Taylorisme Et Fordisme Constituent Ils Un Progres

consommation ne d�marre pas dans les pays communistes. Par contre, dans les Pays industrialis�s � �conomie de march�, la consommation explose, si bien qu�on s�est mis � parler de ��soci�t� de consommation��. On la doit � une recette am�ricaine�: le ��Fordisme�� qui consiste � donner les moyens aux ouvriers d�acheter les produits industrialis�s que la vente massive, jointe aux gains de productivit� rend de moins en moins chers. En moins de trente ans le pouvoir d�achat est multipli� par cinq, les diverses

L’idée de base est que le travailleur a besoin d’un manager pour organiser son travail. Ce manager doit essayer d’obtenir la prospérité maximale pour l’employeur et chaque salarié. On standardise le temps, les matériaux et le mouvement. Le terme « taylorisme » provient de la sociologie de la fin du 19e qui avait une conception technique (contraintes, procédures à suivre) et économique de l’homme (Pour Taylor, seul l’argent motivait le travailleur : Homo Economicus) Vision réductrice et étouffante de

ermie TT de M e mo arrak devenu l’Oentre dans 4. L’év nec un h en olutio 1994 rganisation e phase n de La , le co d’i mmerc Mondiale nternatio économcroissance s échanges nalidu Co e mo dépend ies devie du comm internatio ndial progre mmerce nn erce naux tiona ance accru ent, de deme sse rap ux ce ure plu de biens i11 sep reste sen e des éc fait, très et ser s viv onom vic tembre ou sib e , entré le à la co ies. Toutevertes sur que celle es au XX e I e de

jusqu’à la 2nde GM. Il est tentant de prolongé cette analyse après 1945. On aurait une phase A de 1945 à 1973 et la crise des 1970’s apporterait le début de la Phase B. Pourtant un tel prolongement pose problème. Les mouvements de prix ne constituent plus un indicateur de retournement de la conjoncture. En effet, après 1973, on a la stagflation c’est-à-dire du chômage (stagnation de l’activité économique) et de l’inflation. Si on prend le taux d’intérêt réel comme indicateur, les Trente Glorieuses

amputations. Des peintres comme Otto Dix représentent après la guerre les mutilés de façon réaliste. Et puis il y a les douleurs invisibles, les traumatismes psychologiques, face auxquels les pouvoirs publics sont démunis. C- La fin du mythe du progrès : la profonde crise morale, intellectuelle et artistique La guerre a fait naître des doutes sur la nature humaine, bien résumés par Paul Valéry : «Nous autres, civilisations, savons maintenant que nous sommes mortelles». La profonde crise morale

Toutes les valeurs européenne semblent avoir disparus avec la sauvagerie des combats c'est-à-dire que l’Europe, suite à l horreur de la guerre qui s’est fait sur son propre continent, perd la certitude, la confiance en elle d’incarner la seule voie du progrès. Au fond, l’Europe perd de son crédit car elle s’est enlisée dans cette guerre dont elle est responsable. C’est un bilan terrible au niveau humain et d’un point de vue économique. Les destructions matérielles ont été considérables et il faut

| | |Culture commune à l’entreprise, croyance des membres de l’organisation. Ces normes | | |constituent selon Mintzberg « le ciment qui tient toutes les pierres de la bâtisse de | | |l’organisation ». | Pas de difficulté

critères de performance des entreprises II –EVOLUTION ORGANISATIONNELLE DE L’ENTREPRISE 21 – F. W. Taylor et H. Fayol : naissance du management Présentation des auteurs de l’école classique Le contexte historico économique Les grands principes du taylorisme Les principaux effets sur l’organisation de la production Les structures d’organisation hiérarchiques et fonctionnelles Naissance du management 22 –A. P. Sloan, P. Drucker et O. Gélinier : l’école néo-classique Présentation de quelques auteurs de

ÉCONOMIQUE 76 1) Les mécanismes de la croissance 76 2) Croissance et crise : les cycles économiques 77 3) La crise économique dans les pays industrialisés 79 B) La croissance endogène en vogue 81 1) L’analyse de Solow 81 2) Le progrès technique, un facteur tombé du ciel 82 3) Paul Romer, ou la théorie de la croissance endogène 83 4) L’Etat au secours des innovateurs 84 V - LES POLITIQUES ECONOMIQUES (TD4-TD5) 86 A) La politique monétaire 88 B) La politique budgétaire

quantité de facteur productif, on rentre dans un schéma de croissance. Cette idée va permettre à Smith de dire qu’une économie nationale ne situe pas dans une situation de progression dans une société industrielle, il y a 3 états ●Progressif : progrès continuelles de la richesse ●Régressif : Diminution des richesses produite (récession actuelle). Cela pour Smith ne peut être que négatif ●Stationnaire : Absence de changement dans la production de la richesse (stagnation). Le capital reste identique