Taux de défaillance

évènement, + ou – prévisible qui présente un danger potentiel pouvant avoir un impact négatif sur l'établissement financier. Ces ets sont de plus en plus soumis à une surveillance constante des autorités de tutelle et ce afin de prévenir tout risque de défaillance (= risque de défaut). Nous allons évoquer les 3 familles de risques majeurs auxquels les banques peuvent être exposées. I- LES RISQUES BANCAIRES (pilier I) A-RISQUE D'ILLIQUIDITE Déf liquidité bancaire= capacité à faire face à ses obligations

d’exploitation / Actif économique net + BFR exploitation, Dans ce cas la rentabilité est appréciée en termes d’efficience de l’outil de production. Nom du ratio ratio de dynamisme économique ratio de flexibilité la production Expression Signification Le taux d’accroissement est une indication du dynamisme du secteur et du positionnement de l’entreprise sur son secteur. (CAN – CAN-1) / CAN-1 Sous-traitance vendue générale/ ratio d’intégration de la production Valeur ajoutée / CAHT Ratio de productivité

équipements o Analyse des défaillances  Les causes des défaillances  Les modes de défaillance o Plan de fiabilité Démarches, méthodes et outils o Présentation o Cas particulier de la TPM  Auto-maintenance  TRS  5S o Critiques des démarches et méthodes  Remarques à propos des démarches et méthodes  Cas particulier de la TPM  Problème  Conclusion o Outils et techniques évoluées Fiabilité, comportement du matériel, défaillance, probabilités o MTBF o Taux de défaillance o Fiabilité o Disponibilité

Etats-Unis et un retournement du marché immobilier ont conclu aux défaillances des emprunteurs. 1ère Partie : L’origine de la crise et ses différentes étapes. Le point de départ de la crise se retrouve dans les difficultés des ménages américains à faibles revenus pour rembourser les crédits de leur résidence principale. Ces crédits avaient pour cibles des personnes qui ne disposaient pas de garanties suffisantes pour bénéficier des taux d’intérêt préférentiels. De plus, la FED (Banque Centrale des

subir le même traitement que la Grèce s’ils n’arrivent pas à pronostiquer les scénarios de sortie. I- La Chronologie : 1. Octobre 2009 : le gouvernement du parti socialiste présidé par Georges Papandréou accède au pouvoir dans le pays ; Révision du taux de déficit public qui passe alors à 12.7%, soit le double de ce qu’est prévu. 2. Les agences de notation réagissent vite en abaissant la note de la Grèce. * 22 Octobre 2009 : Fitch Rating dégrade de « A » à « A- » avec perspective négative la

sont pas satisfaisantes pour disposer de taux d’intérêt préférentiels, ont la possibilité d’emprunter à des taux variables. Au démarrage, les taux sont bas, puis grimpent au bout de deux ou trois ans, s’indexant alors sur le taux directeur de la FED, banque centrale américaine. Les taux fluctuent alors en fonction de la valeur du bien : si le bien immobilier a de la valeur, le taux d’intérêt sera bas ; à l’inverse, si la valeur du bien est en baisse, le taux augmentera. Ainsi, afin de financer

hypothécaires par la constitution du CREDILOG I et l’acquisition de 4 676 prêts détenus par le CIH (établissement initiateur et cédant) et de Maghreb titrisation (société gestionnaire-dépositaire). Ces prêts représentent des créances hypothécaires à taux fixe, consentis à des particuliers pour un montant de 500 millions de Dirhams[3]. En Juin 2003, le deuxième FPCT appelé CREDILOG II est constitué en vue d’émettre des valeurs mobilières représentatives des créances hypothécaires détenues par le même

Transport aérien et allocation des créneaux aéroportuaires Correction Meilleure représentation : méthode graphique LES INEFFICACITES | LES CAUSES DES INEFFICACITES (les défaillances de marché) | SOLUTIONS ENVISAGEABLES | * Congestion chronique des grands aéroports européens * Retards répétés pour les passagers * Détérioration de la qualité du service | * Ressort dynamique : pas de développement identique, difficultés à mobiliser des financements * Mauvaise allocation des infrastructures

crédit recevant des dépôts de fonds du public en vue de les placer sous forme de concours bancaires essentiellement ». Cette forme de création de monnaie se traduit, inéluctablement, par une prise de risque de degré variable, principalement due à la défaillance « probable » de l’emprunteur. Certes, l’établissement bancaire exerce de nombreuses activités, mais la gravité et la complexité que représente le consentement des crédits sont telles qu’il paraît plus judicieux de mettre la lumière sur ce point

suppression de ce mode de financement du trésor par les banques a augmenté les liquidités des avoirs bancaires. Cette liquidité qui sert en premier lieu à amélioré les crédits octroyés aux entreprises. * La chute considérable des taux débiteurs à l’égard des autres taux depuis la phase de la libéralisation financière, ce qui a diminuer le coût des investissements financés par les crédits bancaires. * Le désencadrement de crédit a provoqué une compétitivité inter bancaire très intense. Chaque banque