire, A ce bel oeil Adieu je n’ai su dire, Qui près et loin me détient en émoi, Je vous supplie, Ciel, air, vents, monts et plaines, Taillis, forêts, rivages et fontaines, Antres, prés, fleurs, dites-le-lui

géographique * Lieu d’implantation : périphérie de la ville de vitré Analyse de sa zone de chalandise : la zone primaire les clients viennent principalement de Vitré. La zone secondaire les clients viennent de Montreuil sous Pérouse, Balazé, Taillis, Val-D’oise. La zone tertiaire, les clients viennent du Perte, Chateaubourg, Argentré du plessis, la Buvetière, Loiron * 3/Présentation du contexte commerciale A/L’offre * La superficie