Tercet

» (vers 9) et tout le premier tercet, gros plan final sur les personnages (deuxième tercet).La structure générale du sonnet contribue donc au procédé. De plus, les rimes masculines sur lesquelles se terminent chaque strophe et le poème tout entier avec la valeur sonore de « fermeture », la ponctuation qui fait que chaque quatrain se termine par une pause forte (loi du sonnet classique) , enfin le respect de la disposition classique des rimes dans les deux tercets (cc d ee d), tout cela contribue

quelque chose «voila que.. » et il reprend l’idée du jardin, en parlant des ravages crées « les terres inondées » vers 7, pour montrer les désastres du temps. Le 1er tercet évoque le printemps,et montre un élan d’espoir avec l’hypothèse « qui sait ». On voit le commencement d’une nouvelle saison « les fleurs nouvelles ». Mais le dernier tercet met une fin a cet espoir, en évoquant l’hiver, et en citant « l’obscur ennemi » pour parler d’un hiver glacial. L’enchainement des saisons, représente symboliquement

dernières!strophes,!Eglise!qu’il!trouve!bien!riche.!Nous!pouvons!le! remarquer!avec!l’accumulation!« nappes!damassées/Des!autels,!à!l’encens,!aux!grands! calices!d’or »!(v.9Z10).!C’est!évidemment!le!jour!et!la!nuit!entre!le!vocabulaire!utilisé! dans!ce!tercet!et!celui!des!deux!quatrains.!L’idée!de!richesse!est!confortée!avec!la!rime! riche :!« d’or »!et!« s’endort ».!En!plus!d’avoir!une!tonalité!agréable,!ces!deux!mots!ont!en! effet!trois!sons!en!commun.!Enfin,!le!onzième!vers!nous!présente!Dieu!comme

aussi une jeune femme « blonde ». Ceci corresponds a l’image qu’un adolescent se fait. Premier tercet : La mythologie est omniprésente dans cette strophe, en effet l’étoile peut représenter Vénus qui est un thème populaire des poètes de la renaissance. Les « nymphes » venu « d’occident », donc de l’Est et de ce fait du coté opposé au soleil. La « nymphe représente la déesses eaux. Second tercet : Dans la chute de ce poème, le poète a honte et rougit : «  teint colore » car il termine son poème

4). Cette beauté, cette fraîcheur et cette vitalité végétale, au milieu de tant de couleurs (le vert de l'herbe, le bleu du cresson, le jaune du soleil, l'argent de la rivière, la couleur des glaïeuls) , cache un malaise, comme dévoilé au dernier tercet . La progression est dramatique : le premier quatrain plante le décor plein de vie et de gaieté (« chante », « follement », « mousse »). Le deuxième nous présente au milieu de tout cela, un jeune soldat dormant, d'une pâleur inquiétante et anormale

lui arrive mais cela n'est que de courte durée. En effet dans le premier Tercet Saint-Amant nous montre son retour à la réalité il fait part qu'à la fin de son plaisir, le faite de fumer, tout n'est qu'illusion. Le poids dominant sa souffrance s'est effondré et a laissé place à son premier état c'est-à-dire qu'il retombe dans son désespoir qui le mène à son propre verdict. Pour finir dans le dernier Tercet  Le poète affirme qu'il préfère nuire à sa santé plutôt que d'espérer une meilleure

Les colchiques Introduction : Ce poème est un sonnet déstructurée composé d'un septain, d'un quintil et d'un tercet. Cette structure permet aux poètes de faire varier le rythme, en effet le septain et le tercet créent un rythme lent confirmé par les adverbes « lentement »x2,« doucement » et le quintil un rythme fort confirmée par le champs lexical de la musique : « fracas », « harmonica », « battent »x2 et « chante ». Le colchique est une fleur qui fleurit à la fin de l'été et qui donne des fruits

d’Italie », « comte Palatin », « royauté ». Il en oublie aussi ses devoirs face à son ami Baudoin qu’il a failli négliger. Ce sonnet est composé de quatorze alexandrins, organisés en deux quatrains à rimes identiques embrassées (ABBA ABBA) et deux tercets aux rimes du type CCD, EDE. Alternance respectée entre les rimes féminines et les rimes masculines. Les rimes sont riches. Saint Amant respecte les règles du sonnet. Mais Il revendique une originalité, basée sur la liberté dans les formes, les mœurs

Vers: hexasyllabe, octosyllabe, décasyllabe, alexandrin E muet lorsqu’il est a la fin d’un vers et lorsqu’il est suivi par un mot qui commence par une voyelle Strophes: Strophe de deux vers → distique Strophe de trois vers → tercet Strophe de quatre vers → quatrain Strophe de cinq vers → quintile Strophe de six vers → sizain Rimes Rimes suivies AABB Rimes croisées ABAB Rimes embrassées ABBA Allitération consonnes / Assonances voyelles Richesse des rimes : Pauvre

révélateur des tps verbaux le présent des premiers vers de chaque quatrain et de chaque tercet, est en alternance avc le subj imparfait. Ce sont les 2 tps qui dominent. L’auteur met ainsi en parallele l’instant présent avc le tps à venir où la jeunesse s’efface et laisse place à la mort. Le tps nourrit ainsi une réflexion amere sur la fuite des jours. 2) le mess épicurien de Ronsard le 1er tercet montre le désespoir de l’auteur, qui est associé à la vieillesse et à la mort, et qui s’exprime