Tails

notamment induire des postures contraignantes. Selon les activités, l’éclairement conseillé peut varier de manière importante. Deux grandes catégories existent suivant la nature des tâches : – pour des tâches ne nécessitant pas de perception de dé- tails (éclairement de l’ordre de 300 lux) ; – pour des tâches nécessitant la perception de détails (éclairement de l’ordre de 500 lux à 1 000 lux). 1 La présence et la concentration de toxiques doivent être évaluées en fonction des processus d’utilisation

u e e croissant avec leur niveau d’utilisation : la location de machines suppl´ mentaires e et l’engagement d’int´ rimaires coˆ tent g´ n´ ralement plus cher que l’utilisation des e u e e ressources propres de l’entreprise. Nous verrons cela en d´ tails au chapitre 7. e Dans les deux cas, l’ordonnancement des tˆ ches, c’est-` -dire la d´ termination a a e de l’ordre d’ex´ cution des tˆ ches) est essentiel. En effet, non seulement l’ordre e a d’ex´ cution des tˆ ches d´ termine la date de livraison

auquel est associ´ cc , le coˆ t unitaire de commande. e u La fonction de coˆ t s’´ crit donc en g´ n´ ral comme une fonction de ces trois u e e e variables d’´ tat : e C = cr Ir + cp Ip + cc Ic . Nous allons examiner un peu plus en d´ tails chacun des trois coˆ ts partiels. e u 6.3.1 Les couts de possession ˆ Les couts de possession comprennent : ˆ 1. les coˆ ts de d´ tention d’un article en stock durant une certaine p´ riode en u e e fonction des conditions financi`

C’est ` dire : les ´tapes successives de raffinement de la mod´lisation ` ee a e e a la synth`se devraient toutes s’articuler autour du mˆme mod`le interne adopt´ en fixant ` chaque ´tape e e e e a e certains d´tails d’implantation [57]. Les informations architecturales concernant les d´tails d’implantae e e tion seront prises en compte par le mod`le lors de la phase d’implantation. Varea [58] appelle cela la fusion entre le mod`le de sp´cification et la librairie de technologie. e e Les ´tapes de cette

jour et la e c seule mani`re de progresser est de pratiquer. Comme son nom l’indique, ce e manuel d’introduction n’est h´las qu’une introduction et ne propose de loin e pas suffisamment de pratique pour pouvoir pr´tendre connaˆ e ıtre Java dans les d´tails. Nous l’avions dit d`s le d´part, ce n’´tait pas notre but, loin e e e e s’en faudrait pour y parvenir. Quoi qu’il en soit, nous sommes cependant persuad´s qu’une fois arriv´ ici, vous ne vous arrˆterez pas en si bon chee e e min et que vous chercherez

e e e e e du r´cipient du haut, de la pompe et du r´cipient du bas, alors le syst`me est ferm´. e e e e On envisage les ´changes de travail W et de chaleur Q entre le syst`me et le milieu e e ext´rieur. Ces notions seront abord´es en d´tails dans les chapitres suivants. Ces ´changes e e e e peuvent se produire entre les diff´rentes parties du syst`me (sous-syst`mes) sans se manifester e e e avec le milieu ext´rieur : on dit alors que le syst`me est isol´. On diff´rencie : e e

syst`me compos´ e e e e e du r´cipient du haut, de la pompe et du r´cipient du bas, alors le syst`me est ferm´. e e e e On envisage les ´changes de travail W et de chaleur Q entre le syst`me et le milieu e e ext´rieur. Ces notions seront abord´es en d´tails dans les chapitres suivants. Ces ´changes e e e e peuvent se produire entre les diff´rentes parties du syst`me (sous-syst`mes) sans se manifester e e e avec le milieu ext´rieur : on dit alors que le syst`me est isol´. On diff´rencie : e e e e – le syst`me

e e e e e du r´cipient du haut, de la pompe et du r´cipient du bas, alors le syst`me est ferm´. e e e e On envisage les ´changes de travail W et de chaleur Q entre le syst`me et le milieu e e ext´rieur. Ces notions seront abord´es en d´tails dans les chapitres suivants. Ces ´changes e e e e peuvent se produire entre les diff´rentes parties du syst`me (sous-syst`mes) sans se manifester e e e avec le milieu ext´rieur : on dit alors que le syst`me est isol´. On diff´rencie : e e

d’une p´ riode, auquel est associ´ un coˆ t unitaire de commande, cc . e u La fonction de coˆ t s’´ crit donc en g´ n´ ral comme une fonction de ces trois u e e e variables d’´ tat : e C = cr Ir + cp Ip + cc Ic . Nous allons examiner un peu plus en d´ tails la mani` re dont sont calcul´ s les trois e e e coefficients des trois fonctions de coˆ ts partiels, a savoir : u ` cr , le coˆ t unitaire de rupture, u u cp , le coˆ t unitaire de possession et u cc , le coˆ t unitaire de commande. 8 Chapitre

γ est, comme en r´ gression ridge, un param` tre de r´ gularisation assurant le compromis entre g´ n´ ralisation et ajustement. De u e e e e e ´ ` mˆ me que pr´ c´ demment, on peut ecrire les solutions du probl` mes d’optimisation. Pour plus de d´ tails, se reporter a Sch¨ lkopf et e e e e e o Smola (2002). Les points de la base d’apprentissage associ´ s a un coefficient non nul sont l` encore nomm´ s vecteurs support. e ` a e Dans cette situation, les noyaux k utilis´ s sont ceux naturellement associ´