Terreur De Cosette

par Victor Hugo. Cette œuvre décrit l’instabilité politique de la France après la Révolution, entre 1815 et 1832, tout en décrivant la société de l’époque. Nous retrouvons ainsi des personnages devenus familiers du grand public comme Jean Valjean, Cosette, Marius, Javert ou les méchants Thénardier, reconnaissons des lieux bien réels, Paris, de même que des événements historiques, les barricades de 1832. Mais les personnages déjà cités plus haut ne sont pas les seuls à développer l’intrigue : en effet

accepter son malheureux sort toute seule. Bien que sa tête encourage plutôt le côté de Fantine, son cœur et son âme disaient autrement. Ne voulant pas défier son âme une autre fois, il écouta celui-ci. Libéré du bagne, Jean Valjean alla chercher Cosette pour accomplir la promesse qu’il avait fait avec Fantine avant son décès. La rencontre avec cette petite misérable fut pour lui un autre point vital dans sa vie. Jamais dans sa vie il a aimé quelqu’un et jamais quelqu’un ne l’aimait comme étant Jean

HUGO SOMMAIRE Biographie de l'auteur ............................................................ 3 Résumé du livre - Partie 1 : Fantine ................................................................... 6 - Partie 2 : Cosette ................................................................... 7 - Partie 3 : Marius .................................................................. 8 - Partie 4 : L'idylle de la rue Plumet ................................. 9

Cosette était laide. Heureuse, elle eût peut-être été jolie. Nous avons déjà esquissé cette petite figure sombre. Cosette était maigre et blême. Elle avait près de huit ans, on lui en eût donné à peine six. Ses grands yeux enfoncés dans une sorte d’ombre profonde étaient presque éteints à force d’avoir pleuré. Les coins de sa bouche avaient cette courbe de l’angoisse habituelle, qu’on observe chez les condamnés et chez les malades désespérés. Ses mains étaient, comme sa mère l’avait deviné, « perdues

scène de la rencontre entre Cosette et Jean Valjean. Texte étudié : Tome II, livre 3, chapitre 5 des Misérables de Victor Hugo Les forêts sont des apocalypses ; et le battement d'ailes d'une petite âme fait un bruit d'agonie sous leur voûte monstrueuse.Sans se rendre compte de ce qu'elle éprouvait, Cosette se sentait saisir par cette énormité noire de la nature. Ce n'était plus seulement de la terreur qui la gagnait, c'était quelque chose de plus terrible même que la terreur. Elle frissonnait. Les expressions

Cosette Cosette est la fille de Fantine elle a dû le confier au Thenardier pour trouver du travail. Un couples d'aubergiste vivant a Montfermeil avec leur deux enfants Azelma et Eponine. Elle sera maltraitée travaillera comme une bonne jusqu'à ce que Jean Valjean vienne la délivrer de de sa situation . Avec Cosette Victor Hugo s'attaque à un des fléau du XIX s le travaille des enfant Victor Hugo commence tout d abord par une description1 du couples Thènardier et a travers eux une caricature

l’épisode de la vie de Fantine, mère de Cosette. Fantine, comme son nom le laisse entendre, a le caractère d’une enfant, bien que jeune femme : innocence mais aussi courage. Cosette, « petite chose » en italien, dit combien sa vie n’a tenu qu’à un fil, tout au long du récit, parce que la société n’accorde pas de place au petit, qu’il soit malingre, pauvre ou orphelin. Fantine est tombée follement amoureuse d’un jeune homme dont elle a eu une enfant, Cosette, et qui l’a laissée aussitôt après l’avoir

de mon œuvre » Les Misérables met en scène l’histoire et le progrès du peuple en marche!; malgré cette dimension épique, les personnages principaux - leurs expériences, leur souffrance, etc. - sont nettement individualisés. Fantine, Jean Valjean, Cosette, Marius, Gavroche restent en effet dans leurs destins particuliers (quoique représentatifs de toute leur classe) les enjeux essentiels du récit. L’écroulement de l’Empire lors de la guerre contre la Prusse en 1870 permit à Victor Hugo de revenir en

ces sauvagesses colosses qui se cambrent dans les foires avec des pavés pendus à leur chevelure. Elle faisait tout dans le logis, les lits, les chambres, la lessive, la cuisine, la pluie, le beau temps, le diable. Elle avait pour tout domestique Cosette; une souris au service d'un éléphant. Tout tremblait au son de sa voix, les vitres, les meubles et les gens. Son large visage, criblé de taches de rousseur, avait l'aspect d'une écumoire. Elle avait de la barbe. C'était l'idéal d'un fort de la halle

Dans le texte 1, l’enfant ne fait que demander« un supplément, après avoir mangé le diner alloué par le règlement » (l.55). Pour cette action, ce dernier est enfermé et dit « destiné au gibet ». Dans le texte 4, une petite fille « se roulant de terreur devant son père qui frappait encore… toujours !... » (l. 14) était battue mais « qu’avait-elle donc fait ? » (l. 5), cette enfant est battue au point d’être achevée par son père « qui ne s’était arrêté que parce qu’il avait peur, cette fois, de l’achever »