Tartuffe Acte V Scene 7

ces défauts sur une famille qui, comme dans “Tartuffe”, est infiltrée et menacée d'expulsion par un escroc, mais libérée par le stratagème d’Ariste, avec le problème, habituel, chez Molière, du mariage d’un enfant pour lequel s’opposent les parents. La famille de Chrysale, bon bourgeois de Paris, est tétanisée par des contradictions morales, psychologiques et sociales. Aussi l'affrontement peut-il être rendu violent, éminemment moderne, par la mise en scène. Structure : “Les femmes savantes” répondent

ancien : θέατρον, désignait également la scène ou le plateau, c'est-à-dire toute la partie cachée du public par le rideau2. Au sens figuré, « théâtre » désigne un lieu où se déroule une action importante (par exemple, un théâtre d'opérations militaires). Aujourd'hui, à l'heure des arts dits pluridisciplinaires, la définition de l'art du théâtre est de plus en plus large (jusqu'à se confondre avec l'expression spectacle vivant), si bien que certains grands metteurs en scène n'hésitent pas à dire que pour qu'il

se venger (« je veux me venger de cette impertinence », sc. 1, l. 19-20 ; « nous leur jouerons tous deux une pièce qui leur fera voir leur sottise », l. 25-26). 4. Qui parle le plus dans la scène 1 ? Qui parle le moins ? Que peut-on en déduire du caractère des deux jeunes gens et de leur relation ? Dans la scène 1, la Grange parle davantage tandis que Du Croisy est plutôt en position d'écoute. Le premier semble plus actif, prêt à prendre des initiatives tandis que le second assiste son ami de ses remarques

œuvres étudiées (p. 3) Description et Analyse des personnes principaux (p. 5) ==> Qui est vraiment Don Juan ? ==> Sganarelle, le valet comique Analyse du cadre spatio – temporel (p. 6) Biographie des auteurs (p. 7) Comparaisons des différentes œuvres lues / Thématiques (p. 9) ==> Don Juan, séducteur perpétuel ==> Don Juan, rebelle et racheté ==> Don Juan et la mort Conclusion (p 27) Bibliographie (p 28) 1. Introduction

mythique. Le courant rhéteur, avec Platon et Socrate, pense que les mythes mettent en scène des grands vices de l'humanité. Comme le mythe a tout d'abord été un récit oral, on ne connait pas le mythe originel, il n'y en a pas vraiment, on ne peut pas trouver le texte source. On étudie donc toujours des variantes de mythes, avec des variations dans les temps à chaque écriture. Le mythe raconte un récit qui met en scène des personnages surnaturels, celf métaphorique qui explique la valeur de la vie en

la moderne et l'antique noblesse. Ses Femmes savantes irriteraient nos féminins bureaux d'esprit. Mais quel calculateur peut évaluer la force et la longueur du levier qu'il faudrait, de nos jours, pour élever jusqu'au théâtre l’œuvre sublime du Tartuffe ? Aussi l'auteur qui se compromet avec le public pour l'amuser ou pour l'instruire, au lieu d'intriguer à son choix son ouvrage, est-il obligé de tourniller dans des incidents impossibles, de persifler au lieu de rire, et de prendre ses modèles hors

THEATRE SOMMAIRE Page.3 Molière, l'homme et ses œuvres. Page.4 Contexte du 17e s. Page.8 Généralité sur le théâtre de Molière. Page.8 Le théâtre. Page.13 Le discours théâtral. Page.13 La mise en scène. Page.13 Le vocabulaire de base. I.MOLIERE L'HOMME ET SES OEUVRES. Biographie : (1622/1673) Molière est né le 15 janvier 1622 à Paris avec le nom de Jean Baptiste. Fils de Jean Pocquelin et de Marie Cressé. Son père, tapissier a racheté en 1631 l'office de tapicier du

on tire aujourd’hui un bilan contrasté. Par un recours complaisant au vocable « marivaudage », elle légitime la lecture, de nos jours contestée, selon laquelle les intrigues marivaudiennes se réduisent à un plaisant badinage, mettant en scène des fi gures évanescentes vouées au culte gratuit de l’élégance creuse et du raffi nement superfi ciel. Par réaction, d’autres lectures parlèrent, à l’inverse, du « réalisme » du théâtre de Marivaux et insistèrent sur la consistance charnelle

encore vide. Quelques personnes, au balcon et à l’orchestre, attendaient perdues parmi les fauteuils de velours grenat, dans le petit jour du lustre à demi-feu. Une ombre noyait la grande tache rouge du rideau ; et pas un bruit ne venait de la scène, la rampe éteinte, les pupitres des musiciens débandés. […] Par moments, une ouvreuse se montrait, affairée, des coupons à la main, poussant devant elle un monsieur et une dame qui s’asseyaient… (Émile Zola, Nana, 1880) Le narrateur décrit la

volonté de retrouver son rang et de pouvoir ainsi servir son oncle. ... à vous de mettre en pratique les règles de l’amour... (p. 36-37) 1. La casuistique amoureuse n’est pas sans pièges. Comment respecter ici conjointement les commandements V, VI et VII du code de l’amour courtois ? Souffrir d’entendre médire de la dame qu’on aime sans chercher à défendre son honneur n’est-il pas incompatible avec le code de l’honneur ? 2. L’amant contrevient ici à un grand nombre de « commandements »