Tercet

décrépitude : « assise »v.2 à « accroupie »v. 11.Les participes présents traduisent la lenteur de ses activités : « dévidant et filant » v. 2, gérondif«en vous émerveillant » + rythme irrégulier des vers du premier et deuxième quatrain par rapport au premier tercet (coupe à l'hémistiche) consacré au repos de Ronsard : c'est le soir de la vie d'Hélène, le froid et la lumière pauvre de la « chandelle » (vie diminuée). Le choix du cadre, le soir, est symbolique. L'activité est monotone et symbolique : elle rappelle

=> effet sur la perte de parole . - Parce que je brûle de tourments => feu d'amour - Comme celui qui voit sa mort => Le deuxième quatrain renvoie au premier il y a une unité entre les 2 mais le 2° quatrain apporte plus de détails . III/ 1°TERCET - Il passe à travers les yeux comme la foudre : On se réfère au premier vers " Gentil sguardo" mais cette fois ci on va développé l'idée . On reprend la théorie du De Amor d'André le Chapelain " L'amour est un certain tourment qui procède de

Arthur Rimbaud, Poésies Les différentes strophes :La strophe : ensemble de vers développant ou un système de rimes ( A:B/A/B, A/BB/A....) et / ou une unité de sens ( à ce sujet, pour le sonnet on parlait de sizain et non pas de tercets) ; plus généralement aujourd'hui, on appelle strophe un ensemble de vers qui présentent une unité rythmique, de sens, voire syntaxique, et séparée par un blanc des autres strophes. Exemple : La voix lointaine est constitué d'une suite de 32 quatrainsLa laisse :

L’influence de l’antiquité se remarque au premier regard au travers de la forme du poème. Il est composé de quatorze alexandrins articulés en trois phrases. La première phrase forme un quatrain, la deuxième également et la troisième est divisée en deux tercets. Les rimes suivent le schéma abba abba ccd eed, et elles sont toute au moins suffisantes : « pareil –soleil » vers 5-8. Le poème est donc un sonnet, une forme fixe inspirée de l’antiquité (les alexandrins font référence à Alexandre le Grand par exemple)

commence par la description précise des dents d’Hélène au premier quatrain, désignant le problème et l’en informant en l’expliquant. Durant le second quatrain, il renforce sa critique en énumérant des termes de moins en moins flatteur ; puis, au premier tercet, il passe de la description à l’injonction, lui donnant des ordres afin qu’elle change ce qui le contrarie. Le tableau va de mal en pis. Il se considère être d’un « fidèle avis », s’estimant bon juge et lui assurant qu’elle peut lui faire confiance ;

à dire la victoire de la raison et la fin de l'amour. Les rimes féminines en "e" offre une ouverture "plus juste et plus utile" vers quelque chose qui n'a pas de fin. La deuxième strophes s'achève sur une rencontre des sens. Dans le premier tercet, la lutte entre les sens et la raison se voit par la vigueur de la raison, renforcé par l'âme et la détermine dans le martyr. Ce renoncement au sens se fait dans la douleur. L'allitération en "r" traduit la vigueur de la raison et cette douleur du

Contraste en la nature et le soldat 3ème strophe -> 1 tercet d’alexandrins. Encore plus de précisions sur le soldat. -> Nouveaux éléments étranges : • “il dort”, “il fait un somme” (v.9-10) • “Souriant comme sourirait un enfant malade” (v.9-10) rejet de sourirait+antithèse+comparaison => soldat malade. • Nature personnifiée “berce le chaudement” (v.11) Mère-Nature, protectrice, oxymore “chaudement/froid” 4ème strophe -> 1 tercet d’alexandrins. Evolution jusqu’à la chute inattendue

déchiffrer Au vers 6, l'interjection « hélas » confère une tonalité élégiaque (lyrisme plaintif) à ce poème. Le deuxième quatrain rappelle le couple mère/enfant (même symbiose) et confère une grande douceur au texte. La phrase interrogative du premier tercet donne l'impression d'un dialogue intérieur.

noms ne veulx-je deguiser, Que des papiers journaulx, ou bien des commentaires1. Par la première strophe le poète avoue s’écarter de la poésie philosophique, cosmogonique ou hymnique, autrement dit de la poésie ronsardienne de 1555, alors que le tercet final définira le caractère de journal intime et de commentaires quotidiens qu’il accorde à l’ensemble. Du Bellay l’inclura dans le genre littérairement humble des Diaria et Commentarii. Dans le deuxième sonnet il prône l’inimitable de sa composition

La strophe : ensemble de vers développant ou un système de rimes ( A:B/A/B, A/BB/A....) et / ou une unité de sens ( à ce sujet, pour le sonnet on parlait de sizain et non pas de tercets) ; plus généralement aujourd'hui, on appelle strophe un ensemble de vers qui présentent une unité rythmique, de sens, voire syntaxique, et séparée par un blanc des autres strophes. Exemple : La voix lointaine est constitué d'une suite de 32 quatrains La laisse : ensemble de vers qui présentent la même assonance