Temoignages Des Poilus

deux pièces citées mais il est parfois très clair comme un témoignage de ce qui ne doit plus arriver. Les auteurs ne nous font alors plus rêver, ni rire mais bien au contraire ils nous plongent dans une réalité qu’on n’aurait pu imaginer afin que nous réagissions pour changer cette réalité. On retrouve ces témoignages dans trois des textes que nous avions à analyser. Témoignage sur les souffrances de la guerre dans les « Paroles de poilus » : « Oui, ma chère mère, nous avons beaucoup soufferts et

6-13 septembre : la bataille de la Marne L’armée française arrête les Allemands sur les bords de la Marne, à quelques dizaines de kilomètres de Paris. L’épisode célèbre des "taxis de la Marne" voit les voituriers parisiens transporter les poilus jusqu’au champ de bataille. Ainsi, sur le front Ouest, dès la fin de l’automne, les troupes s’enterrent dans les tranchées. Cette guerre de position durera près de 4 ans. 1915 22 avril : première utilisation de l’arme chimique dans l’histoire

d'une boucherie déclenchée par les élites qui est visée. La notion de "culture de guerre" proposée par Stéphane Audoin-Rouzeau et Annette Becker correspond au moment où cette tradition historiographique se heurte de manière frontale au problème du témoignage de l'expérience combattante, ce que leurs prédécesseurs Pierre Renouvin et Jean-Jacques Becker avaient jusqu'ici évité. L’histoire de la guerre telle que la pratiquait Pierre Renouvin était fort éloignée des objets de l’histoire culturelle actuelle

pathétique dans son témoignage de la Première Guerre Mondiale dans lequel il raconte ses souvenirs de ce conflit qui l'a tant marqué et le hante toujours. Les écrivains sont les témoins de leur époque, ils peuvent vouloir transmettre leur savoir, leurs expériences, leur indignation aux lecteurs et aux générations futures. De nombreux soldats de la première guerre mondiale comme Henri Barbusse, Jean Giono ou Roland Dorgeles tinrent à partager leur vécu de ce conflit à travers leurs témoignages pour apprendre

décompose en différents articles thématiques qui permettent de définir la guerre des tranchées et la violence de masse : le front, son organisation et les combats ; les conditions de vie des poilus ; tenir ; les traumatismes subis par les soldats. L’ambition de cette séance est aussi d’avoir recours à des témoignages de Bretons impliqués dans cette guerre. Cette étude permet ensuite de définir le concept de guerre et de violence de masse. Le temps consacré à cette situation complexe est de 2.5 heures

quotidienne au front et à l’arrière et la violence des combats 1/ La vie quotidienne au front 1ère GM : Promiscuité dans les tranchés, no man’s land, bruits, rats, obus, le climat (neige, pluie), conditions sanitaires (1ère Guerre ex : voir témoignages de Poilus ou côté allemands) 2nde GM : Stalingrad (froid, hécatombes) 2/ La violence inédite des combats (brutalisation des sociétés) Ex 1ère GM : Verdun puis mutineries 1917 (en parler) : pourquoi elles éclatent ? Ex 2nde GM : Stalingrad (bcp

aux Alliés, remportent une bataille sur les Autrichiens à Caporetto. - 11 novembre 1918 : l’Allemagne signe l’armistice. car l’armée turque est anéantie. II. Une guerre totale mobilisant les soldats comme les civils A. La souffrance des « poilus » : l’enfer des tranchées Montrer un extrait de Un long dimanche de fiançailles. 1. Qui sont les soldats ? 70 millions en tout. Tous les hommes valides entre 16 et 45 ans. Mais aussi 450 000 soldats issus des colonies françaises et anglaises (doc

chronologique de l’œuvre qui met en scène la journée d’un soldat sur le front. Description de l’œuvre : Le Panneau de gauche représente des soldats armés portant des sacs au dos (il est possible d'identifier ici les armes et l'uniforme portés par les poilus durant la 1er GM). Ils tournent le dos au spectateur et marchent dans la brume, ainsi ils forment une armée humaine sans visage et sans identité, une masse aveugle avançant d'un même pas vers le front et ses atrocités. Panneau centrale : Alors

soldat en représentant un champ de bataille où la mort et la cruauté règnent en maîtres. II- Description 1) Analyse descriptive et plastique Panneau de gauche : Des soldats armés portant sac au dos (les armes et l'uniforme portés par les poilus) tournent le dos au spectateur et marchent dans la brume, ainsi ils forment une armée humaine sans visage et sans identité, masse aveugle avançant d'un même pas vers le front et ses atrocités. Panneau central : A l'arrière plan, on voit des ruines

ou Ouest ? • Tactique : Comment venir à bout de réserves humaines de l’ennemi sans s’exposer à des pertes semblables ? La bataille de Verdun n’a de toute évidence résolu ni l’un ni l’autre. 5. Témoignages Pour cette partie, je m’inspire du livre « Paroles de Poilus ». • Le premier témoignage trouvé date du 19 mai 1915 par Jacques Ambrosini. « la Rage de tuer est poussé par l’odeur de la poudre, aussi bien que les cris des bêtes féroces, car à ce moment-là on devient des bêtes féroces,