Tartuffe La Double énonciation

cette fois-ci de convaincre un pauvre de jurer en échange d’un louis d’or. Dans la scène précédente, il venait tout justement d’exposer sa théorie sur sa croyance. De plus, il avait laisser Sganarelle s’exprimer et celui avait fini par s’embrouiller. Tartuffe 1664 : comédie de mœurs, classique écrit en alexandrin avec des rimes, respect des trois unités, des règles, 5 actes comme pour une tragédie=> volonté de donner une image méliorative de la pièce . Lecture du texte Annonce de la problématique

comportent des extraits de mises en scène récentes de certaines pièces : dans la série Maîtriser le discours, Bérénice et Electre de Sophocle (cassette n°8), Dom Juan (cassette n°9) ; dans la série Les textes ont la parole, Le Misanthrope (cassette n°2), Tartuffe et Le Mariage de Figaro (cassette n°4) I. Comédie et comique 1. La comédie comme genre a) Les conventions théâtrales comiques : lire L’Illusion comique de Corneille Cette comédie permet de travailler dès l’analyse du titre sur la définition

occurrences = le valet est oublié, le discours devient personnel -> « Pour moi », « me ravit », « je la trouve... » (l 11 à 19 et l 35 à 41) * Enfin, emploi du vous et du on = il inclut tout le monde dans un monologue à valeur universelle = double énonciation, discours qui s'adresse au spectateur et cherche à pour capter sa bienveillance -> « on goûte » (l 21), « qu'on y fait » (l 23), « qu'elle nous oppose » (l 26-27), « nous nous endormons » (l 30-31)... + formes verbales impersonnelles -> « il

feignant d’ignorer sa présence. Les didascalies, « feignant de ne pas voir Géronte » (L.1) , « courant sur le théâtre, sans vouloir entendre ni voir Géronte » (l.7-8) soulignent l’importance du jeu de scène. Le comique naît aussi ici de la double énonciation, et de la position privilégiée du spectateur qui assiste avec bonheur à la stratégie mise en œuvre par Scapin pour duper l’avare Géronte. Il y a ici une mise en abîme, du théâtre dans le théâtre, Scapin jouant à l’intention de Géronte une pure

Seville” Acte 1, Scène 2 I Une scène d’exposition A. mise en scène informative Au théatre, une scène d’exposition sert à exposer l’intrigue, tout en étant plaisant pour le spectateur. Les éléments doivent être utiles pour la suite. loi de la double énonciation​ : s’adresser à un personnage masi indirectement au public le lecteur comprend beaucoup de choses sur l’H Tout repose sur le choix du scénario : il doit etre plausible illusion théatrale​ : faire comme çi c’était vrai: doit etre vraisemblable

accompagne constamment les personnages, est comme un paysage qui évoquerait leur évolution, leurs conflits, leur souffrance… C’est également le moyen visuel de concrétiser les thèmes principaux de l’œuvre. Dans la mise en scène de Marcel Bozonnet du Tartuffe de Molière, le décor est constitué essentiellement de fenêtres auxquelles s’ajoutent, suivant les scènes, d’autres accessoires (table, chaises..). Ces fenêtres sont surmontées de volets que les personnages eux-mêmes ouvrent et ferment tout au long

est une scène de monologue (du grec « monos », seul et « logos », parole, discours) : Harpagon est seul en scène et se parle à lui-même, mais, ce qui serait anormal dans la vie courante est admis au théâtre. Le discours théâtral relève de la « double énonciation » : l’énoncé (mais non l'énonciateur), s’adresse à la fois à un autre personnage et au public. En l’absence d’interlocuteur, l’énoncé s’adresse donc uniquement au public. I/2) Le monologue théâtral présente les mêmes inconvénients que

commentaire composé lors de la banalisée. Activité : - exposé sur Diderot (l’Encyclopédie et la censure) - correction des questions données en première partie du commentaire composé - remise des fiches de lecture Pour le … : Acheter et lire Tartuffe de Molière. Pour samedi 24 / 01 : lire l’extrait de La Controverse + établir les généralités sur le texte (nature, situation, idée générale) + question de préparation : par quels arguments Las Cazas réfute-t-il la thèse de Sépulvéda  ? S9 :

utilise une technique efficace en matière d’exposition, qui veut qu’on fasse parler beaucoup d’un personnage et de retarder en même temps son entrée en scène. Ce qui créer une attente, un désir chez le spectateur de connaître le personnage. Comme dans Tartuffe, qui n’entre que dans l’acte III, et Dom Juan qui n’arrive que la 2ème scène. Corneille veut donner à Alcandre l’image d’un personnage dangereux, puissant, hors du commun, qu’il faut craindre alors que c’est un personnage qu’on désir voir. C’est

informations que certains personnages n’ont pas, qu’il soit dans la confidence et voit ce que certains personnages ignorent. Il occupe alors une position privilégiée. • Dans ce domaine, la double énonciation au théâtre est importante. La double énonciation au théâtre Au théâtre, le discours est marqué par une double énonciation : les personnages se parlent entre eux mais ils parlent aussi à l’intention du public. Mais en général, le public n’entre pas, n’intervient pas dans le dialogue qui se déroule sur