Tartuffe La Double énonciation

renforcer la dimension comique de la pièce. En effet, cette pièce contrairement à Dom Juan (de Molière) montre un homme avec un cœur et surtout amoureux d’un homme. Enfin, lors d’une représentation les monologues de personnages et surtout la double -énonciation créés des liens entre le spectateur et les acteurs. Il est vrai que grâce à ces procédés, le spectateur à l’impression de faire partit du spectacle; grâce à la représentation on voit donc une histoire réelle avec des personnages concrets contrairement

siècle qu'il a voulu attaquer. Dans le Tartuffe l'hypocrisie du personnage n'a d'égal que celle de Trissotin dans les femmes savantes. Dans cette dernière pièce, le dénouement est fort bien conduit. On croit que le "non" brutal de Trissotin "Non, Madame," (v.1711) va conclure la comédie après la lecture faite par Chrysale, de la lettre qu'il a reçue “Monsieur, l'amitié me lie [...] fait tous deux banqueroute”(v1704-v1705). Ici, nous avons une double énonciation car Chrysale lit la lettre à haute

dans l’acte 1 scène 3 « ah ! Quel abominable maître me vois-je obligé de servir ! » réplique Sganarelle lorsque Dom juan s’éloigne. Ces différentes formes de discours se présentent donc sous la forme du dialogue et son parfois marqué par une double énonciation : les acteurs s’échangent entre eux des répliques mais parlent aussi à destination du public : ou bien comme un dialogue simulé avec des destinataires absents. D’autre part, le discours théâtral dépend souvent de la position sociale du personnage

Théâtre = Tribune , notion d’équivalence. Étape 2 : I) Le théâtre est une bonne tribune pour défendre ses idées. II) Réduire le théâtre à un lieu politique : il a d'autre fonction. I) Thèse explicite : clairement exprimée : Molière dans Tartuffe prend position contre les faux dévots. Molière ; George Doudin, s'insurge contre les mariages arranés au XVII ème siècle. Beaumarchais critique les privilèges de la noblesse dans le mariage de Figaro. Molière, dans l'école des femmes critique l'éducation

un libertin (= quelqu’un qui n’a aucune règle, aucune contrainte dans son mode de vie mais aussi dans ses pensées, ce qui transgresse la moral). C’est une œuvre qui a crée la polémique (société, religieux). C’est une pièce écrite à la suite de Tartuffe, qui est un escroc et un faux dévot ( il fait semblant d’être un dévot qui est une personne qui manifeste un attachement à la religion. ) Il y a 2 types de mise en scène pour cette pièce : - mise en scène qui respecte Molière (costumes d’époques

s’inscrit dans le courant classique mais se démarque ensuite par son style pour être un auteur de pièce baroque, ce qui est le cas avec Dom Juan. Néanmoins il est auteur de plusieurs pièces telles que les femmes savantes, le médecin malgré lui et Tartuffe qui dénonce les pratiques à ce moment là et dont la représentation fut interdite. Dom Juan ou aussi appelé le festin de pierre est une pièce en 5 actes, ici nous est présenté le scène 2 de l’acte 1 ou Sganarelle fait le portrait révélateur de son

l’effet comique | La fonction / visée du comique dans la scène | Acte III scène 2, Tartuffe ou l’Imposteur, 1669, Molière | Comédiede caractère (Satire) | Tartuffe apparait enfin dans cette scène. Dorine se moque de lui au moment que Damis est caché dans u n cabinet voisin. Le ton et les propos sont d’une pitié ostentatoire. | Comique de caractère : Opposition entre l’imposture et la pratique de la religion de Tartuffe « Laurent, serrez ma haire avec ma discipline…les derniers » (V1-4) et se montre

les farces et comédies populaires afin de faire passer ses préceptes. Ensuite, les dialogues permettent l'utilisation d'un large panel de procédés argumentatifs, rendant la défense du point de vue de l'auteur plus efficace. Tout d'abord, la double énonciation est un élément clé de l'argumentation. Le personnage s'adresse non seulement aux autres protagonistes de la pièce _ou à lui-même dans le cas d'un monologue_ mais également au public. Comme le montre la tirade de Figaro, présente dans le corpus

s’appelle-t-elle pas L’Illusion comique ? Le langage est aussi au cœur du jeu d’illusion et d’artificialité du théâtre. Les personnages parlent entre eux, la plupart du temps, comme s’ils étaient seuls, comme dans la vraie vie. Selon le principe de la double énonciation, le discours d’un personnage est toujours adressé en définitive au public. On voit ce que le langage théâtral a donc d’artificiel par cette présence, cet espion qu’est le public. Et avec le monologue, c’est encore plus criant. Le critique Pierre

est une scène de monologue (du grec « monos », seul et « logos », parole, discours) : Harpagon est seul en scène et se parle à lui-même, mais, ce qui serait anormal dans la vie courante est admis au théâtre. Le discours théâtral relève de la « double énonciation » : l’énoncé  (mais non l'énonciateur), s’adresse à la fois à un autre personnage et au public. En l’absence d’interlocuteur, l’énoncé  s’adresse donc uniquement au public.   I/2) Le monologue théâtral présente les mêmes inconvénients que