Taux de létalité

........................................ 73 Annexe I : Liste des personnes rencontrées au cours de l’enquête ................................................ 74 Annexe II : Caractéristiques épidémiologiques quartiers de d’Abidjan. Taux d’Incidence cumulé, Létalité, Nombre de semaine déclarant des cas de choléra. .............................................................. 76 Annexe III : Indicateurs Socio-économiques et de l’état de santé en Côte d’Ivoire ............................ 84 Annexe

(cas 2 + cas 3) / nb de personnes exposées au risquexpériode 31 prévalence = Incidence.d d = durée moyenne de la maladie M G DC • • •• • • • • • • Exemple : l’infection VIH depuis la trithérapie 32 Mortalité 1) Sources de données 2) Taux de mortalité 33 Sources de données • Médecin : Constate le décès + établit un certificat 1) Partie supérieure (pour l’état civil) avec nom, prénom, âge et domicile 2) Partie inférieure (anonyme et cachetée une fois remplie) avec les causes

pour l'année 2005, dont 78% chez l'homme [2]. Ainsi, en termes d’incidence, le cancer du poumon est le plus fréquent des cancers masculins après le cancer de la prostate (au 4 ème rang chez la femme) [2]. Entre 1980 et 2005 en France, le taux d'incidence estimé (standardisé sur la population mondiale) a augmenté pour les deux sexes, mais de façon beaucoup plus forte chez les femmes : il est ainsi passé sur cette période de 47 à 51 cas pour 100 000 chez les hommes et de 4 à 12 chez

la plupart des grandes villes de l’Est-Américain, constatent de nombreux décès causés par la grippe. C’est le début d’une augmentation anormale du nombre de cas mortels. Mais ce fût octobre 1918 qui vu le plus de cas mortels aux Etats-Unis, avec un taux de mortalités de 5 %. C- Les conséquences de la grippe espagnole La grippe espagnole a eu d’énormes conséquences au niveau mondial : Des conséquences sociales : l’espérance de vie a chuté de 13.6 ans, les décès étaient en masse, il y avait

antimicrobiens, on recherche souvent leur action sur les pathogènes, mais également sur les non pathogènes. Dans de très nombreuse situation ce qui est recherché c’est la réduction de la population microbienne totale. 2) Cinétique de la létalité microbienne La destruction d’une population microbienne est ni instantanée, ni totale. La mort est généralement exponentielle. C’est à dire qu’une même fraction de la population, meurt à intervalle de temps constant. Exemple : Tableau 1 : C’est

développement économique. Cible 4 : Eliminer les disparités entre les sexes dans les enseignements primaire et secondaire d’ici à 2005 si possible et à tous les niveaux de l’enseignement en 2015 au plus tard. Réduire la mortalité infantile Au Sénégal, le taux de mortalité des enfants de moins de 5 ans reste élevé malgré une baisse très importante durant ces dernières années. Les principales causes sont les maladies diarrhéiques, la malnutrition, le paludisme, les infections respiratoires et les maladies

l’observation que le dysfonctionnement sérotoninergique était spécifique de sous-types de dépressions, marquées par une dysrégulation de l’anxiété et de l’agressivité. Ainsi, les taux dans le liquide céphalorachidien du principal métabolite de la sérotonine, l’acide 5-hydroxy-indole acétique (5-HIAA), reflets des taux intracérébraux [4], sont abaissés chez les patients déprimés ayant fait une tentative de suicide par rapport aux déprimés sans antécédent de TS. Ces résultats ont été largement

mammifères peuvent être infectés. Chez l'homme et les autres primates, il provoque la maladie à virus Ebola, et a causé plusieurs épidémies. Cette maladie, pour laquelle il n'existe pas de traitement homologué, a un taux de létalité allant de 25 % à 90 % chez l'humain2 ; elle affichait ainsi un taux de 36 % au 11 novembre 2014 (5 177 morts sur 14 413 cas recensés3). La transmission entre humains se fait principalement par contact direct avec des fluides corporels. Particulièrement dangereux, ce virus ne

années précédentes, en effet, le premier cas en 1976 en République Démocratique du Congo, a tué 280 personnes sur 318 contaminés, sois un taux de létalité de 88%, on peut comparer ce cas à plusieurs années après, en 2012, toujours en République Démocratique du Congo, où la maladie a causé 29 décès sur 57 personnes touchés par ce virus, sois un taux de létalité de 51%, on peut donc constater le manque de préparation des équipes médicales occidentales pour gérer correctement les contaminations auxquelles

* Pour les économistes, la santé est un capital, un bien durable que l’on peut maintenir voir accroître par des investissements * Pour les épidémiologistes, elle est définie par ce qu’elle n’est pas ; par la souffrance, mesurée en termes de taux * Selon l’OMS, c’est un " État complet de bien-être physique, psychologique et social et non uniquement l’absence de maladie ou d’infirmité". Cette définition nous introduit à une vision multidimensionnelle de la santé. La santé comporte alors