Temple Malatesta

Voutement sur pendentif (triangle concave) Brunelleschi, Santo Spirito : plan de la croix latine, très régulière B La façade d’église A partir de la seconde moitié du quattrocento Alberti, temple des Malatesta : transforme l’église de Rimini, beaucoup de références à l’antique, calque de façade de temple antique, inspiré d’arc de triomphe. Choisit des formes géométriques simples pour ornement. Alberti, san sebastiano, Mantoue : travaille la façade, présence d’un podium, fronton triangulaire

son goût pour la provocation.   2) Un théoricien reconnu mais tardif a) Un artiste tardif Le premier document qui atteste que l'architecte est mêlé à une construction, c'est la lettre à Matteo de' Pasti sur la construction du Temple des Malatesta du 18 novembre 1454. A l'occasion de la Diète de Mantoue de 1459, Alberti rencontre le marquis Ludovico Gonzaga, qui lui demande alors un projet pour l'église de San Sebastiano; à la fin des années 1460, le marquis (qui traite l'architecte

ordres (ordre toscan plus rare).· Dans le livre 1 il parle d'urbanisme, d'organisation de la ville ainsi que des compétences d'un architecte.· Dans le livre 2 il parle des techniques de construction, des matériaux.· Dans les livres 3 et 4 il parle des temples c'est à dire l'architecture religieux et les ordres architecturaux : le toscan, le dorique, l’ionique, le corinthien et le composite.· Dans le livre 5 il parle des édifices publics, le forum romain, les théâtres, ...· Dans le livre 6 il parle des

un art civique. Sculptures qui sont destinées à occuper l’espace public. On fait souvent commencer le Quattrocento avec le concours pour les portes du baptistère de Florence, en 1401. Haut lieu de l’antiquité à Florence (il est placé sur l’ancien temple de Mars). On demande à des sculptures de faire un panneau d’essai sur le thème du sacrifice d’Abraham, 7 artistes ont concouru, il ne reste que deux œuvres aujourd'hui : celle de Filippo Brunelleschi, et celle de Lorenzo Ghiberti. Concours financé

parement antique romain, formé de petit moellon de forme pyramidale. Alberti, façade de Santa Maria Novella, Florence, 1456-1470 Financé par les Rucellai. On voit des pilastres soutenant un entablement soutenant un fronton. C’est une influence des temples romains. Une des inventions d’Alberti est les volutes qui relient le niveau inférieur au supérieur, permettant de faire une liaison entre le rez-de-chaussée et le 1er étage. Ces volutes sont composées de courbes et contre courbes. La façade polychrome

formes graciles, lui, aura une architecture plus massive, plus pleine. Les deux architectes ont la même grammaire, mais un vocabulaire différent. Ils établissent le socle fondateur de l’architecture de la Renaissance. Temple Malatesta, église San Francesco / Monument Malatesta. Rimini, vers 1447 (en collaboration avec Matteo dei Pasti). Il transforme cette structure gothique en mausolée. Pour ce faire, il va « emballer » l’église dans une « boîte » sur laquelle il va plaquer des décors romains

PERSONÆ a |ALEXANDRE DE MEDICIS, grand-duc de Florence. | |VALORI, commissaire apostolique. | |MALATESTA b BAGLIONE, commandant des forces militaires. | |LE CAVALIERE c DE MARSILI |officiers de la maison du Grand-Duc. | |LE CAPITAINE CESENA

des feuillets déchirés, est encore aujourd'hui en la possession de madame Lauth-Sand, George Sand, Une conspiration en 1537, texte intégral. Page 1 DRAMATIS PERSONAE ALEXANDRE DE MEDICIS, grand-duc de Florence. VALORI, commissaire apostolique. MALATESTA BAGLIONE, commandant des forces militaires. LE CAVALIERE (SM) DE MARSILI ) LE CAPITAINE CESENA officiers de la maison du Grand-Duc. LE CAPITAINE CESENA GIOMO LE HONGROIS FERNANDO L'ANDALOU l’écuyer du Grand-Duc. LORENZO DE MÉDICIS, cousin du Grand-Duc

superposition évoque la distance, la profondeur, les uns sont peints par-dessus les autres.Ils peignent même des animaux mythologiques probablement des totems appartenant à des familles paléolithiques. On pensait même que ces cavernes servaient de temples, de rites d’initiation. Une analyse des peintures a montré que ces animaux pouvaient illustrer une mythologie, une construction culturelle. Diverses explications ont été avancées pour expliquer ces dessins d’animaux. Une hypothèse est celle d’une

Pérugin attend 1489 pour percevoir un solde de 180 ducats. L’artiste honore son commanditaire en le représentant sur certaines de ses œuvres. Jules II prête ses traits à Urbain IV dans le Miracle de Bolsena et il apparait dans Héliodore chassé du temple, assis sur une sedia gestatoria, comme un juge impassible qui assiste à l’exécution de la sentence qu’il vient de prononcer. Le mécénat princier Le mécène aux XIVe et XVe siècles Le prince peut aussi disposer d’artistes de cour, soit pour