Taux d'emploi

L’Outaouais) et ses MRC. Concernant ma MRC d’origine, la Vallée-de-la-Gatineau, on observe l’un des plus haut taux de personnes du groupe d’âge des 65 ans et plus; 17,2% sur une moyenne régionale de 11.7%, et l’un des taux les plus bas en ce qui à trait aux 0-14 ans; 14.2% contre 17% en moyenne. Économie et marché du travail Tel que mentionné précédemment, L’Outaouais compte l’un des taux de tertiarisation le plus élevé des régions du Québec. L’économie et l’emploi sont fortement concentrés dans

Conférence : « Le marché de l’emploi en Wallonie » - par Jean-Pierre Hansen (président du comité de gestion de l’agence pour l’emploie depuis 1 an). 1. Introduction Fin janvier, la Belgique comptait 253 000 demandeurs d’emplois, soit 16% de la population active. La tendance est à la hausse depuis 2012. Pour l’union wallonne des entreprises, la Wallonie reste empêtrée dans un chômage structurel avec des chômeurs de longue durée et peu éduqués. En Belgique, il y a actuellement environ 1 emploi

progressé dans l’UE. 2) Quelques mesures qui ont fait leurs preuves et que l’on doit développer davantage. 3) Négociations à venir sur l’emploi des jeunes : tout le monde s’y met ! Conclusion Des chiffres qui ne vont pas dans le bon sens….. Taux de chômage trimestriel (en % population active des 15-24 ans) depuis 1996 30 25 20 15 10 5 0 Des plans très coûteux : exemple avec le plan d’urgence 2009 Source : Journal 20 minutes du 24/04/2009 Une panoplie de mesures qui se révèlent inefficaces

fin de leurs études, les jeunes sont plus souvent au chômage que les actifs ayant davantage d’ancienneté sur le marché du travail. En 2012, le taux de chômage des jeunes sortis depuis un à quatre ans de formation initiale se situe à 20,4 %, contre 9,8 % pour l’ensemble des actifs. À distance plus grande de la sortie de formation initiale, le taux de chômage diminue et atteint 12,0 % pour ceux qui ont achevé leurs études depuis cinq à dix ans. Les jeunes peu diplômés sont plus exposés au

TRIMESTRIEL ACTIVITE DES JEUNES ET POLITIQUES D’EMPLOI Décembre 2011 SOMMAIRE 1. LES JEUNES DANS LES EMPLOIS AIDÉS ENTRÉES DE JEUNES DANS LES PRINCIPAUX DISPOSITIFS DE POLITIQUE D’EMPLOI (GRAPHIQUES) LES JEUNES DANS LES MESURES DE POLITIQUE D’EMPLOI EN SEPTEMBRE RAPPEL PAGES PAGE PAGE 4 -5 2011 6 7 8 8 : LES JEUNES DANS LES MESURES DE POLITIQUE D’EMPLOI EN DÉCEMBRE 2010 ENTRÉES, SORTIES ET EFFECTIFS DE JEUNES EN CIVIS TAUX DE SORTIE ET TAUX DE SORTIE VERS L’EMPLOI DURABLE DU CIVIS

ALFA CENTRE Cette publication est le fruit d’un travail collectif qui s’est déroulé au cours des années 2002-2003 Marie-Béatrice ROCHARD, directrice de l’O.R.F.E. (conception, problématique, méthodologie) Hubert BOUQUET, chargé d’études « zones d’emploi » Marion HILLAU et Pascal BAUGER, chargés d'études « domaines professionnels » Claude CHOUILLET, chargée de mission (bases de données - cartographie - maquettage) page 2 Observatoire Régional de la Formation et de l'Emploi AVANT PROPOS

exemple de politique publique coûteuse et in fine contreproductive. De même les dispositifs de préretraite ont constitué une solution de facilité, très coûteuse pour les finances publiques et pour la croissance économique, comme en atteste un taux d’emploi des seniors particulièrement faible en France. En ce qui concerne la formation professionnelle, elle représente une somme considérable – environ 24 milliards d’euros – dont l’efficacité et l’efficience ne sont pas avérées. Ainsi, la formation professionnelle

c’est-à-dire les inactifs : ménagères, scolaires, étudiants, personnes sans travail et n’en recherchant pas, retraités. Taux d’activité = (population active / population de 15 ans et plus) x 100 Taux d’emploi = (population active occupée / population active totale) x 100 Les “inactifs” et les actifs “non occupés” sont donc à la charge des actifs occupés : Taux de charge = (population inactive + chômeurs / population active occupée) x 100 Depuis 1955, la part de la population active

développement durable et une société plus juste. Pour la situation du travail décent au Sénégal, l’emploi est caractérisé par la faiblesse du taux de chômage au sens strict BIT, mais cette faiblesse cache des phénomènes plus insidieux qui rendent difficile un accès des jeunes et les femmes à un travail décent et rémunérateur. Ces phénomènes sont entre autres : le taux de sous emploi visible et invisible élevé, la faiblesse du niveau de scolarisation, la faiblesse du nombre de diplômés de l’enseignement

des jeunes. I) Causes du chômage des jeunes : A) Rigidité du marché de travail : La nouvelle génération est confrontée aujourd’hui non seulement aux mêmes difficultés que ceux dont les adultes rencontrent sur le marché de travail mais leur taux de chômage parfois dépasse celui des seniors. Le marché de travail est le lieu de rencontre entre l’offre et la demande de travail mais c’est aussi le lieu de détermination des salaires, la flexibilité de ce marché doit être mise en question, des analyses