Tartuffe Iii 3

 : donnez un titre à chaque partie 1. Ligne 1 à 3 ( d’oreille) : 2. Ligne 3 à 11 ( cette gentillesse) : 3. Ligne 11 à la fin : I. Lignes 1 à 3 : · La présentation du maître se fait d’emblée sur un mode comique avec recours au comique de caractère et au procédé de la caricature (hyperbole=exagération): accumulation de défauts dans la 1ère phrase, encore mis en évidence par le rythme ternaire (accumulation de 3 éléments).Fait ressortir un premier défaut du maître :

maitre Jacques et Valère 3)Source de comique: le spectateur se demande comment Harpagon va réagir lorque maitre Jacques lui dira ce que l'on pense de lui; opposition entre ce que pense Harpagon de lui meme et ce que pensent les autres de lui. II MAITRE JACQUES (catalyseur, jette un regard nouveau), PERSONNAGE COMPLEXE QUI FAIT AVANCER L'ACTION 1)Un etre simple et sincère qui souffre pour ses chevaux 2)Un etre attaché à son maitre, en quete de sincérité 3)Un etre ombrageux et jaloux

socio-culturel. La bourgeoisie profite de la mise à mal de la haute aristocratie par le roi et constitue, avec lui et avec des aristocrates de moindre rang, le public privilégié des auteurs classiques. (La protection du roi permet à Molière de faire jouer Tartuffe en dépit de la cabale des dévôts. ) Bourgeoisie et aristocratie ont la même culture gréco-latine de base, modelée par l’enseignement des ordres religieux comme celui des Jésuites ou des Oratoriens, d’où ce phénomène exceptionnel et caractéristique

dans la comédie. Les comédies se moquent en effet des défauts des hommes. Les spectateurs devraient ainsi pouvoir s'éloigner des défauts représentés en riant du ridicule des personnages. Quand Molière ridiculise l'hypocrisie des faux dévots dans Tartuffe, il espère lutter contre cette hypocrisie. La célèbre formule « castigat ridendo mores »14 est d'origine incertaine mais elle a été reprise par Molière. Elle exprime une idée développée par Horace dans son art poétique et résume cette volonté d'utiliser

Corpus : Texte A : Extrait de la scène 4 de l'acte II du Tartuffe de Molière Texte B : Extrait de la scène 3 de l'acte IV du Dépit Amoureux de Molière Texte C : Extrait de la scène 10 de l'acte III du Bourgeois gentilhomme de Molière Le XVIIe siècle, c'est le siècle classique, le siècle de Louis XIV, mais c'est aussi le siècle de Molière, dramaturge au nom à jamais uni à la langue française comme celui de Shakespeare à l'anglaise. S'il a si bien survécu au passage du temps, c'est que ses

pièce Les Précieuses ridicules (1659) qui lui apporte la célébrité. Molière obtient du roi la salle du Petit-Bourbon puis celle du Palais-Royal (à partir de 1660) où il remporte de nombreux succès en tant qu’auteur, acteur et directeur de troupe. Tartuffe, jouée pour la première fois en 1664 à Versailles, pièce dans laquelle il critique l’hypocrisie des faux dévots, fait scandale. La pièce est interdite par le roi sous la pression des dévots qui se sentent visés. En 1665, Dom Juan suscite également

critique, faire interroger le spectateur … etc. Il faut avoir une réponse nuancée. Problématique : * est-ce que les pièces comiques ne servent pas à faire rire mais porter un message ? La dissertation répondra à cette problématique. III) La recherche des idées : arguments L’argument c’est une preuve qui sert à prouver notre idée, c’est une idée abstraite. On commence à réfléchir sur le corpus, les textes vu en 1° et ensuite sur les connaissances. Il faut noter toutes les

retour à l’ordre L’ordre familial -> Tartuffe 2) Le théâtre révolutionnaire Beaumarchais -> Barbier de Séville III / La morale : la catharsis 1) Le rôle de la comédie Enseigner la vertue par le vice : la comédie de Molière -> l’avare (vice particulier), les précieuses ridicules (vice social), Dom Juan (hypocrisie) 2) Le rôle de la tragédie Antigone -> destinée évoquée dès le début, évolution montrée au public 3) Le théâtre de l’absurde Ionesco –

absurdes, dans la piece eventuellement ( Soyez précis ! ) 2) Parallèle avec Hamlet – scène du cimetière (relire la pièce ) Hamlet souvent représenté avec un crane, ici Sg tiens une tabatière → surprise du spectateur, son attention est retenue. 3) Aspect pédant Sg tourné en ridicule. Référence à Aristote → référence maladroite, Aristote n'a bien entendus jamais parlé du tabac ! ( Montaigne : critique des pédants ??! ) 4) Eloge burlesque Genre qui remonte à l'antiquité. Molière a du pratiquer

Séquence sur Dom Juan Un mythe littéraire entre texte et représentation Sommaire Cours - Séance - Séance - Séance - Séance - Séance - Séance I- Découvrir le personnage de Dom Juan II- Une scène d’exposition paradoxale III- L’autoportrait de Dom Juan IV- La tentation du pauvre V- Le dénouement et la mise en scène du surnaturel VI- Bilan : Une pièce mêlée Questions d’analyse : questions de préparation et éléments de correction - La structure de la pièce - Maître et valet - Les personnages secondaires