Tercet

représentée par un été tourmenté. Le deuxième quatrain représente l’automne. Baudelaire est triste, le bilan de sa vie est négatif. Sa vie est comme inondée. Il parle déjà de la mort en comparant les trous creusé par l’eau à des tombeaux. Le premier tercet représente le printemps. Baudelaire rêve de nouvelles fleurs, c’est à dire de recommencer sa vie avec de nouvelles idées et une nouvelle joie de vivre. L’auteur cherche le « mystique aliment »qui ferait pousse les fleurs, mais ne le trouve pas.

nature dominante : «rivière (…) herbe (...) cresson (…) glaïeuls». La redondance du «petit val» (vers 4 : un val est petit par définition) renforce l’impression de cocon. Cette nature occupe tout le premier quatrain et s’étend jusque dans le dernier tercet ; elle parait très vivante («verdure (...) mousse (...) vert») et lumineuse («lumière pleut (...) soleil (...) d’argent (...) rayons»). 2. Un «soldat jeune» Une fois que le cadre est implanté, Rimbaud nous présente un «soldat jeune» (vers

« pâle » (vers8) sont moins éclatante que le 1er quatrain (champ lexical des valeurs) ainsi en vers une dégradation au niveau des couleurs. C'est touche de couleur rappelle un tableau impressionniste de l'époque. Une berceuse hésitante, le 1er tercet utilise des expressions en rapport avec le sommeil d'un enfant, « il dort » (vers 10), fait un « sonne » (vers 11), berces-le, la nature est personnifié comme une nourrice paradoxalement relève une expression avec la maladie ou la mort « un enfant

physique. Si au fil de la progression, on observe la femme en tant que terme constant du poème, elle passe dans le vers 2 du rôle de " femme inconnue " a celui d'un sujet d'amour " que j'aime " puis d'un sujet aimant " qui m'aime ". Dans le dernier tercet, elle s'éloigne complètement " des voix qui se sont tues ". - Le flou de son portrait Il n'est pas question d'une femme en particulier mais de la femme en général. Elle n'est pas nommée parce qu'elle n'a pas d'identité, parce qu'elle reste floue

violente, "rut". Par le moyen de la drogue, le poète parvient donc à s'évader et à rejoindre son propre "paradis". Mais les effets sont transitoires et le retour au réel est inévitable. Que va-t-il alors retenir de cette expérience ? Le dernier tercet raconte le retour au réel : "je m'éveille" qui s'oppose à "m'endort" et "rêve". Le poète ne "voit" plus d'éléphants mais il "contemple" son propre "pouce rôti comme une cuisse d'oie". On peut imaginer qu'il s'est brûlé en oubliant, dans son délire

est séparé par un blanc des autres strophes. La strophe se développe autour d'un système de rimes et une unité de sens. Les différentes strophes Un monostiche : un seul vers Un septain : sept vers Un distique : deux vers Un huitain : huit vers Un tercet : trois vers Un neuvain : neuf vers Un quatrain : quatre vers Un dizain : dix vers Un quintil : cinq vers Un onzain : onze vers Un sizain : six vers Un douzain : douze vers II. Qu'est-ce qu'un vers? Le vers occupe une seule ligne et ne

(introduire phrase) en supposant qu'au fil du temps elle ne sera plus belle. L'impératif: Ronsard donne des conseils à Hélène en lui conseillant de profiter de chaque moment de sa vie.(mettre verbe). De plus, dans le premier et deuxième vers du premier tercet, Ronsard décrit sa mort '' Je serai sour la terre, et, fantôme sans os''. Quand il dit '' je prendrai mon repos'' (v.10), le poète veut dire de façon euphémisme(décrire euphémisme) qu'il sera mort. Dans ce sonnet, Ronsard décrit l'avenir de Hélène

poète lance javelots, ce qui introduit la notion de hasard : touche la cible n’est pas simplement une question d’adresse, c’est aussi une question de chance. Les efforts de l’artiste ne peuvent être vains (ce qui compte être le cas dans le premier tercet). La technicité ainsi que la chance, permettent de piéger la beauté. Cet effort intellectuel est exprimé au vers 5 par « subtile complot ». Bien que Baudelaire soit un poète, il utilise l’image du sculpteur, « maintes lourdes armatures » au vers

physique. Si au fil de la progression, on observe la femme en tant que terme constant du poème, elle passe dans le vers 2 du rôle de " femme inconnue " a celui d'un sujet d'amour " que j'aime " puis d'un sujet aimant " qui m'aime ". Dans le dernier tercet, elle s'éloigne complètement " des voix qui se sont tues ". - Le flou de son portrait Il n'est pas question d'une femme en particulier mais de la femme en général. Elle n'est pas nommée parce qu'elle n'a pas d'identité, parce qu'elle reste floue

émerveillant » (v.3) nous montre que Ronsard fait l'éloge de ses poésies. Dans le second quatrain Ronsard explique à Hélène qu'il est le seul à la réveiller de son dur labeur générez par son manque d'amour et par la vieillesse. Dans le premier tercet explique à Hélène que quand elle sera vielle elle souffrira par rapport à Ronsard qui lui sera mort et qu'il sera au repos. « Ronsard me célébrait du temps que j'étais belle » signifie que quand elle était belle et jeune, tout Ronsard lui faisait